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***Omraam Mikhaël Aïvanhov(1900-1986) Maître Spirituel français d’origine bulgare...

 Biographie d'un Maître Spirituel Véritable***

                     

Enfance du Frère Mikhaël ...

   Le 31 janvier 1900, Omraam Mikhaël Aïvanhov naît à Serbtzi en Macédoine. Sa jeunesse se passe dans des conditions difficiles : la perte de son père, la pauvreté, l’instabilité et les guerres sont pour lui autant d’occasions de développer sa volonté, d’affiner sa conscience et sa spiritualité, ainsi que son désir d’être utile à toute l’humanité.

1900 : 31 janvier, naissance.

1907 : printemps, destruction de son village natal et départ pour Varna (Bulgarie).

1908 : octobre, mort de son père.

1915 : illumination - il entend la  "musique des sphères".

1917 : hiver, 1ère rencontre avec le maître bulgare Peter Deunov.

1923 - 35 : Sofia, études universitaires - obtention d’un diplôme en psychologie et fréquentation de cours dans différentes facultés - directeur de collège.

1937 : juillet, arrivée en France.

1938 : janvier, 1ère conférence publique à la Sorbonne à Paris, il traite de "la deuxième naissance",

           juin, 1ère conférence publique à Lyon, il traite de "la galvanoplastie spirituelle".

1944 : 27 décembre, décès de Peter Deunov à l’âge de 80 ans.

1945 : 1er groupe fraternel en Suisse, pays où il séjournera fréquemment, notamment en février-mars.

           Noël, publication du 1er ouvrage, intitulé « Amour, Sagesse, Vérité », avec une introduction de Lanza del Vasto.

1947 : achat de la propriété « Izgrev » à Paris où ont lieu les conférences et rencontres.

1948 : 16 janvier, l'association Fraternité Blanche Universelle est officiellement créée,

           21 janvier : arrestation suite à   de fausses accusations.

1950 : mars, libération, suivie en 1960 de sa réhabilitation,

           mi-mars, reprise de contact avec la fraternité à Izgrev.

1953 : Ouverture du 1er Congrès au Domaine du Bonfin, sur la Côte d’Azur (France).

1959 : février - départ pour l’Inde.

1960 : février - retour de  l’Inde.

1961 à 1985 : fréquents voyages dans le monde entier

- séjours dans divers pays au cours desquels il donna des centaines de conférences,

- rencontres avec des chefs religieux et spirituels de haut rang,

- milliers de rendez-vous privés.

1972 : parution du 1er volume des Œuvres complètes.

1986 : dernière année passée au domaine du Bonfin (Var - France),

           25 décembre, décès au Domaine du Bonfin.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Photo (Le Maître à 11 ans,avec sa mère et son petit frère)

À dix-sept ans il rencontre à Varna le maître bulgare Peter Deunov qui a une influence définitive sur lui, dont celle de poursuivre ses études. C’est à l’université de Sofia qu’il obtient son diplôme universitaire, et qu’il devient professeur, puis directeur de collège. Parallèlement, il suit assidûment l’enseignement du Maître Peter Deunov qui est pour lui un champ infini d’explorations et d’expériences. Tout en demeurant volontairement discret et effacé dans la fraternité de Peter Deunov, il a pourtant une profonde influence spirituelle et humaine sur ses contemporains...

Photo (Peter Deunov au centre,Omraam Mikhaël Aïvanhov)

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                                                    Photo (Son Arrivée En France)

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Omraam Mikhaël Aïvanhov philosophe, pédagogue et maître spirituel d’origine bulgare,arrive en France en 1937 à la demande de son Maître, Peter Deunov.qui sont aux approches du deuxième conflit mondial, pressentant que les troubles politiques entraîneront l'interdiction de toute association de caractère spirituel en Bulgarie, Peter Deunov envoie son disciple Mikhaël Aïvanhov en France, pour préserver son enseignement, le propager et le développer.  C’est dans ce nouveau pays qu’il donnera l’essentiel de son enseignement.
Il  est un «porteur de lumière», un être fraternel, accessible, enthousiaste et vivifiant. Un modèle. Sa vie témoigne d’une parfaite cohérence entre sa pensée, sa parole et ses actes.Au travers de plus de 5000 conférences, il explore la nature humaine dans son environnement, à l’échelle individuelle, familiale, sociale, planétaire. Celui que nous appelons Maître, dans l’acception orientale du terme se référant à la maîtrise personnelle et au talent pédagogique, nous dit : « ce que je souhaite par cet enseignement, c’est vous donner des notions sur la vie, sur vous-mêmes, comment vous êtes construits, quelles relations vous avez avec l’univers tout entier et quels échanges vous devez faire après entre vous et l’univers qui est la Vie ».

Aider l’être humain à retrouver sa dimension spirituelle (qu’il appelle sa nature supérieure ou divine), à se perfectionner, se renforcer et s’épanouir au cœur du monde où il se trouve, voilà son objectif prioritaire. Omraam Mikhaël Aïvanhov précise : « Je me suis surtout efforcé d’éclairer un sujet : les deux natures de l’être humain, sa nature supérieure et sa nature inférieure, parce que c’est la clé qui permet de résoudre tous les problèmes."Mais le travail intérieur, individuel, s’inscrit dans une perspective plus large et universelle : il permet d’acquérir la conscience que nous sommes citoyens du cosmos, membres de la grande famille humaine, la fraternité universelle, fils et filles d’un même créateur. Au-delà encore, l’enseignement du Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov nous invite à participer à la réalisation d’un nouvel âge d’or sur la terre.Par son rayonnement et son enseignement, le Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov a ouvert à d’innombrables personnes le chemin de l’épanouissement intérieur...

 

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Photo (1959 avant de partir en Inde)


en IndeÀ partir de 1937, il travaille à faire connaître cet enseignement en France. Son rayonnement est intense et son influence touche les différentes sphères de la société. En dépit des difficultés et des épreuves, il demeure fidèle à sa mission et continue à donner, inconditionnellement, son attention et son amour à tous ceux qu’il rencontre. Poussé par ce désir (qui ne le quittera jamais) de contribuer à la création d’une humanité profondément fraternelle, il crée, dès 1948, de nombreuses fraternités, en France, en Suisse, en Belgique et dans plusieurs pays européens. En 1959, après avoir œuvré pendant plus de vingt ans à la tâche confiée par Peter Deunov, il part séjourner en Inde et y demeure une année.

Il y rencontre le Mahavatar Nimcaroli Babaji, dont Yogananda avait dit que son rôle était, depuis longtemps, celui d’un guide pour les prophètes et les maîtres. Il reçoit, dans des circonstances sur lesquelles il est toujours demeuré très discret, le nom «Omraam».Dans son ouvrage sur Omraam Mikhaël Aïvanhov, The Mystery of Light  (Le mystère de lalumière), Georg Feuerstein indique que le nom « Omraam » est formé de deux mantra« Om » et « Ram » bien connus en Inde. Il précise que :Om est le mantra le plus sacré des Hindous. Il représente l’Absolu ou le Divin.La syllabe Ram, écrite en français « Raam » pour qu’elle soit correctement prononcée, est le mantra qui représente l’élément feu...

Dans l’ouvrage autobiographique Afin de devenir un livre vivant, Omraam Mikhaël Aïvanhov donne quelques précisions au sujet de son nom et en explique le sens initiatique comme suit : « D’ailleurs le nom que l’on m’a donné dans l’Inde, Omraam, correspond aux deux processus  « solve » et « coagula » des alchimistes : Om dissout les choses, les rend subtiles, et Raam les matérialise, les concrétise. Le nom Omraam est donc tout un processus de concrétisation : l’idée invisible, impalpable qui doit s’incarner sur la terre pour que le monde entier puisse la voir, la toucher. »Jusqu’à cette époque, Frère Mikhaël avait refusé d’être appelé Maître par ses disciples. Il s’était toujours considéré lui-même comme un disciple de son propre maître, Peter Deunov. À la suite de ce voyage, tout était changé. Ses disciples, qui le suivaient déjà depuis 22 ans, insistaient pour lui témoigner le respect qui lui était dû et, finalement, il accepta qu’on l’appelle «Maître»...

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Son enseignement a une envergure universelle et les méthodes qu’il préconise, répondent de plus en plus aux besoins actuels et aux problèmes posés par la vie quotidienne. Sa préoccupation constante a toujours été, comme il le disait lui-même, d’être utile à ses contemporains, de les aider à trouver en eux-mêmes les forces qui y ont été déposées par le Créateur, et de participer à la réalisation d’une famille planétaire profondément fraternelle, d’un âge d’or pour l’humanité...

Maestri

La fraternité de Peter Deunov

    Pour Mikhaël, c’était le commencement d’une nouvelle vie. Sa quête de la perfection prenait un sens plus précis. Il se sentait riche d’avoir trouvé un trésor qu’il considérait comme l’un des plus précieux au monde, un Maître spirituel. En fait, tout ce qu’il avait découvert et pratiqué depuis plusieurs années était confirmé et équilibré par cet enseignement. Il en était profondément heureux car, s’il connaissait maintenant les dangers inhérents à des exercices immodérés, il ne pouvait s’empêcher, par moments, d’être impru­dent. Persuadé qu’il lui fallait un guide pour avancer dans le monde spirituel, il attendait de Peter Deunov des conseils et des méthodes de travail. Omraam Mikhael Aivanhov

   Cependant, le temps approchait où Mikhaël allait être appelé à quitter son pays pour toujours. Pendant des années, Peter Deunov avait fait en sorte de le garder dans l’ombre, aussi la plupart des membres de la fraternité avaient-ils oublié la phrase mystérieuse qu’il avait prononcée au bord du deuxième lac de Rila : « Vous ne connaissez pas frère Mikhaël. Pour le moment, il est déguisé, mais un jour vous le connaîtrez. » Au cours des années trente, il commença à lui révéler certaines choses pour le préparer de façon plus directe à sa tâche future. L’une de ces révélations lui fut présentée sous la forme d’une histoire allégorique:
   – J’ai une pierre précieuse grosse comme un œuf, d’une valeur inestimable. J’ai l’intention de la donner à quelqu’un pour qu’il la transporte dans un autre pays. Mais comme il doit traverser une forêt sauvage remplie de bêtes féroces et de brigands, elle sera salie. Ensuite, elle sera lavée et brillera dans toute sa splendeur.
   C’était une véritable prophétie qui devait se réaliser complètement dix ans plus tard, mais Mikhaël n’était pas en mesure de déchiffrer un langage aussi hermétique qui lui décrivait son propre avenir : lui-même allait être le porteur de cet enseignement symbolisé par la pierre précieuse et il allait être sali au même titre qu’elle. Depuis que le Maître lui avait prédit en 1917 que toute la Loge Noire se dresserait un jour contre lui, il s’attendait à traverser de grandes épreuves, mais le symbole de la pierre précieuse qu’il fallait souiller afin de la protéger ne prendra tout son sens qu’au moment où ces épreuves seront toutes proches. Peter Deunov, s’il voyait l’avenir, ne pouvait le lui révéler, car il n’aurait fait que lui mettre une entrave dans son cheminement. 


Mission en France

  Continuellement inspiré par les événements de la vie quotidienne qui reflètent fidèlement les mondes subtils, Frère Mikhaël s’en servait pour illustrer sa pensée. Quand des amis l’emmenèrent voir un lieu d’attractions appelé Luna Park, il s’arrêta fasciné devant l’un des jeux. Des gens étaient invités à monter sur un plateau de bois appelé « l’assiette au beurre » qui se mettait à tourner de plus en plus rapidement. Au fur et à mesure que la vitesse augmentait, ceux qui se trouvaient à la périphérie du plateau étaient projetés de tous côtés sur le tapis, tandis que ceux du centre demeuraient stables. Très intéressé, Frère Mikhaël y vit une illustration du lien avec Dieu qui est le centre de tout et, dans ses conférences, il utilisa plusieurs fois l’exemple de l’assiette au beurre : pour éviter d’être sans cesse bouleversé par les événements de la vie, il faut « rester lié à Dieu, ne plus le quitter en dépit des épidémies, des souffrances et des guerres.

    La fraternité se développait en France depuis que Frère Mikhaël avait donné une conférence à Lyon au mois de juin 1938. Il avait abordé un sujet qui lui était bien personnel, la « galvanoplastie spirituelle ». À partir du processus de galvanoplastie qui recouvre d’or un objet, il avait affirmé que la femme enceinte possédait le pouvoir d’influencer l’enfant qu’elle portait :
   – Supposez que la mère, connaissant les lois de la galvanoplastie, décide de les utiliser pour mettre son enfant au monde. Dès qu’elle a reçu le germe dans son sein (la cathode), elle place dans sa tête (l’anode) une lame d’or, c’est-à-dire les pensées les plus élevées. La circulation s’établit et le sang qui parcourt le corps apporte au germe ce métal supérieur. L’enfant grandit, enveloppé de ces vêtements d’or, et quand il naît il est robuste, beau, noble, capable de vaincre les difficultés, les maladies et les influences mauvaises. La mère peut accomplir des miracles, de grands miracles, parce qu’elle possède la clé des forces créatrices. En cinquante ans les femmes peuvent changer l’humanité grâce à la galvanoplastie spirituelle.
     […] Le Maître Deunov avait dit à Frère Mikhaël qu’il avait été préparé à apporter une aide spirituelle aux femmes. C’était effectivement une de ses préoccupations constantes, mais à partir de la technique de la galvanoplastie, il faisait aussi une transposition spirituelle générale : tous les êtres humains peuvent utiliser ce même processus pour mettre de l’or dans leurs pensées, une image divine dans leur cœur, et se lier sans cesse au centre d’où proviennent toutes les forces vivifiantes ; l’être humain possède des pouvoirs extraordinaires pour arriver à la perfection, et la méditation est l’un des moyens les plus efficaces pour obtenir le contrôle de soi et l’harmonie intérieure. 


Omraam Mikhaël Aïvanhov

   Son séjour en Inde avait été un voyage vers des sommets spirituels. Une immersion dans une civilisation unique au monde, la rencontre de grands Maîtres, la découverte de milieux riches ou pauvres : hommes d’affaires et ministres, yogis et brahmanes, gens de la classe moyenne, sadhous et mendiants… Dans ce pays, où il avait dû faire face aux conditions les plus difficiles de la vie sur la terre – celles de la pauvreté et de l’ignorance – il avait aussi trouvé les valeurs spirituelles d’un peuple orienté vers la recherche de l’absolu et la suppression des désirs terrestres, un peuple imprégné des efforts de détachement de centaines de générations. Au début et à la fin de son séjour, il avait lui-même consacré des mois à la contemplation dans la solitude de l’Himalaya. Encore une fois, il était allé sur la montagne spirituelle. Encore une fois, il était revenu vers sa famille humaine.Omraam Mikhael Aivanhov
  

Omraam Mikhaël était l’un de ces êtres épris de Dieu, capables de canaliser toutes leurs énergies pour atteindre les cimes de l’expérience spirituelle. À seize ans, pour la première fois, il était allé sur cette montagne mystérieuse où l’on peut rencontrer le monde divin. Il y était monté, il avait failli y mourir de bonheur, mais il en était redescendu, et s’il en était redescendu, c’était parce qu’il savait, dans le fond de son cœur, qu’il avait une tâche à accomplir et que le plus grand bonheur ne pourrait jamais le distraire de cette tâche. C’est ce qu’il disait à propos de son extase, à dix-sept ans, au cœur de la musique des sphères : « C’est la peur qui m’a fait revenir, non pas la peur de mourir, mais de ne plus pouvoir revenir travailler sur la terre. Si vous avez une tâche sur la terre, il faut l’entreprendre. Je ne pouvais pas y renoncer. »


  On l’appelait maintenant Maître, et si on l’appelait ainsi, ce n’était pas parce qu’il avait appris à dominer ses semblables, au contraire, c’était parce qu’on pouvait constater chez lui cette domination de soi qui ne s’obtient qu’après des années d’efforts assidus. Il avait commencé très tôt ce travail de perfectionnement que tous sont appelés à faire sur eux-mêmes, il avait traversé une grande partie des difficultés que peuvent connaître tous les êtres humains, il les avait utilisées comme des instruments pour se transformer.
  Après son séjour en Inde, il lui arrivera de parler des grands Maîtres qui, après avoir atteint à la maîtrise personnelle, ont préféré vivre dans la solitude plutôt que de rester avec la famille humaine. Lui-même ne pensait qu’à cette famille humaine qui était sienne. Il ne pensait qu’à ses frères, ses sœurs, ces hommes, ces femmes, ces enfants qu’il voulait prendre par la main, fraternellement, et les guider vers les sommets de leur être, les aider à comprendre leur rôle dans cette société, dans cette famille dont ils font partie… et c’est pourquoi il leur parlait sans cesse de la vraie fraternité qui peut apporter à l’humanité un Âge d’Or. Car s’il désirait les aider à se perfectionner, à trouver la joie et la paix intérieures, son but était plus vaste encore, il voulait les amener beaucoup plus loin : bien au-delà des méthodes individuelles, il se préoccupait de la création d’une civilisation fraternelle, solidaire, aussi spirituelle que matérielle, axée sur les valeurs les plus élevées, pour le plus grand bien de tous...


Le Maître et les jeunes...

   Attentif aux événements de son temps, il explique aux jeunes comment ils peuvent se transformer eux-mêmes avant de penser à transformer une société qui les déçoit. Il n’a pas oublié sa propre jeunesse remplie d’énergies bouillon­nantes et de recherches passionnées. Comme Peter Deunov le lui a dit un jour, il est le plus grand démolisseur des idées vermoulues, mais en même temps, il connaît l’importance d’orienter les énergies de la jeunesse vers la vie et non vers la violence et la mort. Mentionnant un jour certains mouvements contestataires organisés par les jeunes, comme celui des hippies aux États-Unis – qui avaient choisi comme symbole un geste de paix et d’amour – il affirme que ceux-ci avaient instinctivement cherché la fraternité universelle et qu’ils étaient des manifestations du Verseau.

Omraam Mikhael AivanhovCependant, s’il comprend les jeunes, il n’essaie pas de leur rendre les choses plus faciles. Il leur donne plutôt les moyens de canaliser et de concrétiser leurs énergies et leurs aspirations. Conscient de leur insatisfaction profonde, il les appelle à reconnaître que la vraie force se trouve en eux-mêmes, dans leur capacité de se dominer, de se montrer nobles et grands. Il les encourage à s’adapter aux exigences de la société afin de devenir capables de la transformer de l’intérieur ; il leur parle des lois immuables qui existent entre les causes et les conséquences.


   Avec des mots imagés, il leur explique les lois de la morale cosmique : d’abord la loi de l’enregistrement, grâce à laquelle la nature garde en mémoire tout ce qui se produit dans le monde ; en second lieu, la loi de l’agriculture qui détermine les résultats du travail des êtres humains, car ceux-ci ne peuvent récolter que ce qu’ils ont semé ; enfin, la loi de l’écho qui leur renvoie toujours les mots qu’ils prononcent : « Je vous déteste » ou « Je vous aime ». Les mêmes correspondances se répètent sur un plan supérieur : les pensées négatives que les gens laissent échapper leur attirent des choses nocives qui finissent par les empoisonner. De même que tout s’enregistre dans la nature, leurs actions s’impriment dans leur propre mémoire et continuent à les influencer, à les torturer ou à leur donner de la joie. De là découle l’importance, pour tous les êtres humains, d’adopter un comportement capable de créer en eux-mêmes de nouveaux enregistrements, de nouveaux clichés...

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 Qu'est-ce qu'un Maître spirituel ?
C’est un être qui est parvenu à contrôler, à dominer ses pensées, ses sentiments et ses actes …
Le Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov a été un maître spirituel qui a vécu au 20ème siècle. Un Maître c'est quelqu'un qui est arrivé à se servir de ses forces et de ses qualités pour réussir de grandes choses. On peut devenir un maître en karaté, un maître de ballet, un maître en informatique. On peut aussi devenir le maître de soi-même. Mikhaël a commencé très tôt dans la vie, quand il était encore un enfant, à contrôler ses énergies, ses impulsions, ses désirs. Il a réussi. Il est devenu un vrai Maître et il a consacré toute sa vie à aider les autres.Dominer ses pensées ses sentiments et ses actes sous-entend des méthodes, une discipline spéciale, un savoir profond concernant la structure de l’être humain, les forces qui circulent en lui, les correspondances qui existent entre tout son être (ses organes et ses différents corps) et les différents domaines de la nature. Etre maître de soi suppose aussi que l’on connaît les entités du monde invisible et la structure de l’univers entier. Un Maître est un être qui a résolu les problèmes essentiels de la vie, il est libre, il possède une volonté forte, mais, par-dessus tout, il est rempli d’amour, de bonté, de douceur et de lumière. Pour devenir un Maître, que de travaux, d’études et de persévérance sont nécessaires...

Les véritables Maîtres sont puissants parce qu’ils ont réussi à accorder leur philosophie et leur conduite. Ce qu’ils enseignent, ils sont les premiers à le mettre en pratique dans leur vie personnelle. Ils sont des exemples vivants. Et être un exemple vivant, c’est être une source, comme je vous l’ai dit dans ma première conférence, une source qui attirera les plantes, les animaux et les hommes. Voilà pourquoi autour d’un Maître vivent des disciples...

Avec désintéressement et amour il ne cessa jamais de donner son savoir et son attention à tous ceux qui venaient auprès de lui. C’est ainsi qu’il définissait sa tâche : « La vie spirituelle est comparable à l’ascension d’une haute montagne, et un Maître spirituel est le guide qui doit conduire la cordée jusqu’au sommet. C’est une grande responsabilité qui exige beaucoup de discipline. Pendant cette ascension, le guide ne peut pas s’arrêter en chemin et se retourner pour bavarder avec ceux qu’il conduit, leur sourire ou leur taper sur l’épaule afin de leur faire plaisir ; il doit aller tout droit en gardant les yeux fixés sur le but à atteindre. »« Mon désir est de vous expliquer le plus simplement possible de grandes vérités, sur lesquelles l'homme peut baser son existence, grâce auxquelles il peut améliorer sa vie... »« Par mon enseignement je souhaite vous donner des notions essentielles sur l'être humain : comment il est construit, ses relations avec la nature, les échanges qu'il doit faire avec l'univers, afin de boire aux sources de la vie divine… »

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« Son rire était celui d'un être pur, libre, heureux, fraternel...
C'est extraordinaire de voir comment un être qui avait autant travaillé dans l'ascèse, l'avancement spirituel, qui était passé par tant d'épreuves, comment il pouvait être aussi heureux :parce qu'il s'intéressait aux autres, parce qu'il cherchait tout le temps à révéler la beauté de la terre. »Témoignage extrait de la biographie de Louise-Marie Frenette
Frère Mikhaël à son arrivée en France, 1937 Prophètes,Personne qui parle au nom de Dieu, qui retranscrit la parole, la voix de Dieu, qui apporte la vérité à l'humanité...
« Sur le plan matériel, il est une volonté qui sait ne jamais agir contre les autres.
Il est une âme épurée, empli d'un amour sacré et impersonnel.Il est une intelligence reconnue par tous ses auditeurs
comme étant particulièrement lumineuse et pénétrante,possédant d'extraordinaires pouvoirs d'analyse et de synthèse.
Ce qui est plus encore, il pense ce qui est divin,il le sent et il l'exécute. »Svezda

 

Un enseignement adapté à notre temps...

Nombreux sont aussi les lecteurs qui reconnaissent que cet enseignement est particulièrement adapté à notre temps. En effet, si pendant des millénaires les sages, des Maîtres spirituels ont guidé leurs disciples sur le chemin de ce que l’on a appelé, suivant le cas, le bonheur, le salut, l’illumination, depuis la première guerre mondiale est apparue une situation tout à fait inédite. La multiplication des armes de destruction massive menace désormais la survie même de l’humanité.C’est pourquoi O. M. Aïvanhov n’a cessé de répéter que la pratique spirituelle, qui est en général considérée comme une démarche purement personnelle, doit tenir compte des liens qui unissent les humains entre eux. Pour lui le mot « fraternité » prend là tout son sens...

« Pour le travail que j’envisage, je veux des êtres qui soient riches dans leur coeur et dans leur âme. Il ne faut plus se contenter de parler d’amour, de paix et de fraternité, il faut les vivre en apprenant à se rencontrer et à faire des échanges dans des domaines où les valeurs prônées par la société ne comptent plus tellement. Venez soutenir mon travail, prêtez vos forces,faites des efforts, donnez un exemple d’esprit fraternel. Vous prétendez aimer votre pays, mais que faites-vous pour que tous puissent y vivre fraternellement ? Vous ne savez pas encore combien votre exemple pourrait devenir contagieux. »Un idéal de Fraternité Universelle...« Efforcez-vous de prendre conscience des liens qui vous unissent non seulement aux membres de votre famille, à vos amis, mais à tous vos frères humains dans le monde. Quelle est la nature de ces liens ? Chaque fois que vous progressez, les richesses et les lumières que vous recevez se reflètent sur eux. À cause de votre avancement, ils avancent aussi. Chaque fois que vous arrivez à rendre votre vie plus pure, plus riche, plus lumineuse, subtilement, imperceptiblement, vous les entraînez avec vous vers le haut. » Cette préoccupation ne le quittait pas lorsqu’il séjournait à l’étranger. Les personnes qui l’ont accompagné ont pu dire que ses voyages n’avaient rien de commun avec le tourisme. Et lui-même a confié un jour : « Dans tous les pays du monde que je visite, le spectacle de la foule dans les rues m’inspire toujours la même pensée : ces hommes et ces femmes ont chacun leur existence propre, leur histoire, leurs problèmes à résoudre, leurs souffrances, leurs amours… Ils vont et viennent comme des individus livrés à eux-mêmes, mais en réalité il y a un Être qui les soutient tous, parce qu’Il vit en eux. Et à tous, j’essaie, au moins par la pensée, de donner quelque chose de bon de mon cœur et de mon âme...

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Omraam Mikhaël Aïvanhov

  Son séjour en Inde avait été un voyage vers des sommets spirituels. Une immersion dans une civilisation unique au monde, la rencontre de grands Maîtres, la découverte de milieux riches ou pauvres : hommes d’affaires et ministres, yogis et brahmanes, gens de la classe moyenne, sadhous et mendiants… Dans ce pays, où il avait dû faire face aux conditions les plus difficiles de la vie sur la terre – celles de la pauvreté et de l’ignorance – il avait aussi trouvé les valeurs spirituelles d’un peuple orienté vers la recherche de l’absolu et la suppression des désirs terrestres, un peuple imprégné des efforts de détachement de centaines de générations. Au début et à la fin de son séjour, il avait lui-même consacré des mois à la contemplation dans la solitude de l’Himalaya. Encore une fois, il était allé sur la montagne spirituelle. Encore une fois, il était revenu vers sa famille humaine.Omraam Mikhael Aivanhov
   Omraam Mikhaël était l’un de ces êtres épris de Dieu, capables de canaliser toutes leurs énergies pour atteindre les cimes de l’expérience spirituelle. À seize ans, pour la première fois, il était allé sur cette montagne mystérieuse où l’on peut rencontrer le monde divin. Il y était monté, il avait failli y mourir de bonheur, mais il en était redescendu, et s’il en était redescendu, c’était parce qu’il savait, dans le fond de son cœur, qu’il avait une tâche à accomplir et que le plus grand bonheur ne pourrait jamais le distraire de cette tâche. C’est ce qu’il disait à propos de son extase, à dix-sept ans, au cœur de la musique des sphères : « C’est la peur qui m’a fait revenir, non pas la peur de mourir, mais de ne plus pouvoir revenir travailler sur la terre. Si vous avez une tâche sur la terre, il faut l’entreprendre. Je ne pouvais pas y renoncer. »
  On l’appelait maintenant Maître, et si on l’appelait ainsi, ce n’était pas parce qu’il avait appris à dominer ses semblables, au contraire, c’était parce qu’on pouvait constater chez lui cette domination de soi qui ne s’obtient qu’après des années d’efforts assidus. Il avait commencé très tôt ce travail de perfectionnement que tous sont appelés à faire sur eux-mêmes, il avait traversé une grande partie des difficultés que peuvent connaître tous les êtres humains, il les avait utilisées comme des instruments pour se transformer.
  Après son séjour en Inde, il lui arrivera de parler des grands Maîtres qui, après avoir atteint à la maîtrise personnelle, ont préféré vivre dans la solitude plutôt que de rester avec la famille humaine. Lui-même ne pensait qu’à cette famille humaine qui était sienne. Il ne pensait qu’à ses frères, ses sœurs, ces hommes, ces femmes, ces enfants qu’il voulait prendre par la main, fraternellement, et les guider vers les sommets de leur être, les aider à comprendre leur rôle dans cette société, dans cette famille dont ils font partie… et c’est pourquoi il leur parlait sans cesse de la vraie fraternité qui peut apporter à l’humanité un Âge d’Or. Car s’il désirait les aider à se perfectionner, à trouver la joie et la paix intérieures, son but était plus vaste encore, il voulait les amener beaucoup plus loin : bien au-delà des méthodes individuelles, il se préoccupait de la création d’une civilisation fraternelle, solidaire, aussi spirituelle que matérielle, axée sur les valeurs les plus élevées, pour le plus grand bien de tous...


Une Mission Universelle

       Lui-même, après avoir subi le feu purificateur de la calomnie et de l’injustice, après avoir perdu sa réputation et sa liberté, a continué son travail sans se laisser arrêter. Peter Deunov lui avait fait cette prédiction : « Quand tu passeras par la porte étroite, tu te transformeras tellement que tu ne te reconnaîtras plus. Tu brilleras comme le soleil et tu attireras le monde entier. » Et maintenant, il est devenu un guide spirituel, s’adressant non seulement à un peuple, mais à des êtres venus des cinq continents...

Ce qu’il veut établir, c’est une civilisation universelle :Omraam Mikhael Aivanhov« Mon seul souci, c’est la fraternité. La famille… dans le monde entier. … C’est très important, ce que la Fraternité Blanche Universelle prépare maintenant. Elle est venue pour quelque chose qui n’était pas, dans le passé, dans la tête des humains. Ils pensaient à autre chose : comment devenir clairvoyants, comment obtenir les pouvoirs, comment se lier avec le Seigneur. Et on abandonnait la terre, on abandonnait le monde entier. Il y a eu tellement d’Initiés, de gourous, de saints et de prophètes qui ne pensaient qu’à sauver leur âme, et le monde entier est resté dans ce désordre, dans cette misère… »
     À l’ère du Verseau, c’est le moment de construire un monde de beauté, d’amour et de fraternité pour tous les enfants de Dieu. « Ici nous travaillons pour le monde entier, pour qu’il comprenne que c’est la vraie fraternité qui apportera la paix. » Omraam Mikhaël aime utiliser l’image des deux triangles contenus dans le symbole du sceau de Salomon. Il dit que les enseignements du passé, en Inde ou au Tibet, ont été basés sur le triangle pointé vers le haut, et qu’il faut maintenant s’inspirer du triangle pointé vers le bas, c’est-à-dire faire descendre le Royaume de Dieu sur la terre :
   « Notre Enseignement veut former des êtres qui sachent travailler sur la terre, y organiser les choses, tout en étant tendus vers l’idéal qui de plus en plus deviendra réalité. Les êtres de l’avenir ne perdront jamais de vue ni l’un ni l’autre côté de leur vie. C’est ainsi qu’ils deviendront un avec leur idéal. Il faut rester fondu avec l’idéal – Dieu – tout en gardant le sens de la terre. »
   Il la veut belle, cette terre, il la veut merveilleuse comme un jardin de paradis. Pour ses frères et sœurs du monde entier, il souhaite une société réconciliée, apaisée, tolérante, spirituellement nourrie, même riche et prospère, qui leur permette de vivre dans un bonheur indescriptible, et qui leur donne la possibilité de développer tous les aspects de leur être, à partir de toutes les qualités de leur corps physique jusqu’aux capacités les plus extraordinaires de leurs corps subtils.   Et pour y arriver, ils doivent se mettre à la tâche en installant l’harmonie en eux-mêmes et autour d’eux, en se tendant la main, en s’entraidant fraternellement. En tant qu’héritiers du monde divin, ils peuvent matérialiser tous les trésors spirituels qui existent, ces trésors qui sont là, pour tous, à portée de la main...

Jean yves caro

*Témoignages Au Maître*

La marque d’un grand Maître Spirituel réside dans sa capacité à transmettre la sagesse avec une telle clarté qu’elle semble réellement simple comme si on l’avait toujours connue,comme si on la possédait en soi... *Larry Dossey*

Agnès Lejbowicz
Svezda
Georg Feuerstein
Louise-Marie Frenette...
L'Enseignement du Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov est d'une exceptionnelle ampleur et d'une exceptionnelle élévation. Il répond à la question que nous nous posons sans cesse: comment vivre.
Ce qui a été rejeté jusqu'à présent par tous les écrivains et penseurs, est traité ici: comment manger, comment respirer, comment dormir, comment se laver, comment regarder, comment écouter la musique ... ; comment méditer, comment développer notre imagination, notre volonté; comment mettre les enfants au monde, comment les éduquer; comment aimer, comment utiliser toutes nos énergies et les accroître; comment se renforcer et se régénérer en captant les rayons du soleil le matin; comment développer notre sensibilité au contact de la Nature, comment respecter tout ce qui est vivant et entrer en liaison avec les régions supérieures de notre être...

Rien n'a été négligé par le Maître pour nous remettre en mains propres les clés de notre avenir. Aussi, en même temps que des explications philosophiques profondes, toujours d'une grande simplicité, il nous propose des exercices, des pratiques, des méthodes qui ne surchargent pas notre vie quotidienne, mais qui au contraire pénètrent dans le concret, le vif de notre existence pour nous permettre de la dominer et de l'embellir. Toutes ces méthodes nous apprennent à travailler avec les forces de la nature, dans le but de nous améliorer, d'échapper aux angoisses et aux obscurités de la vie, de nous libérer sans léser aucune créature, enfin d'aider tous les hommes..."

 Le Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov est un représentant vivant de sa philosophie. Ne pas reconnaître en lui ce pouvoir d'éclairer, de guider, de vivifier, de rendre heureux, puissant et fort n'est possible qu'à ceux qui ne l'ont jamais suivi ni écouté. Il suffit de faire l'expérience d'être un de ses élèves, pour constater qu'il possède la connaissance profonde de la science de la vie, qu'il sait ouvrir à tous les êtres des horizons immenses et d'une pureté insoupçonnée. Il sait donner, à ceux qui ont soif de s'élever et d'apprendre, une science méconnue, imprégnée d'une pédagogie et d'une psychologie extraordinaires. Sa parole sonde tous les domaines de la vie; elle jette une lumière fulgurante sur toutes les activités humaines, les situant à leur niveau, leur accordant l'importance limitée ou capitale que leur confère leur position sur l'échelle des vraies valeurs. Il donne la preuve que la nature a résolu depuis longtemps tous les problèmes dont se préoccupent les hommes et il apporte la vérification que ces solutions diffèrent souvent radicalement des solutions adoptées par les humains. Il fait constater l'existence de cette unique philosophie dont tous les plus grands esprits de l'humanité, depuis les temps les plus reculés, se sont faits les transmetteurs, laquelle n'a rien de commun avec les systèmes philosophiques inventés par les humains, étant donné qu’elle est inscrite dans les formes, les couleurs, les orientations et lois de la nature. Un tel Maître ramène ses disciples au respect des lois naturelles, de tout ce que l'homme n'a pas créé, mais qui est l’œuvre de son Créateur. Il donne ainsi les moyens de ne plus s'égarer sur de fausses voies. En un mot, il apprend aux humains à vivre au sein de ce Cosmos dont il ne peut s'extraire...

Aucune Université ou Ecole ésotérique n'enseigne cette science de la vie. Si, de tant de côtés, on vous répète qu'il faut être vertueux, bon, etc... nulle part on ne vous apprend les moyens effectifs de le devenir et surtout on ne vous montre aucun modèle vivant à imiter. Même les églises de toutes confessions n’indiquent pas les moyens basés sur des données vérifiables et des méthodes acceptées par la nature, scientifiquement efficaces qui permettent à coup sûr de se transformer, de vaincre ses faiblesses, de maîtriser sa nature et d'aimer le Créateur...

 Omraam Mikhaël Aïvanhov était un homme simple et direct. Parfois la simplicité et la franchise sont seulement l'expression d'un manque de subtilité. Dans le cas d'Aivanhov, ils sont le fruit d'une lucidité mentale exceptionnelle et d'une grande intégrité personnelle. Il a présenté même les idées les plus complexes d'une manière simple et vivante et avec une absence de prétention qui pourrait être trompeuse.Notre époque aime les choses compliquées. Nous sommes fiers d'être sophistisqués et nous supposons, en général, que les réflexions profondes exigent des expressions compliquées. Nous nous demandons toujours si un penseur obscur n'est pas incroyablement profond. Aïvanhov se passe de toute cette prétention et de cette confusion. Ses nombreuses conférences (il n'a pas écrit de livres lui-même) reflètent une simplicité, une lucidité et une profondeur constantes.

Durant les presque cinquante ans d'enseignement, beaucoup de gens venus écouter Aïvanhov l'ont trouvé trop simple et sont allés vers d'autres enseignements et philosophies qui leur semblaient plus importants parce que plus compliqués. On ne découvre la profondeur de ses idées que lorsque l'on aborde son enseignement sans snobisme intellectuel et sans idées préconçues. Comme le fait remarquer le médecin et écrivain américain Larry Dossey:«La marque d'un grand maître spirituel réside dans sa capacité de transmettre la sagesse avec une telle clarté lumineuse qu'elle semble réellement simple comme si on l'avait toujours connue, comme si on la possédait tous en soi. Un tel instructeur est Omraam Mikhaël Aivanhov, dont les paroles nous semblent naturelles et vraies. A une époque où l'on confond la profondeur avec un ésotérisme impénétrable, Aïvanhov est une découverte rafraîchissante.»

Dans la tradition ésotérique, on raconte une anecdote selon laquelle un aspirant quelque peu présomptueux était allé auprès d'un illustre maître spirituel pour recevoir son enseignement. Quand l'instructeur lui demanda de balayer le plancher, le jeune homme hésita. Lorsque l'instructeur voulut le rassurer en lui disant que c'était là son enseignement le nouveau venu se moqua de lui d'un air méprisant et partit. Il n'avait rien compris de la leçon et ne pressentit donc rien d'un enseignement qui l'aurait assurément transformé.

A certains égards, lire les conférences publiées d'Aïvanhov est comme l'épreuve du balayage. Nombre de ses idées semblent si familières que nous pouvons facilement en conclure à la légère que nous les avons déjà rencontrées et dépassées. Mais il y a une grande différence entre le fait de savoir quelque chose et le fait de le vivre. Les conférences d'Aïvanhov et sa vie exemplaire nous rappellent constamment cette différence fondamentale.En creusant davantage les conférences d'Aïvanhov, on devient humble devant l'immense profondeur de sa compréhension. Quand on suit sa pensée attentivement et qu'on découvre petit à petit sa profondeur et sa beauté, on est touché et transformé par elle.""Le Mystère de la lumière" Prosveta Ed...

‘‘La grande passion d’Omraam Mikhaël Aïvanhov était toujours d’enflammer les cœurs et les esprits. Il disait quelquefois qu’il souhaitait être un Prométhée, capable de dérober le feu du ciel pour le donner aux humains. Son chemin personnel était celui de la Lumière, et tout son enseignement se trouvait centré sur cet élément fondamental à la vie qu’il définissait comme la meilleure représentation de Dieu pour les êtres humains. Il expliquait comment on peut s’en servir pour se transformer et devenir rayonnant comme le soleil.’’

L’un des aspects les plus importants de la tâche d’Omraam Mikhaël Aïvanhov sur la terre a été de poser les bases d’une authentique fraternité universelle. Toute sa vie, il a parlé d’entente fraternelle, de partage et de paix. Toute sa vie, il a essayé d’amener les gens à comprendre une chose essentielle: la paix ne peut se réaliser que dans une réelle fraternité entre tous les humains. Elle doit s’amorcer dans les cœurs pour se propager ensuite dans les familles et dans les divers pays du monde entier...

‘‘Ses méthodes sont pratiques, réalistes, efficaces. Il explique comment se purifier pour recevoir des énergies supérieures, comment transmuter le mal en bien et se mettre au diapason des puissants mondes invisibles qui contiennent toutes les forces du cosmos, comment s’harmoniser avec les quatre éléments de la nature et accomplir une œuvre créatrice en se servant de leur puissance.
Ses perspectives sur le sens de l’amour et de la sexualité, sur les grandes lois de la morale cosmique, sur la vraie pureté qui consiste à avoir le cœur pur comme le cristal, sur le yoga du soleil et de la nutrition, ou encore sur la manière dont une mère peut former des enfants exceptionnels, toutes ces façons d’entrevoir les diverses facettes de la réalité sont à la fois inattendues et vivifiantes. Et elles sont présentées avec l’objectif de préparer un véritable âge d’or pour l’humanité.’’"La vie d'un Maître en Occident" - Editions A.D.A. (Varennes, Canada)

Louise-Marie FRENETTE
" Attentif aux événements de son temps, il explique aux jeunes comment ils peuvent se transformer eux-mêmes avant de penser à transformer une société qui les déçoit. Il n’a pas oublié sa propre jeunesse remplie d’énergies bouillonnantes et de recherches passionnées. Comme Peter Deunov le lui a dit un jour, il est le plus grand démolisseur des idées vermoulues, mais en même temps, il connaît l’importance d’orienter les énergies de la jeunesse vers la vie et non vers la violence et la mort. Mentionnant un jour certains mouvements contestataires organisés par les jeunes, comme celui des hippies aux États-Unis – qui avaient choisi comme symbole un geste de paix et d’amour – il affirme que ceux-ci avaient instinctivement cherché la fraternité universelle et qu’ils étaient des manifestations du Verseau.

Cependant, s’il comprend les jeunes, il n’essaie pas de leur rendre les choses plus faciles. Il leur donne plutôt les moyens de canaliser et de concrétiser leurs énergies et leurs aspirations. Conscient de leur insatisfaction profonde, il les appelle à reconnaître que la vraie force se trouve en eux-mêmes, dans leur capacité de se dominer, de se montrer nobles et grands. Il les encourage à s’adapter aux exigences de la société afin de devenir capables de la transformer de l’intérieur ; il leur parle des lois immuables qui existent entre les causes et les conséquences.

Avec des mots imagés, il leur explique les lois de la morale cosmique : d’abord la loi de l’enregistrement, grâce à laquelle la nature garde en mémoire tout ce qui se produit dans le monde ; en second lieu, la loi de l’agriculture qui détermine les résultats du travail des êtres humains, car ceux-ci ne peuvent récolter que ce qu’ils ont semé ; enfin, la loi de l’écho qui leur renvoie toujours les mots qu’ils prononcent : « Je vous déteste » ou « Je vous aime ». Les mêmes correspondances se répètent sur un plan supérieur : les pensées négatives que les gens laissent échapper leur attirent des choses nocives qui finissent par les empoisonner. De même que tout s’enregistre dans la nature, leurs actions s’impriment dans leur propre mémoire et continuent à les influencer, à les torturer ou à leur donner de la joie. De là découle l’importance, pour tous les êtres humains, d’adopter un comportement capable de créer en eux-mêmes de nouveaux enregistrements, de nouveaux clichés. "La vie d'un Maître en Occident" Editions Robert Lachance (Laval, Québec)

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Oma bio 3 big 1 1« Son rire était celui d'un être pur, libre, heureux, fraternel...
C'est extraordinaire de voir comment un être qui avait autant travaillé dans l'ascèse, l'avancement spirituel, qui était passé par tant d'épreuves, comment il pouvait être aussi heureux :parce qu'il s'intéressait aux autres, parce qu'il cherchait tout le temps à révéler la beauté de la terre. »Témoignage extrait de la biographie de Louise-Marie Frenette
Frère Mikhaël à son arrivée en France, 1937 Prophètes,Personne qui parle au nom de Dieu, qui retranscrit la parole, la voix de Dieu, qui apporte la vérité à l'humanité...

« Sur le plan matériel, il est une volonté qui sait ne jamais agir contre les autres.
Il est une âme épurée, empli d'un amour sacré et impersonnel.Il est une intelligence reconnue par tous ses auditeurs
comme étant particulièrement lumineuse et pénétrante,possédant d'extraordinaires pouvoirs d'analyse et de synthèse.
Ce qui est plus encore, il pense ce qui est divin,il le sent et il l'exécute. »Svezda

Source...http://www.prosveta.fr/un-id%C3%A9al-de-fraternit%C3%A9-universelle

Source...http://www.prosveta-canada.com/accueil

Source...http://www.fbu.org/2015/pages/enseigne-ment/enseigne-ment.html

Cette vidéo audio présente la vie du Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov, ses origines, ses liens avec le Maître Peter Deunov, et l'enseignement qu'il a donné en France depuis les années 40...

 

 


***Une Infinie Gratitude cher Père Spirituel,Frère de coeur, Maître pour l'humanité que tu as porté en ton coeur jour après jour,pour ta patience,ta compréhension,ta sagesse,ton Amour inconditionnel et pour tout ce que tu nous a enseigné pour que nous soyons toujours sur la voie du bien du beau et du juste...***Merci de tout coeur Cristalyne ***

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 Posté 24 Mars 2016 Par Cristalyne...Colonne de feu 1