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***MSG:Un poison silencieux***

Mais qu’est-ce que le glutamate monosodique exactement ?

C’est un acide aminé (acide glutamique) faisant fonction de neuro-transmetteur, présent dans le cerveau et qui joue sur les hormones et les neurones. Il est essentiel dans le processus de mémorisation et d’apprentissage.Le problème est qu’il y a une différence de structure moléculaire entre le glutamate naturel biologique et la molécule chimique de synthèse, purifiée, qui n’est pas reconnue par le vivant. Justement, l’argument-clé des fabricants est que, étant un produit de la nature, il ne peut être dangereux. C’est faux. Nous avons la preuve qu’ingéré à doses itératives régulières, ce produit de synthèse est un poison dangereux, d’autant plus quel’organisme étant incapable d’identifier le goût du glutamate, le consommateur dépasse sans le savoir son seuil de tolérance. Celui-ci est évalué en moyenne à 5 mg.En particulier, le cerveau des enfants n’a pas de protection contre le glutamate et leur développement intellectuel peut être mis en danger par les influx nerveux incessants qui sont provoqués d’une façon désordonnée. Le glutamate peut aussi provoquer un empoisonnement à la sérotonine, facteur de déstabilisation du fonctionnement de la peau pouvant donner de l’acné, de la calvitie et des boutons par excès de sébum...

Les dangers du glutamate

Le glutamate ou E621 est un exhausteur de goût qui est très largement utilisé dans l’industrie agro-alimentaire. Pourtant, il présente de vrais inconvénients qu’il faut connaître.Il a été découvert par un professeur japonais du nom d’Ikeda au début du 20ième siècle. Il provenait d’une algue nommée Kombu. Le glutamate est responsable du goût « umami », souvent nommé comme la 5e saveur.Le glutamate monosodique. Vous ne connaissez peut être pas son nom mais vous l’avez forcément déjà croisé, et plus d’une fois. Le glutamate est un acide aminé naturellement présent dans le corps. Sa « version chimique » a été découverte en 1907, pour en faire un additif alimentaire.Le glutamate se cache sous le nom de code E 621 et est un exhausteur de goût qui est très largement utilisé dans l’industrie agro-alimentaire. Les Japonais le considèrent comme la 7e saveur, après le sucré, le salé, l’amer, l’acide, l’astringent ou âpre et le piquant.

L’empoisonnement lent d’Amérique”, le MSG est ajouté pour l’ effet additif qu’ il crée sur le corps humain. http://www.spofamerica.com/

Selon Laurence Wittner, auteur de "Savez-vous vraiment ce que vous mangez ?"La liste des exhausteurs de goût artificiels est longue. Rien que pour les glutamates : E 622, E 623, E 624, E 625 sont aussi accusés des mêmes effets que le E 621. Les E 626 à E 629 sont considérés comme inoffensifs à dose limitée mais "agissent sur les neurones en empêchant le bon fonctionnement des mécanismes inhibiteurs de l’appétit. En somme, plus on mange, plus ils donnent faim, et plus on a envie d’en manger".

John Erb, croit que le MSG est pour l’industrie alimentaire l’équivalent de la nicotine, parce que les études démontrent que les gens qui consomment des aliments avec du MSG en consomment davantage et mangent plus rapidement que s’ils consomment les mêmes aliments sans MSG. Le glutamate est un acide aminé qui peut exciter presque tous les organes du corps humain, spécialement le cerveau. Celui-ci se retrouve en très petite quantité dans certains aliments naturellement. John Erb  trouve ce fait très désobligeant considérant que dans certains pays on donne une cuiller à table de MSG aux chiens pour les rendre épileptiques avant qu’ils en meurent.

Puisque le MSG triple la quantité d’insuline produite par le pancréas, cette quantité anormale d’insuline convertit le sucre dans le sang en gras. Quelques heures après avoir ingéré du MSG, cet excès d’insuline déclenche une baisse du sucre sanguin tellement forte que vous devenez fatigué et que vous éprouvez  la faim de nouveau.

A quoi sert le glutamate ?

L’E621 est l’un des additifs alimentaires les plus utilisés dans le monde, avec une production atteignant chaque année les 2 millions de tonnes, dont 80 % sont consommés en Asie mais tout de même 95 000 tonnes en Europe.

En France il peut être utilisé sous conditions. Il est d’ailleurs présent dans de nombreux produits de grandes marque

Avez-vous déjà eu la sensation de ne pas pouvoir vous arrêter de grignoter ces chips là, devant la télé ?

La faute au glutamate. Cette substance qui se présente sous la forme d’une poudre blancherenforce le goût des ingrédients présents dans l’aliment et agit comme un excitant sur les papilles et surtout, sur le cerveau.

Le glutamate opère comme le ferait n’importe quelle drogue sur le cerveau. Dans son livre Savez-vous vraiment ce que vous mangez ?, Laurence Wittner explique : « De l’avis des experts, les exhausteurs d’appétit agiraient sur les neurones, empêchant le bon fonctionnement des mécanismes inhibiteurs de l’appétit. En clair, plus on en mange, plus ils donnent faim, et plus on a envie d’en manger...

Où trouve-t-on le glutamate...

Le glutamate est présent dans de nombreux aliments transformés, comme les soupes, les bouillons, les sauces et en grande quantité dans les barquettes de plats préparés, la charcuterie sous-vide, les biscuits, les snacks etc. Dans certains pays, il est même utilisé comme condiment, à l’instar de la moutarde ou du poivre.

Le glutamate se cache sous le nom d’E 621, GMS pour Glutamate Monosodique ou Glutamate de sodium,  mais il peut également prendre d’autres « pseudonymes » beaucoup moins scientifiques comme « assaisonnement naturel » (le glutamate provient d’une algue marine) “protéines hydrolysés” ou encore “épices”.


Quels sont les risques liés à la consommation de glutamate ?

Le glutamate est considéré comme non dangereux par l’EUFIC, European Food Information Council, qui  est un organisme financé par l’industrie agro-alimentaire … Celle-ci considère que : « Le glutamate monosodique est un ingrédient alimentaire qui souffre souvent d’une mauvaise réputation, pourtant infondée. Le glutamate monosodique peut être utilisé en toute sécurité pour ajouter du goût ou pour réduire les taux du sodium présent dans les aliments. » (source Eufic.org)

Pour autant, des études menées dès les années 1950 ont démontré que le glutamate détruisait les neurones dans la couche interne de la rétine des rats (Etude menée par D. R. Lucas et J. P. Newhouse)
Vers 1969, J. Olney a découvert que ce phénomène n’était pas limité à la rétine, mais concernait tout le cerveau, et il parla alors d’« excitotoxicité ».

Qu’est ce que l’excitoxicité ?

Dans son livre Excitotoxins, The Taste that Kills  (Excitotoxines, le goût qui tue), le Docteur Russel Blaylock explique que le « glutamate détruit certains neurones en autorisant l’invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate [et l’aspartame] en excès est la raison pour laquelle on les appelle « excitotoxines ». Ils excitent ou stimulent la mort des cellules nerveuses »

La consommation excessive de glutamate

Trop consommer de glutamate entraîne de sérieux problèmes de santé © CC, Onlymyself65536

Selon différentes études, les risque liés à la consommation excessive de glutamate seraient obésité, hypertension, hyperactivité, diabète, migraines, …
Certains asthmatiques y seraient allergiques. Dans ce cas, le glutamate peut aggraver les urticaires (3 % des cas).  À partir 2,5g on constate des maux de tête attribuables au glutamate (pour 2.3 % des consommateurs), crampes (0.4 %), engourdissements (0.7 %), faiblesse générale (4.0 %) et bouffées de chaleur (1.6 %) selon une étude de 1997

Source les-additifs-alimentaires.com

Le syndrome du restaurant chinois

Découvert à la fin des années 1960, le syndrome du restaurant chinois regroupe un ensemble de symptômes qui surviendraient dans les quelques minutes qui suivent un repas dans un restaurant chinois. La présence en grande quantité de glutamate dans la cuisine chinoise en serait responsable. Les symptômes en question :

  • « flush » c’est-à-dire des rougeurs cutanées sur le cou, le visage et la partie supérieure du tronc,
  • les yeux injectés de sang,
  • des céphalées,
  • des sensations de brûlure dans tout le corps,
  • des sensations d’oppression thoracique,
  • des nausées et des vomissements,
  • des démangeaisons…
  • glutamate-allergie-saveur-01

 

Certains restaurants asiatiques aux États-Unis et au Canada affichent clairement « No MGS » sur leur devanture, rassurant ainsi leurs clients sur le fait qu’ils n’ajoutent pas de glutamate dans leurs plats.Pourquoi d'après vous?

Comment éviter le glutamate...

Le GMS se trouvant en grande partie dans les produits manufacturés, le mieux pour l’éviter reste de consommer le moins possible de produits industriels. Préférez dans la mesure du possible l’alimentation bio pour laquelle tous les exhausteurs de goûts sont proscrits, et privilégiez les aliments ayant subi le moins de transformation possible.Les enfants seraient très sensibles au glutamate, une attention particulière doit être accordée à ce qu’ils prennent au goûter...

Source...http://www.infossante.com/msgun-poison-silencieux/

00les produits de la grande consommation contenants du glutamate

 

Est-ce que le glutamate : GSM, MSG, glutamate mono sodique…est néfaste?

Méfiez-vous du glutamate !  et d’autres produits dont l’aspartame, encore une fois surtout « toxique » chez les jeunes enfants en pleine croissance.   Pour les adultes, les réactions dépendent de la sensibilité individuelle…  Les enfants sont les plus vulnérables d’après des études montrant un effet négatif du MSG sur le développement / l’activité du cerveau.

L’intolérance au MSG (réaction au MSG et non allergie car le système immunitaire n’est pas impliqué dans la réponse du corps à cet intrus) est variable d’un individu à un autre (homme, femme, enfant) et les réactions découlant du MSG sont très variées… selon les prédispositions de chacun; donc un diagnostic précis est difficile et long… à confirmer.

Plusieurs études montrent que le MSG n’est pas toxique… pour la majorité de la population… dans les doses utilisées en agro-aglimentaire lorsqu’on prend ces produits un par un.  Il peut y avoir des effets indésirables dus au surdosage par accumulation des différentes sources quotidiennes.

Dans son livre «l’Empoisonnement Lent de l’Amérique», John Erb, assistant de recherche à l’Université de Waterloo en Ontario au Canada, écrit que le MSG est ajouté à l’alimentation pour l’effet de dépendance que ça provoque chez l’humain.  Même les lobbyistes soutenant l’utilisation du MSG avouent que la raison pour laquelle ils l’ajoutent à l’alimentation est pour faire manger davantage les gens, donc pouraugmenter leur chiffre d’affaires à moindre coût!  Ça n’aide donc pas à contrôler les portions alimentaires consommées par une population comptant de plus en plus de personnes obèses.

Le MSG est présent dans de nombreux produits alimentaires:

Les soupes et bouillons pour soupes (conserves et sachets), les croustilles et chipsassaisonnées, les sauces à salades, les marinades, les sauces instantanées ou préparées (bouteilles, sachets), les pizza, les repas préparés surgelés, particulièrement lesproduits faibles en calories afin d’en augmenter l’intérêt gustatif, etc.

Il est important de prendre conscience des risques pour nos enfants et nous.  Les cas de surdose sont réels même si le nombre de personnes n’est pas connu officiellement.  Les autorités réglementaires ont exigé le retrait du MSG dans les aliments pour bébés… ça fait beaucoup du monde!     De plus, une surdose (overdose) peut survenir lorsqu’une même personne consomme dans un même repas divers aliments  dont plusieurs d’entre eux contiennent du MSG… l’effet dépend de la dose… la dose s’accumule avec la consommation d’aliments préparés avec du MSG (pur ou ses dérivés)… Ce qui explique les fluctuations de malaises avec la difficulté à identifier la cause précise….

La source de glutamate a aussi son importance car une conformation différente de la forme naturelle peut avoir des effets négatifs plus importants car notre corps ne peut pas le métaboliser correctement (le transformer ou l’éliminer) résultant en une intoxication (empoisonnement) avec une liste de signes ci-dessous

***Certains signes d’intoxication au glutamate***

  • nausées,
  • vomissements,
  • d’aphtes,
  • de courbatures,
  • de vertiges,
  • de douleurs oculaires,
  • de céphalées,
  • de crises d’asthme,
  • de réaction allergiques,
  • de salivation abondante,
  • de surpoids,
  • de diabète,
  • éruptions cutanées plus ou moins marquées,
  • de troubles du rythme cardiaque,
  • de douleurs articulaires voir de paralysies plus ou moins momentanées,
  • de trouble de l’appétit (envie constante de manger)

Et à fortes doses cela peut aller jusqu’aux :

  • crise de convulsions épileptiformes,
  • diarrhées,
  • troubles de l’humeur,
  • confusion mentale,
  • crises d’anxiétés,
  • troubles du comportement surtout chez les enfants… du comportement surtout chez les enfants…

source: http://www.ladietetiquedutao.com/glutamate.html

Sources multiples de glutamate / MSG:

Et si vous voulez éviter le glutamate… attention dans les restaurants et à l’épicerie ! et ne prenez pas les articles où vous trouvez une des dénominations suivantes (le contenu en MSG peut varier de manière importante selon la quantité ajoutée): 

      • ACCENT (=MSG à près de 100%)
      • Aginomoto
      • Acide glutamique : plats cuisinés, surgelés
      • Carragénine : sauces préparées, plats cuisinés, surgelés, glaces
      • Caséinate de calcium
      • Extrait de levure : toutes les pâtisseries, crèmes pâtissières industrielles
      • Extrait de malt : biscuits (y compris bio), 10% de la farine française est de la farine de malt de blé
      • Extrait solide de lait / protéines de petit lait: yaourt, lait, crème pâtissière industrielle
      • Farine de soja : dans presque toutes les farines industrielles
      • Gélatine alimentaire : sauces préparées, plats cuisinés, surgelés, glaces
      • Huiles hydrogénées : biscuits, biscuits apéritifs, plats cuisinés, médicaments
      • Levure autolysée / hydrolysée:  pains industriels et nombreux pains « artisanaux »
      • Maltodextrine : même dans les produits bio ! 
      • Monosodium glutamate (MSG) biscuits pour enfants, biscuits apéritifs, bouillons Kub, viande crue en supermarché, sauces préparées, petits pots
      • Monopotassium glutamate
      • Natural Meat Tenderizer (=Attendrissant Naturel pour Viande )
      • Protéines hydrogénées : plats cuisinés

Vous le trouverez dans plus de 200 médicaments en pharmacie sous les différentscodes (E6xx) et noms chimiques du glutamate sur: Le blog de l’information alternative et de la santé naturelle

Voici une liste complète des sources cachées de MSG

  Si vous préférez, regardez la vidéo : Ce reportage d’une émission télévisée américaine fait le point sur le glutamate mono sodique (GMS ou MSG).  Le MSG ajouté sous forme chimique (pur) doit être identifié sur les produits de consommation lorsqu’il sert à rehausser la saveur.  Il y a le MSG  « pur produit chimique » et ses dérivés qui en cachent… les « produits hydrolysés »… saveurs… etc.  L’industrie alimentaire l’utilise « à toutes les sauces » car ça lui permet d’augmenter sa profitabilité !  Même saveur finale avec moins d’ingrédients coûteux (bouillon de poulet fait avec …..moins de poulet lorsqu’on met du MSG !).  On relève par exemple qu’aux restaurants de la chaîne PFK (Kentucky fried chicken), le MSG était dans chaque plat de poulet, sauce à salade et la sauce brune.

Etudes, témoignages et experts sont d’avis que le glutamate mono sodique est un tueur lent, mais implacable. Il est partout, dans tout, sait se cacher sous différentes appellation et est protégé par le lobbying alimentaire jusqu’aux autorités réglementaires  (FDA) !   Est-ce vraiment pour notre bien ?  Sont-ils impartiaux? Pouvons-nous leur faire une confiance aveugle?…

Témoignages et autres avis:

Un peu d’histoire… Vers 1910 début de la production de GMS par la firme japonaise Ajinomoto qui possède de nos jours des usines dans le monde entier et même en France (A)

  •  1976 : Rapide augmentation de la production de GMS : 262 000 tonnes.
  •  1995 : 800 000 tonnes.
  •  1999 : 1,3 millions de tonnes
  •  2003: Plus de 1,5 Million de tonnes ;

dont 80 % seraient consommé en Asie mais quand même 95 000 tonnes en Europe (E)

Un cas vécu:

Depuis l’an 2000, je fais de l’intolérance au glutamate, cela a été confirmé par des tests chez un allergologue. Pour moi c’est un poison.

Les effets commencent à se faire sentir 4 heures après l’ingestion : chute de tension, vertiges, des spasmes douloureux dans le ventre, l’impression de se « vider », la langue épaisse, manque de salive, raideur des articulations… La dernière crise a été assez violente, j’ai vraiment cru mourir.  J’ai l’impression que les réactions sont de plus en plus fortes.
La politique de santé veut que l’on mette moins de sel dans les produits alimentaires (c’est très bien) MAIS on le remplace par du glutamate.

Quantités de glutamate dans la nature:

En plus de l’apport par le biais de l’alimentation, l’acide glutamatique est également produit dans le corps (48g/jour). Même le lait maternel contient de l’acide glutamatique (0.022 g/100g). L’acide glutamatique est présent à l’état naturel dans beaucoup d’aliments, comme par exemple dans les tomates (0.140g/100g), le parmesan (1.200 g/100g) ou la volaille (0.044 g/100g). Dans les pays occidentaux, la quantité de GMS consommée par le biais de l’alimentation sous forme d’additif est en moyenne de 0.4 g, dans les pays asiatiques elle est d’environ 3 g.

Syndrome du Restaurant-Chinois

Il y a plusieurs décennies, on a décrit pour la première fois aux Etats-Unis le « China-Restaurant Syndrom » dont les symptômes étaient par exemple des maux de tête, des palpitations et le gonflement des muqueuses; ceux-ci ont été mis sur le compte d’uneconsommation excessive de GMS (5 g et plus).  Cette relation n’a jamais pu être prouvée par aucune étude scientifique.

Le « syndrome du restaurant chinois » frappe chaque année des milliers de personnes à travers le monde. Les symptômes apparaissent au cours de la digestion d’un porc à la sauce aigre-douce ou d’un canard aux cinq parfums. Ils peuvent même survenir à peine les baguettes posées. Le sujet commence alors à se plaindre de brûlures à la cage thoracique, brûlures qui gagnent vite les épaules. La douleur provoque ensuite une paralysie du cou et des mâchoires, des maux de tête terribles et une forte sensation d’oppression, façon grand hystérique…. Aujourd’hui, le mystère du « syndrome du restaurant chinois » reste entier. On suspecterait maintenant l’histamine, une molécule produite par la fermentation de certains aliments comme le soja, le haricot noir et la pâte de crevette. Bref, les études pataugent encore dans le riz gluant…Source....https://nutrisoinssante.wordpress.com/2014/07/01/est-ce-que-le-glutamate-gsm-msg-glutamate-mono-sodique-est-nefaste/

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Lire aussi...http://www.rense.com/general64/msg.htm    

http://www.huffingtonpost.com/beverley-golden/obesity-msg-and-rats_b_842332.html 

http://www.naturalhealth365.com/msg-2.html/    

http://www.thegabrielmethod.com/msg-obesity-fat-rats/

 

Vidéo...La vérité sur le glutamate monosodique (GMS Accent)

 

 

 

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Les additifs que créent les entreprises de l'industrie agro-alimentaire ont trouvé une place de plus en plus encombrante dans tout le panel d'aliments qu'aujourd'hui nous consommons, et cela sans que nous n'en ayons réellement conscience. Sous des appellations obscures "d'arômes", de "goût de synthèse", "d'édulcorants" et autres qualificatifs sortis tout droit d'une boîte chimique de pandore, ces industriels procèdent à un empoisonnement pernicieux de tout ce que nous mettons dans nos assiettes.

L'augmentation vertigineuse des cas de diabète, d'insuffisances rénales, de problèmes cardiaques, d'allergies, d'obésité, ou bien alors de ces empoisonnements de "lots" que l'on retire de toute urgence des rayons, vient corroborer ce que des techniciens, des Associations de consommateurs et des médecins annoncent depuis des décennies.Car toute cette manigance de substitutions n'a comme seul objectif que celui de réduire les coûts de fabrication de ces produits parfois mortels.Le cuisinier n'est plus, même si de temps à autre il en apparaît un à l'écran, toque vissée, accent du terroir, et venant vanter un plat cuisiné ou un yaourt à la saveur naturelle absolument insipide ; la nourriture du 21ème siècle n'est devenue qu'une affaire de gros sous et de chimistes sans aucun scrupules...Vidéo Chris Montclar

 

 

Publiépar Cristalyne 21 Octobre  2016 Colonne de feu 2

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