00train***Le train de ma vie***

A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents.On croit qu'ils voyageront toujours avec nous.Pourtant, à une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage.Au fur et à mesure que le temps passe, d'autres personnes montent dans le train.Et elles seront importantes : notre fratrie, nos amis, nos enfants, même l'amour de notre vie.Beaucoup démissionneront (même éventuellement l'amour de notre vie), et laisseront un vide plus ou moins grand.D'autres seront si discrets qu'on ne réalisera pas qu'ils ont quitté leurs sièges.Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d'attentes, de bonjours, d'au-revoirs et d’adieux.Le succès est d'avoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu qu'on donne le meilleur de nous-mêmes.On ne sait pas à quelle station nous descendrons, donc vivons heureux, aimons et pardonnons.Il est important de le faire car lorsque nous descendrons du train, nous ne devrons laisser que de beaux souvenirs à ceux qui continueront leur voyage.Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique.Aussi, merci d'être un des passagers de mon train.Et si je dois descendre à la prochaine station, je suis content d'avoir fait un bout de chemin avec vous.Je veux dire à chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie d’être dans ma vie et de voyager dans mon train...Jean D’Ormesson

00 parole***L’inspiration Divine***

Quelle que soit la religion qu’on t’ait enseignée,
Quelle que soit la façon dont on t’ait élevée,
Quelle que soit la manière dont tu aies compris tes maîtres
Tu comprendras et saisiras ce message

Il ne suffit pas que l’on croie en ce message
Il faut le vivre...

L’essence de la religion universelle, c’est la paix et la bonté imprégnées
De l’amour et de la bonté pour toutes les créatures de la terre.

Le moment est venu d’exprimer cette essence dans la vie personnelle
Il faut commencer par toi-même et ta vie intérieure

Tu veux réformer le monde ?  réforme-toi mon ami !

L’amour est au centre de toute religion,
La vertu qui est l’amour en action
Est l’accomplissement de la religion

N’aime pas seulement la famille et les amis,
Car limiter l’amour, c’est le nier,
Cherche la paix intérieure et l’inspiration divine
Persiste à faire ces choses, n’y renonce pas un seul instant

Par ta foi et tes actions, tu formes ta vie et tu aides à former la vie des autres
Quelle responsabilité !!!

En toi, l’esprit trouve son agent et son partenaire,
Autant tu en es conscient, autant tu seras enrichi
Tu auras une révélation plus profonde que tous tes rêves les plus exaltés

La nouvelle époque va poindre
Où l’on se rendra compte de l’unité de tout
Les différences entre les religions disparaîtront

Ce qu’elles ont de bon sera réuni et deviendra le but commun de l’humanité
Sache que le choix est à toi

Choisis l’amour plutôt que la haine,
La douceur plutôt que la violence,
La sainteté plutôt que le mal,

Ose croire que le règne de l’amour et de la paix arrive
Sois préparé, sois vertueux en toute action

La vertu ouvre toutes les portes,
Au-delà des portes se trouve l’amour
Que l’inspiration Divine envahisse toute ta vie...

Source: Texte découvert en 1693 dans l’église Saint Paul de Baltimore 

 

 

Va paisiblement ton chemiClocher d'une église à Baltimoren

***Voici le contenu d’un parchemin trouvé dans une vieille église de Baltimore***

Va reste calme au milieu du bruit et de l’impatience et souviens-toi de la paix qui découle du silence.

Autant que possible, et sans relâche, sois en bons termes avec tout le monde.

Si tu le peux, dis ce que tu penses, clairement, simplement et écoute les autres, même les sots et les ignorants, car eux aussi ont quelque chose à dire.

Évite les gens grossiers et violents, car ils ne sont que tourments pour l’esprit.

Si tu te compares aux autres tu pourrais devenir vaniteux ou amer ; mais sache qu’ici-bas, il y aura toujours quelqu’un de plus grand ou de plus petit que toi.

Sois fier de ce que tu as fait et de ce que tu veux faire. Aime ton métier, même s’il est humble ; c’est un bien précieux en notre époque troublée.

Sois prudent dans tes affaires, car on pourrait te jouer de vilains tours ; mais que ceci ne t’aveugle pas envers la vertu qui existe.

Beaucoup de gens aspirent à des idéaux élevés et partout on parle d’héroïsme. Sois toi-même.

Fuis le cynisme en amour, car il est un signe de sécheresse du cœur et de désenchantement.

Prends aimablement le conseil des ans tout en délaissant gracieusement les choses de la jeunesse.

Sois fort pour faire face aux malheurs de la vie ; mais ne te détruis pas avec ton imagination. Bien des peurs prennent naissance dans la fatigue et la solitude.

Malgré la discipline que tu t’imposes, sois bon envers toi-même.

Tu es un enfant de l’univers, tout comme les arbres et les étoiles et tu as le droit d’être ici. Même si cela n’est pas clair en toi, tu dois être sûr que tout se passe dans l’univers comme c’est écrit.

Ainsi, sois en paix avec Dieu, quelle que soit la conception que tu as de lui. Quels que soient ton labeur et tes aspirations, dans la confusion bruyante de la vie, sois en paix avec ton âme.

Dis-toi qu’en dépit de ses faussetés, de ses ingratitudes, de ses rêves brisés, le monde est tout de même merveilleux...

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00bonheur***Citations Omraam Mikhaël Aïvanhov*** 

***L’amour***
 
Seul l’amour peut rendre les humains parfaits.
 
Tant que vous ne connaîtrez pas l’amour comme état de conscience, 
vous serez dans l’obscurité et vous ne comprendrez pas grand-chose à la vie.
 
Je compte sur mon amour, je veux aimer et si les autres 
ne veulent pas aimer, c’est leur affaire.
 
Le meilleur remède à la peur, c’est l’amour : 
si vous aimez, la peur disparaît. 
 
L’amour est une force et cette force agit sur vous, 
sur votre mental, sur votre volonté, sur votre corps même, 
et il vous donne d’immenses possibilités.
 
L’amour, c’est comme l’essence pour votre voiture :
si vous avez de l’essence dans le réservoir, vous pouvez aller très loin,
mais si l’essence manque, où irez-vous ? Et si l’amour manque, où irez-vous ?
 
Seul l’amour peut vous donner la patience et 
vous ouvrir les yeux sur les intentions des autres.
 
Le véritable amour ne vous épuise pas, au contraire, 
il vous embellit, il vous illumine.
 
Le véritable amour pense avant tout au bonheur de l’autre.
 
Le jour où vous saurez ce qu’est le véritable amour, 
vous retirerez de chaque rencontre des éléments plus purs, 
plus chaleureux, plus lumineux, des éléments d’immortalité.
 
Aimez, et préoccupez-vous seulement d’améliorer la qualité de votre 
amour en lui enlevant les éléments de convoitise, de possessivité, 
de violence qu’il contient et qui nuisent à votre évolution. 
 
Ne jamais cesser d’aimer. Quoi qu’il vous arrive, ne fermez 
jamais votre cœur, car c’est alors le désert que vous laissez 
s’installer en vous. Les autres n’ont peut-être pas besoin 
de votre amour, mais vous, vous avez besoin d’aimer.

 

***L’avenir***
 
Sur quoi devez-vous fonder votre espérance ? Sur la certitude que 
l’avenir peut toujours être meilleur. Même si le présent n’est pas fameux, 
les puissances de la vie et du bien sont telles qu’elles peuvent toujours 
triompher du mal, du moment que vous décidez de vous associer à elles.
 
Seul celui qui recherche les biens spirituels peut être véritablement 
optimiste ; tandis que celui qui se concentre sur les biens matériels, 
même s’il est d’abord plein d’espoir, sera un jour ou l’autre 
obligé d’abandonner ses illusions.
 
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas, et même si 
aujourd’hui le soleil est caché par des nuages, demain 
vous le verrez se lever et tout vous sourira.
 
Ne pas s’inquiéter du lendemain, oui, mais à condition de penser 
à aujourd’hui, de bien vivre aujourd’hui, sinon vous passerez chaque 
lendemain à réparer les conséquences des fautes commises la veille. 
 
Le plus important, c’est de savoir à quoi vous consacrez vos forces, 
dans quelle direction vous travaillez parce que votre avenir en dépend. 
 
Ne vous laissez pas influencer par ceux qui ne prédisent que des 
difficultés et des malheurs : c’est tout simplement qu’ils ne savent
pas ce qu’est véritablement l’avenir, ni comment le construire.
 
Il y a deux grandes vérités à connaître : d’abord que la pensée est 
une puissance réelle, ensuite qu’elle vous permet de vous 
transporter dans l’avenir et de vivre cet avenir par anticipation.
 
Chaque événement étant la conséquence d’un événement 
antérieur, il est impossible d’interpréter correctement le 
présent si on ne jette pas un regard sur le passé. Mais 
ce présent, qui est la conséquence du passé, 
il faut savoir qu’il est possible de travailler 
sur lui pour que l’avenir soit meilleur, 
plus beau, plus lumineux.
 
Celui qui veut acquérir la maîtrise de sa destinée ne doit pas 
tellement attacher de l’importance à ce qui lui vient de l’extérieur.

 

***Le bien***
 
Le bien commence par des choses insignifiantes, par de 
toutes petites choses. Mais elles grandissent continuellement, 
elles augmentent, elles se multiplient, elles s’organisent 
et s’unissent en un tout complet.
 
Ne vous posez pas tellement de questions sur l’utilité de faire le bien.
Tout ce que vous pouvez faire de bon, que ce soit par des actes, 
par des paroles, par des sentiments, par des pensées, faites-le, 
et laissez ensuite le temps accomplir son oeuvre.
 
On a toujours plus de chance d’améliorer une situation 
si on se concentre davantage sur le bien que sur le mal.
 
Celui qui a beaucoup d’amour dans son cœur est heureux avec tout le monde. 
Oui, il découvre chez tous les êtres des qualités, des richesses.
 
Cherchez le beau et le bien chez tous les êtres et particulièrement 
chez ceux qui ont contribué par leur génie, par leurs vertus à l’évolution 
de l’humanité : ainsi vous serez toujours émerveillé, 
vous ne courrez aucun danger de sombrer dans le désespoir.
 
En ne cessant de souligner les défauts des autres, les humains 
ne se rendent pas compte qu’ils entrent en contact avec 
leurs défauts et se font donc du mal à eux-mêmes. 
 
Tout ce que vous faites pour votre seule 
satisfaction personnelle ne peut pas durer.
 
La majorité des gens ne sont ni méchants ni mal intentionnés, 
beaucoup même souhaitent sincèrement être utiles aux autres.
 
Même si vous ne devez récolter qu’indifférence ou ingratitude, 
ne cessez jamais d’aimer et de faire le bien. Car l’amour en vous 
est une source, et si vous décidez de l’empêcher de couler, 
c’est d’abord vous qui allez-vous assécher.
 
Celui qui consacre ses facultés mentales, son temps, ses forces, à venir 
en aide à son prochain, est le plus intelligent. Car la véritable intelligence, 
c’est de s’oublier pour se mettre au service des autres.
 
Vous ne représentez quelque chose de grand, de beau 
qu’à proportion de ce que vous faites pour les autres.
Là, personne ne peut diminuer votre vraie valeur.
 
Si vous voulez savoir où en sont les humains dans leur évolution, 
observez s’ils sont capables d’apprécier la valeur, les qualités des autres.
 
Il faut s’oublier un peu, ne pas toujours mettre en avant ses points 
de vue, ses goûts, mais se montrer compréhensif, indulgent, patient… 
C’est un sacrifice, mais ce sacrifice est une force, oui, et voilà 
la grande idée devant laquelle vous devez vous incliner.
 
Comme la plupart des événements et des situations présentent un 
aspect positif et un aspect négatif, le danger est d’accorder toute son 
attention au côté négatif. Évidemment, il ne faut pas se leurrer et ne 
voir que ce qu’il y a de bon ; mais il ne faut pas non plus s’appesantir 
sur le mal, car alors on ne voit même plus le bien. 

 

***Le bonheur***
 
Vivre, c’est être toujours rayonnant, lumineux, 
expressif, c’est faire jaillir de soi la vie.
 
Penser que l’essentiel est de pouvoir s’amuser et se distraire, 
c’est rater son existence.
 
Le bonheur, c’est d’aimer à l’infini.
 
Vous suivez un enseignement spirituel et vous trouvez cette 
philosophie magnifique. Oui, mais tant que vous ne vous déciderez 
pas à la mettre en pratique, vous ne la comprendrez pas.
 
Ne croyez pas que le bonheur viendra nécessairement sous la forme 
où vous l’attendez. Tellement de possibilités se présentent à vous ! 
Mais vous ne les voyez pas et vous ne voulez pas les voir.
 
La condition du bonheur, c’est l’amour, oui, seulement l’amour, 
pas la science ni même la philosophie.
 
Si le bonheur était synonyme de plaisir, 
le monde entier nagerait dans la félicité.
 
Le bonheur, le vrai bonheur est très difficile à obtenir, mais 
ce n’est pas une chose impossible. Il faut beaucoup de travail, 
beaucoup de volonté, et surtout beaucoup de discernement : 
comprendre que ce que la majorité des humains appelle « bonheur » 
ne sont que des petits plaisirs, des petites satisfactions, 
des apparences de bonheur.
 
Il ne faut pas confondre une satisfaction momentanée avec le bonheur.
Vous ne pouvez donc pas dire que vous êtes heureux parce que vous 
avez obtenu ce que vous désiriez : des succès, des avantages 
matériels, ou même l’amour d’un homme ou d’une femme…
Pourquoi ? Parce que vous ne pouvez jamais être sûr que cela durera.
 
Le vrai bonheur est un état durable, et pour être durable il faut qu’il 
ait pour base une compréhension et une sensation correctes des choses.
 
Quelqu’un dit : « Je suis heureux, parce que… » Eh bien, le seul fait de
donner une cause à son bonheur prouve qu’il ne possède pas le bonheur 
véritable ! Car le véritable bonheur est un bonheur sans cause. Oui, 
vous êtes heureux et vous ne savez même pas pourquoi. Vous trouvez qu’il 
est merveilleux de vivre, de respirer, de manger, de parler, de marcher. 
 
Lorsqu’on est capable de trouver le bonheur en soi-même, 
on sera fort dans n’importe quelle condition.

 

***La collectivité***
 
La véritable fraternité commence au moment où vous 
comprenez comment votre vie peut s’enrichir de la vie de tous.
 
Seule l’amélioration de la vie collective peut mettre 
chaque individu en sécurité et à l’abri du besoin.
 
L’être humain ne peut s’épanouir qu’en participant 
fraternellement à la vie d’une collectivité.
 
C’est seulement par votre exemple que vous pouvez 
convaincre votre entourage de la valeur de votre 
philosophie ou de l’enseignement que vous suivez.
 
L’être humain se caractérise par le fait qu’il possède une 
conscience, mais il n’est pleinement conscient que lorsqu’il 
s’éveille aux notions de collectivité, d’universalité.
 
Le seul moyen de dominer les difficultés, c’est de ne pas rester là à ruminer, 
mais de comprendre tout ce que vous allez gagner en cherchant 
à vivre fraternellement les uns avec les autres.
 
Quelle que soit la forme de gouvernement, l’ordre, la paix et 
l’harmonie ne régneront nulle part tant que les humains n’auront 
pas appris à introduire l’ordre, la paix et l’harmonie en eux-mêmes.

 

***Les conflits***
 
L’orgueil dresse les êtres les uns contre les autres, 
alors que l’humilité, qui consiste à reconnaître qu’on n’est pas 
le seul à avoir raison, rétablit l’harmonie
 
Il est bon que celui qui a mal agi reconnaisse sa faute et la regrette, 
mais cela ne suffit pas. Même si les remords et les larmes qui les 
accompagnent parfois sont une sorte de purification, 
pour être pardonné il faut réparer.
 
Que ce soit dans ses paroles ou dans ses actes, celui qui se laisse 
aller à la violence introduit d’abord cette violence en lui-même.
 
Il y aurait beaucoup de choses à corriger dans la société, c’est vrai, 
mais ces transformations ne doivent pas se faire par la violence. 
D’ailleurs, ce n’est jamais par la violence qu’on réalise les véritables 
changements. La violence entraîne toujours des maux 
pires que ceux qu’elle prétend combattre.
 
La plupart des conflits n’ont ainsi pour origine que des incidents 
minuscules auxquels, au lieu de les minimiser comme on aurait 
pu le faire, on a donné une importance démesurée, 
et qui ont fini par dégénérer
 
Avant d’émettre une critique sur quelqu’un, commencez par 
porter un regard lucide sur vous-même. Pourquoi ? 
Parce qu’on n’a le droit de critiquer une faiblesse 
chez les autres que si on a réussi à la vaincre en soi.
 
Rien ne crée autant de conflits parmi les humains 
que des désaccords sur les idées.
 
Ne pas être du même avis que quelqu’un ne vous donne pas le droit 
de le rejeter, au contraire. Puisque d’après vous il est dans l’erreur, 
c’est une raison supplémentaire pour être bon et compréhensif avec lui.
 
Les opinions, les croyances, les points de vue que les parents 
s’efforcent de transmettre à leurs enfants ne sont pas toujours les 
meilleurs, c’est entendu. Mais quand les enfants critiquent leurs 
parents en se montrant durs et insolents, est-ce qu’ils ont trouvé 
la bonne attitude ? Non. Même s’ils découvrent un jour 
qu’ils ne peuvent pas se fier complètement à leurs parents, 
cela ne les autorise pas à les mépriser.

 

***Les connaissances***
 
Celui qui se contente d’accumuler des connaissances sur toutes sortes de sujets, 
même s’il est fier de posséder « un bon bagage intellectuel », comme on dit, 
ce n’est pas cela qui lui permettra d’évoluer et de contribuer à l’évolution de toute l’humanité. 
 
Chaque connaissance que vous avez expérimentée, vécue, 
restera pour toujours en votre possession. 
 
Contrairement à une opinion généralement répandue, le travail spirituel 
ne nécessite que peu de connaissances, mais à condition, bien sûr, 
qu’elles concernent l’essentiel et qu’on soit décidé à travailler. 
 
Il est inutile de perdre votre temps à acquérir un savoir qui vous 
quittera peu après. Mais améliorez votre façon de vivre, et la 
véritable mémoire commencera à s’éveiller en vous.
 
L’essentiel, c’est que vous construisiez quelques choses avec ce que 
vous avez. En général, les humains ne construisent rien avec leur savoir.
Il est éparpillé dans leurs armoires, dans leurs bibliothèques, et c’est tout.
 
Le savoir officiel que nous recevons dans les écoles et les universités, 
nous donne toutes les possibilités matérielles : une situation, de l’argent, 
du prestige. Mais ce savoir ne nous transforme pas, et nous restons les 
mêmes avec nos incertitudes et nos faiblesses. 
 
Les connaissances n’ont de valeur qu’à condition d’être appliquées dans la vie.
 
Nos connaissances sont de deux sortes : celles qui nous appartiennent en 
propre, parce que nous les avons réellement goûtées, vécues, et celles qui nous 
sont d’une certaine façon étrangères, parce qu’elles restent théoriques, livresques. 
 
Regardez tout ce qui vous avez oublié des livres que vous avez lus ! Et pourtant, 
c’était enregistré… Oui, à la surface ; et tout ce qui est à la surface, il est 
facile de l’effacer. Mais quelque chose que vous avez vécu, que vous avez senti, 
que vous avez goûté, toute la vie, quoi qu’il arrive,
vous ne pourrez plus l’oublier, c’est impossible. 
 
Tâchez de ne pas trop vous arrêter sur des sujets qui ne peuvent pas vous aider à 
transformer votre existence, appliquez-vous plutôt à améliorer votre façon de vivre. 
Car c’est par votre façon de vivre que vous attirerez le vrai savoir. 
 
Il y a un temps pour monter et un temps pour descendre : 
il y a un temps pour s’élever sur la montagne avec l’intellect, 
et un temps pour descendre dans la vallée avec le cœur.
 
Notre intellect et notre coeur ne peuvent s’associer et faire un 
bon travail qu’à condition de rester fidèles à leur père 
et à leur mère célestes : la sagesse et l’amour.
 
La peur de la mort est le résultat d’un manque de connaissance.
 
Devant les difficultés de la vie, celui qui n’a que le savoir reste faible,
craintif, chancelant. Tandis que celui qui aime, qui est convaincu, 
enthousiaste, même sans savoir grand-chose, continue à marcher, 
il surmonte les obstacles et il entraîne les autres.
 
La plupart des connaissances que les humains cherchent à acquérir 
leur servent à gagner leur vie ou à briller devant les autres ; 
elles ne leur sont d’aucune utilité pour affronter les 
épreuves de la vie, les chagrins, les découragements.

 

***Les croyances et les convictions***
 
Aujourd’hui, croire ne suffit plus ; les gens ont besoin de comprendre.
 
Un être vraiment raisonnable ne dit jamais : « je crois » ou 
« je ne crois pas ». Il réfléchit, il vérifie, il expérimente longtemps 
les choses, et à la fin il peut dire non pas « je crois » mais « je sais ».
 
Lorsqu’un être est convaincu, tôt ou tard il entraîne la conviction des autres, 
il transmet à tous cette conviction, elle est contagieuse. 
 
La méfiance enferme les êtres dans leurs défauts, leurs limitations, 
alors que la confiance peut les libérer.
 
Puisque les choses et les êtres deviennent en nous ce que nous croyons qu’ils sont, 
il y a là tout un travail à faire. D’abord, être vigilant pour ne pas devenir sa propre 
victime en transformant en mal ce qui est simplement neutre ou même bon ; mais aussi 
s’efforcer de transformer ce qui est négatif et nuisible en quelque chose de bénéfique. 
 
Un homme dont l’intellect est peu développé croit dur comme fer tout ce qu’on 
lui enseigne sur la religion, il a ce qu’on appelle « la foi du charbonnier ». Mais 
voici qu’il commence à s’instruire, il développe son esprit critique, alors peu à 
peu le doute s’insinue en lui, ses convictions mollissent, il perd la foi. Mais s’il 
continue à s’instruire, à approfondir, il retrouve la foi, la vraie foi, 
une foi inébranlable qui est fondée sur un savoir. 
 
Il ne faut pas s’imaginer qu’il suffit de croire pour mériter le salut, ce serait trop 
facile ; n’importe qui peut avoir la foi et continuer à vivre comme un malfaiteur. 
 
On ne peut pas reprocher aux gens d’avoir des convictions, mais ils devraient se 
demander parfois ce qu’elles valent et s’il ne serait pas utile de les réviser. 
 
Pour vivre nous avons besoin de nous appuyer sur un certain nombre de croyances : 
elles sont comme des supports pour notre vie affective, intellectuelle.
 
Le plus grave défaut des humains, celui qui met le plus d’obstacles à leur 
évolution, c’est la croyance indéracinable en l’infaillibilité de leurs 
raisonnements et de leurs points de vue. 

 

***Les désirs***
 
Quand vous éprouvez un désir, posez-vous des questions sur 
sa nature, sa qualité. Demandez-vous comment vous allez 
vous y prendre pour le réaliser, mais aussi ce que 
vous ferez quand vous l’aurez réalisé.
 
Moins on contrôle ses pensées, ses désirs, ses caprices, 
plus on devient esclave. Vous dites que vous voulez être 
libre de satisfaire tous vos désirs ? Bien, mais sachez 
d’avance que c’est le chemin direct vers l’esclavage.
Vous serez esclave de vous-même.
 
Ne perdez jamais le désir de progresser.
Si vous tombez, ce n’est pas grave, à condition que 
vous fassiez chaque fois l’effort de vous relever.

 

***La discipline et l’effort*** 
 
Le pouvoir de l’homme de cheminer vers un mieux-être réside dans 
ses efforts répétés chaque jour.
 
C’est la maîtrise de ces petites choses 
qui vous donnera la possibilité de maîtriser les grandes.
 
Quand on se laisse gouverner par ce qui est agréable, 
la suite est le plus souvent désagréable.
 
Seul un sage peut posséder tout l’or du monde sans jamais faire de mal :
parce qu’il est maître et de lui-même et de l’or.
 
La patience est une qualité qui doit accompagner toutes les autres.
Il faut être sage et patient, être généreux et patient, être fort et patient, 
sinon toutes ces qualités que sont la sagesse, la générosité, 
la force, etc., perdent rapidement de leur pouvoir.
 
Quoi que vous obteniez extérieurement, vous n’aurez jamais 
la plénitude, car la plénitude ne se trouve que dans l’effort 
personnel, l’effort de la volonté, de la pensée, de l’imagination.
 
S’il n’apprend pas à se dominer, à se maîtriser, l’homme supprime 
toutes ses possibilités de devenir fort, puissant, intelligent.
 
Personne n’a le droit d’influencer négativement les autres en leur mettant 
des limites, en leur disant qu’ils n’arriveront jamais à réaliser leurs bons projets. 
Il faut toujours encourager les êtres à travailler, à faire des efforts. 
 
Tous les humains veulent le bonheur, mais ils ne savent pas 
comment l’obtenir et n’imaginent même pas qu’il y a pour 
cela un travail à faire, une discipline à suivre.
 
La patience travaille avec le temps. Avec le temps, tout ce 
que vous avez vécu, même les moments les plus difficiles, 
peuvent devenir une source d’enrichissement et de joie.
 
Et la patience est aussi une manifestation de la force. 
Celui qui est fort ne se laisse pas entamer par le comportement 
des gens de son entourage, tandis que le faible ne supporte rien, 
la moindre contrariété le met hors de lui.
 
Nous faisons des progrès grâce à ce qui nous résiste.

 

***Les épreuves***
 
Quand la tourmente sera passée, vous vous rendrez compte 
que ces épreuves, qui auraient pu vous faire perdre courage, 
vous ont au contraire renforcé.
 
Tous les jours la vie nous présente des problèmes à résoudre et nous 
devons nous y efforcer en cherchant les solutions en nous-mêmes.
Ceux qui se contentent de contourner les problèmes ou de les fuir, 
la vie les rattrapera plus loin et ils auront de plus en plus de 
peine à affronter les difficultés car ils n’auront pas 
appris au fur et à mesure la leçon du jour.
 
Vous souhaitez qu’on vous révèle une méthode qui vous donnerait 
la possibilité de résoudre tous les problèmes, d’affronter toutes 
les situations, comme une clé qui ouvre toutes les portes ? 
Mais voilà qu’une telle méthode n’existe pas.
 
Il ne sert donc à rien de lutter contre le mal en pensant qu’on 
pourra un jour l’anéantir. Il faut seulement apprendre comment 
utiliser les forces du mal (les difficultés et les épreuves) 
pour les transformer en énergies constructives.
 
Parce que les conséquences de leurs façons de penser et 
d’agir ne sont pas immédiates, les humains discernent 
rarement ce qui a causé leurs malheurs.
 
Celui qui ne se révolte pas contre les difficultés et les épreuves, 
mais au contraire les accepte en s’efforçant de les comprendre et 
d’en tirer des leçons, celui-là libère les puissances de son âme
et de son esprit. Après un certain temps, il se rend compte que 
ces épreuves ont produit quelque chose de magnifique en lui
 
Parce qu’on les a déçues, on leur a fait du mal, combien de 
personnes décident de fermer définitivement leur cœur aux autres ! 
Eh bien, voilà la plus mauvaise décision ! Quoi que vous ayez 
à souffrir, ne cessez jamais d’aimer. Car l’amour en vous est 
une source, et si vous décidez de l’empêcher de couler, 
c’est d’abord vous qui allez vous dessécher.
 
Beaucoup d’épreuves de la vie sont plus imaginaires que réelles.
 
L’inquiétude, l’agitation créent les plus mauvaises conditions pour 
l’activité de la pensée. C’est pourquoi, lorsque vous avez un problème 
important à résoudre, commencez par vous apaiser. Faites le silence 
en vous et essayez de vous élever le plus haut possible, car c’est 
en haut que se trouve la lumière. Lorsque vous sentez que 
vous avez réussi à atteindre une sorte de sommet, 
posez la question qui vous préoccupe et attendez.
 
Que les choses soient claires : un enseignement spirituel 
vous donne des connaissances, des méthodes, il vous découvre 
des horizons insoupçonnés, mais il ne vous met 
pas à l’abri des épreuves.
 
Ne vous imaginez pas que le Ciel, émerveillé de vous voir devenu 
membre d’une Église ou de quelque mouvement spirituel, va 
venir vous faciliter l’existence et vous épargner les épreuves.

 

***Être aimé***
 
Aimer sans attendre d’être aimé. 
 
Le jour où les humains auront appris à aimer sans attendre d’être 
aimés, ils seront libres et ils pourront faire beaucoup avec cette liberté. 
 
Tout ce que l’on fait peut être une occasion de donner, 
c’est-à-dire de se montrer plus large dans sa compréhension, 
plus désintéressé dans ses relations avec les autres, 
en s’efforçant d’aimer plutôt que d’être aimé. 
 
L’amour véritable doit tout améliorer dans l’être que vous aimez, 
il doit l’élever, le renforcer, l’illuminer.
 
Les humains ont besoin d’être aimés, ils ont besoin d’établir 
de bonnes relations entre eux, mais on dirait qu’ils font tout 
pour se repousser mutuellement : ils restent fermés, sombres, 
lourds. Comment peut-on être aimé quand on se montre tellement 
antipathique ? Pour être aimé, chacun doit apprendre à vivre une 
vie poétique afin d’apporter aux autres la chaleur et la lumière. 
 
Si vous attendez toujours qu’on pense à vous, qu’on vous comprenne, 
qu’on vous aide, qu’on vous aime, vous ne serez jamais heureux.
Voulez-vous être heureux ? Ne demandez pas d’être aimé, 
mais aimez, vous, jour et nuit, et vous serez sans arrêt dans le bonheur.
 
Tous ceux qui ont tellement besoin de l’attention et de l’affection des autres, 
qui s’imaginent que le monde entier doit tourner autour d’eux,
se préparent une existence de déceptions et de souffrances. 
Pour être heureux, il faut se mettre au service des autres. 
 
La plupart des gens ne sont capables que de faire entendre des 
plaintes et des récriminations : il leur manque ceci, on leur 
doit cela, on ne les aime pas, on ne pense pas à eux, les autres 
sont mal intentionnés. Mais pourquoi ne se rendent-ils pas 
compte qu’avec leur égoïsme et leurs exigences injustifiées, 
ils sont en train de décourager tout leur entourage. 
 
Le sens de la vie, c’est aimer et être aimé. Quand vous aimez les 
autres d’un amour désintéressé, vous êtes pour eux comme une 
source qui leur apporte la vie. Et ceux qui vous aiment vous 
apportent aussi une vie abondante. 

 

***La générosité***
 
Nous avons reçu gratuitement, nous devons donner gratuitement.
 
Notre cœur doit être rempli d’amour pour les humains qui sont tous nos frères ;
nous devons penser à eux et les aider sans attendre la moindre récompense. 
Pourquoi ? Parce que nous avons déjà la récompense ; c’est cette dilatation 
intérieure, cette chaleur, cette inspiration qui nous comblent lorsque nous aimons.
 
Au contraire, celui qui a travaillé pour acquérir des richesses spirituelles 
sait que personne ne peut les lui prendre, et il est toujours prêt à les partager, 
parce qu’il sent qu’en cherchant à en faire bénéficier les autres,
c’est lui qui s’enrichit.
 
En développant la bonté, la patience, la générosité, l’abnégation, 
non seulement vous sentirez que vous vous épanouissez, mais à cause 
de votre rayonnement, vous serez un jour apprécié et aimé de tous. 
 
Celui qui prend s’appauvrit et celui qui donne s’enrichit. 
Parce que donner, c’est éveiller en soi des forces inconnues 
qui sommeillaient quelque part dans les profondeurs.
 
Est-ce que vous savez que votre vie peut devenir extraordinairement 
riche et pleine ? Mais à une condition : que vous appreniez à 
vous ouvrir, à devenir plus fraternels, plus généreux. 
 
Nous ne possédons vraiment que ce que nous sommes capables de donner.
 
Apprenez à faire le bien sans rien dire, sans vouloir qu’on sache que c’est 
vous qui l’avez fait. Ainsi, non seulement vous éprouverez une joie secrète, 
mais vous éveillerez chez les autres quelque chose de bon. 
 
L’amour est cette capacité d’arracher de nous-même
ce qui nous est le plus cher afin de le donner. 
 
Pour apporter le bonheur aux autres, 
il faut surtout remplir son cœur d’amour.

 

***L’harmonie et la sérénité***
 
L’harmonie est à la base de tous les succès.
 
Comme on ne peut donner aux autres que ce qu’on possède déjà soi-même, 
cherchez d’abord à créer en vous l’harmonie et la lumière puis, 
quand vous sentez que vous avez réussi à rendre cette harmonie 
et cette lumière réelles en vous, projetez-les dans l’espace. 
 
Quand on n’est pas harmonieux, quand on est agité, crispé, 
ou irrité, on a beau insister pour avoir au moins une qualité, 
rien à faire : tout ce que l’on a de mauvais en soi est là 
pour mordre, pour piquer, pour frapper, pour désagréger.
 
Être en bonne harmonie avec soi-même, c’est contribuer à une 
meilleure harmonie dans le monde entier. Car si vous tenez vraiment 
à votre perfectionnement, à votre épanouissement, à votre salut 
définitif, vous devez travailler sur l’harmonie, c’est-à-dire 
harmoniser votre être avec toutes les forces de l’univers.
 
On se demande parfois d’où vient cette expression de sérénité 
qui caractérise les traits de certains sages. Tout simplement, de ce 
qu’ils sont parvenus à vaincre la peur de perdre quoi que ce soit. 
 
Chaque jour, consacrez au moins quelques minutes à 
introduire en vous l’harmonie. Fermez les yeux en vous 
efforçant de dégager votre pensée des soucis quotidiens.
 
L’harmonie est la base du bien-être, et si l’on ne vit pas 
dans l’harmonie, on ne peut pas se sentir bien, même si 
aucun événement particulier n’est venu nous troubler.
 
L’harmonie est la clé qui vous ouvre les portes de la région 
du silence : harmonie dans le plan physique, harmonie 
dans les sentiments, harmonie dans les pensées.
 
Le silence est l’expression de la paix, de l’harmonie, de la 
perfection, et il apporte les meilleures conditions pour 
l’activité psychique et spirituelle.
 
Au lieu de vous arrêter sur ce qui vous manque, apprenez à 
vous réjouir pour toutes les inépuisables richesses de la vie qui 
vous sont offertes et vous deviendrez vous-même plus vivant.
 
L’harmonie est le plus grand de tous les biens.

 

***La joie***
 
Quelle joie nous pouvons ressentir devant la beauté de la nature, 
le lever du soleil, le ciel étoilé 
! Et pourtant ils ne sont pas 
matériellement à nous. Le plus important n’est donc 
pas la possession, mais la faculté de se réjouir. 
 
N’attendez pas que les autres vous apportent la vie, 
qu’ils vous apportent l’amour, qu’ils vous apportent la joie :
c’est vous d’abord qui devez ouvrir en vous les sources 
de la vie, de l’amour et de la joie. 
 
Vous ne trouverez jamais de vraie joie en dehors
de la joie que vous donnez aux autres.
 
Il y a des activités qui ne procurent aucun plaisir, mais qui, 
comme le dévouement et le sacrifice, sont des sources de joie pure.
 
En prononçant le mot « merci », c’est comme une source de lumière, 
de paix et de joie que vous faites jaillir dans votre âme.
 
Alors, au lieu d’attendre de posséder quelque chose ou quelqu’un 
pour vous réjouir, faites le contraire : réjouissez-vous de la simple 
existence des êtres et des choses car, dans cette joie qu’ils 
vous donnent, vous avez la sensation qu’ils vous appartiennent.
 
Quoi qu’il arrive, vous devez être convaincu 
qu’il brille en vous une étincelle que rien ni personne 
ne peut éteindre ou même obscurcir. 

 

***Savoir Aimer**
 
Savoir aimer est la chose la plus grandiose.
 
Combien aiment de n’importe quelle façon, n’importe qui, 
n’importe quand et ensuite disent que l’amour apporte tous les malheurs.
 
Il ne suffit pas d’aimer les êtres, 
vous devez vous demander comment vous les aimez.
 
Chacun de vous doit résoudre le problème comment 
se comporter envers les autres, et non pas comment les autres 
se comportent envers lui.
 
Quand vous commencerez à comprendre vraiment, avec tout votre être, 
ce que c’est de vivre avec amour, votre existence entière sera transformée.
L’amour jaillira en vous sans arrêt.
 
Pour celui qui sait le comprendre et le manifester, 
l’amour représente une puissance extraordinaire.
 
C’est en cherchant à perfectionner votre façon d’aimer que vous 
arriverez un jour à puiser cet amour qui est répandu partout dans l’univers.
 
Si vous voulez aider les êtres, sachez que l’amour ne suffit pas, 
il faut que la sagesse vienne aussi dire son mot.
 
Vous ne pouvez ouvrir les cœurs et les âmes 
qu’en répandant la lumière et la chaleur.
 
Vous n’avez donc qu’une question à vous poser pour juger 
de la qualité de votre amour : est-ce que grâce à lui, 
l’être que vous aimez s’épanouit ?

 

***Le monde intérieur***
 
L’être humain n’a que très peu de pouvoir sur le monde extérieur, 
c’est entendu, mais sur son monde intérieur il est tout-puissant. 
 
Donner un sens à sa vie est la récompense d’un travail intérieur, 
patient, incessant que l’homme a entrepris de faire sur lui-même.
 
Seules vos réalisations intérieures peuvent vous combler,
parce qu’elles seules ont des racines en vous.
 
On ne peut rien trouver extérieurement que l’on n’ait 
au préalable trouvé intérieurement, c’est une loi.
 
À celui qui ne voit pas d’issue à l’extérieur, il reste toujours la 
possibilité de chercher une issue en lui-même en travaillant sans 
relâche par la pensée, l’imagination, la volonté.
 
La souffrance donne à l’homme la possibilité 
de descendre en lui-même pour réfléchir.
 
La patience, la vraie, s’accompagne d’une sensation de force et de paix, 
elle suppose donc que vous ayez fait préalablement un grand travail intérieur.
Il faut avoir acquis beaucoup de sagesse pour être enfin patient.

 

***Les pensées***
 
À quoi cela vous servira de pouvoir aller et venir librement, 
si vous transportez des pensées, des sentiments et des désirs qui vous ligotent ?
 
Il ne suffit pas d’avoir de temps à autre un moment d’inspiration, de 
lumière, pour donner un sens à sa vie ; il faut aussi apprendre à faire 
durer ce moment afin qu’il devienne un état de conscience permanent.
 
Mais travaillez sur l’idée d’aimer, de faire le bien, de pardonner 
et d’apporter partout l’harmonie… Il arrivera un moment où cette 
idée deviendra si puissante qu’elle imprégnera toutes vos cellules.
 
La paix est un état de conscience supérieur que nous ne 
pouvons atteindre qu’en travaillant à rendre nos pensées 
et nos sentiments plus désintéressés et plus généreux.
 
Celui qui a passé des années à entretenir des pensées et des sentiments 
désordonnés ne pourra pas tout redresser en quelques jours. Il devra 
travailler pendant très longtemps aussi avant d’obtenir des résultats. 

 

***La sagesse***
 
Devenir riche avant d’être sage, 
c’est la meilleure façon de se faire haïr des autres.
 
Imaginez que vous traciez un sillon et que dans ce sillon vous 
fassiez couler de l’eau. Ce sillon, c’est la sagesse qui vous 
indique la bonne direction, le chemin à suivre ; et l’eau, 
c’est l’amour qui vous soutient tout au long de ce chemin.
 
Il faut apprendre à harmoniser les deux courants en soi-même : 
savoir quand il est souhaitable de manifester l’amour et quand la sagesse.

 

***Se transformer***
 
L’être humain est venu sur la terre pour faire un 
travail, et d’abord un travail sur lui-même, 
afin de se dépasser, de se surpasser.
 
L’ambiance dans laquelle vivent les êtres contribue 
beaucoup à faire ressortir leurs bons ou leurs mauvais côtés.
 
Le ciel semble souvent nous brimer en nous imposant 
des limites, des contraintes, c’est pour éveiller en 
nous la volonté de vaincre et de nous libérer.
 
L’espérance n’est pas une vague aspiration à une existence plus facile, 
plus agréable, mais une sagesse qui sait utiliser le passé et 
le présent pour se projeter dans l’avenir et agir sur lui.
 
Il n’y a rien de plus nocif pour la vie spirituelle 
que de ne pas voir clair en soi.
 
La transformation des êtres n’est possible que par un travail quotidien. 
Si quelqu’un vous dit : « Prenez cette formule, ces pentacles, ces 
procédés magiques, ils vous sauveront immédiatement », 
ce sont des mensonges d’une créature qui a intérêt à vous tromper.

 

***La vérité***
 
Chaque vérité est comme une graine que l’on sème et, à partir de 
cette graine, c’est tout un arbre qui va commencer à croître.
 
Tous les efforts que vous faites pour améliorer votre vie physique, 
matérielle, ne vous rendront pas tellement heureux si vous 
ne vous efforcez pas, d’abord, de connaître et d’accepter 
les vérités qui amélioreront votre vie intérieure.
 
Pour découvrir la vérité, il faut chercher au-delà des apparences.
 
Ce que nous appelons la vérité est toujours notre vérité. 
C’est pourquoi il existe une vérité vivante, riche, pour 
celui qui est capable de sentir les choses au-delà des 
apparences, et une vérité pauvre pour celui qui ne sent rien.
 
La seule liberté qu’il vaut la peine de conquérir est la liberté intérieure :
c’est elle qui vous permettra de découvrir les vérités essentielles dont vous 
avez besoin pour vous orienter et être soutenu dans la vie.
 
Celui qui est dans le vrai se distingue par toutes sortes de qualités, 
mais surtout par sa bonté, sa noblesse, son désintéressement.
 
Les vérités spirituelles enrichissent seulement celui qui a une 
intelligence pour comprendre l’usage qu’il doit en faire, un cœur 
pour les aimer et souhaiter les vivifier en lui, et par-dessus tout 
une volonté, une ténacité pour persévérer dans le travail.
Aux autres elles n’apportent rien ; elles sont 
même dangereuses pour eux
 
Seul celui qui, grâce à la connaissance des vérités spirituelles, 
a su mettre de l’ordre en lui-même, réalise le vrai silence.
 
L’amour et la sagesse s’unissent pour donner naissance à la vérité.

 

***La vie ***


La vie telle que chacun la voit est en grande partie 
le reflet de ce qu’il est lui-même.
 
Ne gâchez pas votre vie, ne la gâchez pour rien au monde, 
car rien, comme valeur, ne peut se comparer à la vie.
 
Les événements de la vie quotidienne nous inspirent des 
sentiments, des émotions qu’il faut apprendre à considérer 
comme une matière sur laquelle nous pouvons travailler.
 
Votre vie n’est pas tellement difficile à cause de malheurs et 
de catastrophes (qui n’arrivent que rarement d’ailleurs). Elle est 
difficile parce que vous vous faites des montagnes avec des riens.
 
Cette vie que nous avons reçue, il dépend de nous de la renforcer, de la 
rendre plus belle, plus subtile, plus spirituelle. La vie a une infinité de degrés. 
Celui qui reste dans les degrés inférieurs ne peut entrer en communication 
qu’avec les réalités qui sont à son niveau. 
 
L’essentiel, c’est à vie, et il faut donc la protéger, la purifier, la sanctifier, 
éliminer ce qui l’entrave ou la bloque, parce qu’ensuite grâce à elle 
on obtient la santé, la force, la beauté, la puissance l’intelligence. 

 

***Divers***
 
Au lieu de souffrir toujours de ce qui vous manque, 
apprenez à vous réjouir de ce que vous avez.
 
Que chacun examine sa vie, qu’il analyse les bases sur 
lesquelles il l’a construite : combien de choses vaines, 
illusoires, inutiles il va découvrir !
 
Aucun acte n’est efficace tant que l’être humain n’a pas réalisé la paix en lui.
 
L’homme complet est celui qui est capable d’embrasser 
les trois mondes : la philosophie, la religion 
(qui comprend aussi la morale) et l’art.
 
Que ceux qui réussissent n’oublient pas qu’ils doivent leur 
succès aux efforts et aux sacrifices de ceux qui les ont précédés.
 
L’être humain est comme l’arbre : comme l’arbre sa mission sur 
la terre est de donner des fruits. Et que sont ces fruits ? Des pensées, 
des sentiments et des actes beaux, nobles, grands. 
 
L’art véritable, c’est de faire de son existence et 
de son être entier une œuvre d’art...Omraam Mikhaël Aïvanhov..
 

 

Bh 8***Citations de Bouddha***

***Amour et amitié*** 
 
Laisse grandir en toi un amour sans bornes de toutes les créatures.
 
En cultivant l’amour, on aide chaque âme dans l’univers.
 
Tout comme une mère protégerait son unique enfant au péril de sa propre vie, 
cultive un coeur sans limites envers tous les êtres. Laisse tes pensées d’amour 
illimité se répandre dans le monde entier.
 
La haine ne mettra jamais fin à la haine ; seul l’amour 
peut le guérir. C’est là l’ancienne et éternelle loi.
 
Un ami qui n’est pas sincère et qui est méchant est plus à craindre qu’une bête sauvage. 
Une bête sauvage peut blesser votre corps, mais un mauvais ami blessera votre esprit.
 
Ne recherche pas la perfection dans un monde aussi changeant.
Perfectionne plutôt ton amour.
 
Vous, vous-même, autant que n’importe qui dans 
tout l’univers méritez votre amour et votre affection. 

 

***Bonheur et joie*** 
 
Le bonheur est né de l’altruisme et le malheur de l’égoïsme.
 
Que tous les êtres soient remplis de joie et de paix.
 
Celui qui cherche son bonheur doit arracher de lui-même la 
flèche de ses lamentations, de ses plaintes, de ses chagrins.
 
Afin d’ouvrir notre coeur tel un Bouddha, nous devons accueillir 
les dix mille joies et les dix mille peines de la vie.
 
Tout bonheur en ce monde vient de l’ouverture aux autres ;
toute souffrance vient de l’enfermement en soi-même.
 
Quand ton travail et tes paroles font du bien à toi-même et à autrui, 
là est le bonheur.
 
Quand l’esprit est pur, la joie suit comme une ombre qui ne nous quitte jamais.
 
Si, avec un mental pur, quelqu’un parle ou agit, 
alors le bonheur le suit comme l’ombre qui jamais ne le quitte.
 
Le bonheur n’est pas chose aisée. 
Il est très difficile de le trouver en nous, 
il est impossible de le trouver ailleurs.
 
Une seule bougie peut en allumer des milliers, 
et la durée de vie de la bougie n’en sera pas écourtée.
Le bonheur n’est jamais diminué du fait d’être partagé.
 
La simplicité procure davantage de bonheur que la complexité.

 

***Changement et se transformer*** 
 
Il n’existe rien de constant si ce n’est le changement.
 
Le changement n’est jamais douloureux. 
Seule la résistance au changement est douloureuse. 
 
Si tu ne trouves pas d’ami sage, prêt à cheminer avec toi, résolu, 
constant, marche seul, comme un roi après une conquête, 
ou un éléphant dans la forêt.
 
Ce que nous cultivons dans nos périodes sereines devient une 
force que nous engrangeons pour nos périodes de changement.
 
Sous le ciel, il n’y a rien qui soit stable, rien qui ne dure à jamais.
 
Apprends à reconnaître ce qui te fait avancer et ce qui entrave ta progression.
 
L’enseignement est semblable à un radeau qui est fait pour traverser, 
mais auquel il ne faut pas s’attacher.
 
NOUS SOMMES DES AVEUGLES
À des degrés divers nous sommes tous des aveugles,
guidés par des aveugles, qui guidons des aveugles.
Et pourquoi un aveugle ne pourrait-il en guider un autre ?
Jusqu’au jour où, comme les véritables aveugles,
nous réalisons avec émerveillement que l’on peut se diriger seul,
guidé par sa lumière intérieure,
et que maîtres et enseignements sont de simples points de repère
comme les bruits du monde extérieur.

 

***Connaissance***
 
Ce qu’on doit chercher à savoir, c’est de quelle façon on doit vivre 
sa vie pour qu’elle soit la meilleure possible. 
 
Ne suivez pas mon enseignement aveuglément, éprouvez-le par vous-même.
 
Un sot a beau demeurer des années en contact avec la science, 
il ne connaîtra pas plus le goût de la science que la cuiller plongée dans la sauce 
ne connaît le goût de la sauce.
 
Deux choses participent de la connaissance : 
le silence tranquille et l’intériorité. 

 

***Compassion et générosité***  
 

Enseignez cette triple vérité à tous : 
un cœur généreux, un discours aimable, une vie de service 
et de compassion sont les choses qui renouvellent l’humanité.
 
Le plus grand gain est de donner aux autres.
La plus grande perte est de recevoir sans gratitude.
 
La compassion est notre nature la plus profonde.
Elle découle de notre interconnexion avec toutes choses.
 
Si ta compassion n’inclut pas ta propre personne, il lui manque quelque chose.
 
Je crois que les humains sont les êtres sensibles les plus avancés de cette planète.
Les hommes ont non seulement le pouvoir de rendre leur propre 
vie heureuse, mais aussi celui d’aider les autres.
 
La compassion peut être développée envers une personne qui vous irrite : 
c’est ainsi que l’agacement peut également être surmonté.
 
Mettez-vous à la place des autres. 
Si vous y arrivez, vous ne serez plus capable de faire du mal à autrui.
 
Si vous allumez une lampe pour quelqu’un d’autre, 
elle égaiera aussi votre chemin.
 
Si tu as une position de responsabilité, sois généreux envers la communauté, 
honorable en action, sincère en parole ; et ne te soucie pas du reste.
 
Seul un être épanoui peut faire du bien.
 
Bonne est l’action qui n’amène aucun regret et 
dont le fruit est accueilli avec joie et sérénité.
 
Soyez gentil avec tout le monde. Soyez tendre avec les jeunes, ayez de 
la compassion pour les personnes âgées, soyez sympathique avec ceux 
qui ont des difficultés et soyez tolérant avec les faibles et les méchants. 
À un moment dans votre vie, vous aurez été tout cela.
 
Que nul, par colère ou par haine, ne souhaite du mal à un autre.

 

***Croyance et doute***
 
Il ne faut jamais blâmer la croyance des autres, c’est ainsi qu’on ne fait de tort à personne.
Il y a même des circonstances où l’on doit honorer en autrui la croyance qu’on ne partage pas.
 
Doutez de tout et surtout de ce que je vais vous dire.
 
Le doute divise les hommes. C’est un poison qui désagrège les amitiés et 
détruit les bonnes relations. C’est une épine qui irrite et fait mal ; 
c’est une épée qui tue.
 
Ne crois que ce que tu juges toi-même être vrai après avoir 
été éprouvé à la flamme de ton expérience. 
Sois toi-même ton propre flambeau.
 
CROIRE ET NE PAS CROIRE
Il ne faut pas croire une chose simplement parce qu’on l’entend dire ;
ni croire aux traditions car elles nous ont été transmises depuis l’Antiquité ;
ni croire aux rumeurs en tant que telles ;
ni aux écrits des sages, parce que les sages les ont écrits ;
ni aux imaginations inspirées, pensons-nous par un Déva (inspiration supposée spirituelle) ;
ni croire aux conclusions tirées de quelques suppositions faites par nous au hasard ;
ni croire une chose parce qu’elle semble devoir être vraie par analogie ;
ni croire sur la simple autorité de nos instructeurs et maîtres.
Mais nous devons croire la chose écrite ou parlée, ou la doctrine, 
si elle est corroborée par notre propre raison et notre propre conscience... 

 

***Défaut et vice***
 
Comme un arbre coupé pousse encore si ses racines demeurent 
intactes et fortes, ainsi la souffrance jaillit encore et toujours, 
tant que l’on n’a pas aboli la convoitise.
 
Quand le moment est venu d’être actif et d’agir, quiconque, 
étant jeune et fort, ne fait pas son devoir, s’adonne à la paresse, 
se montre faible, apathique, inerte dans sa volonté, 
celui-là ne trouvera pas le chemin de la sagesse.
 
Il en est qui s’emprisonnent dans leur propre filet 
d’acharnement au plaisir, comme l’araignée dans sa toile.
 
Vaincs les 
coléreux par le calme. Les méchants par la bonté
Les 
avares par la générosité. Les menteurs par la vérité.
 
Ne vous occupez pas des fautes d’autrui, ni de leurs actes, 
ni de leurs négligences. Soyez plutôt conscients de vos 
propres actes et de vos propres négligences.
 
Facilement vues les fautes des autres, difficiles à voir nos propres 
fautes ; comme de la menue paille, on trie les fautes des autres, 
mais on cache les siennes comme se dissimule un habile oiseleur.
 
Pureté et impureté sont personnelles, 
nul ne peut purifier autrui.

 

***Désir*** 
 
Deux montagnes d’or entières ne suffisent 
pas à combler les désirs d’une seule personne.
 
C’est par le désir que le monde est lié. Par l’assujettissement du désir qu’il est libéré.
 
Une conscience troublée par les désirs ne peut se libérer. 
Une sagesse troublée par l’ignorance ne peut se développer.
 
Ne pas obtenir ce que tu désires et obtenir ce que 
tu désires peuvent être tout aussi décevant.
 
Ce ne sont pas nos préférences qui créent des problèmes, 
mais notre attachement à ces préférences.

 

***Discipline et volonté***
 
Celui qui est maître de lui-même est 
plus grand que celui qui est le maître du monde.
 
Toi seul es ton propre maître. C’est de toi que l’effort doit venir.
 
Mieux vaut se vaincre soi-même que de gagner un millier de batailles. 
Ensuite, la victoire vous appartient. On ne peut pas vous la reprendre, 
ni par les anges ni par les démons, ni par le paradis et ni par l’enfer.
 
De celui qui dans la bataille a vaincu mille milliers d’hommes 
et de celui qui s’est vaincu lui-même, 
c’est ce dernier qui est le plus grand vainqueur.
 
De même qu’un poisson rejeté hors de l’eau, 
notre esprit tremble quand il abandonne le royaume de le 
domaine des passions. L’esprit est difficile à maîtriser et 
instable. Il court où il veut. Il est bon de le dominer. 
L’esprit dompté assure le bonheur.
 
Rester en colère, c’est comme saisir un charbon ardent avec l’intention
de le jeter sur quelqu’un. C’est vous qui vous brûlez.
 
Trop de persévérance conduit au trouble 
et trop peu de persévérance à la paresse. 

 

***Esprit***
 
Garder un corps en bonne santé est primordial… 
sinon nous ne pourrions garder un esprit fort et clair.
 
L’esprit instable et dispersé, ignorant la vraie doctrine, 
aimant la flatterie, ne sera jamais mûr pour la sagesse.
 
Si tu laisses reposer une eau boueuse, elle s’éclaircira.
De même, si tu laisses reposer ton esprit troublé, 
la chose à faire t’apparaîtra clairement.
 
Il faut que la vie spirituelle comporte une forte dose de bon sens.

 

***Haine*** 

 
En ce monde, la haine n’a encore jamais dissipé la haine.
Vivons donc heureusement, sans haïr ceux qui nous haïssent.
 
Toute conquête engendre la haine, car le vaincu demeure dans la misère.
Celui qui se tient paisible, ayant abandonné toute idée de victoire 
ou de défaite, se maintient heureux.
 
Jamais la haine n’éteint les haines en ce monde. Par l’amour, seules les haines sont éteintes. 
C’est une loi éternelle. 
 
Il n’y a pas de feu plus féroce que l’envie et la haine.
 
La victoire engendre la haine. 
La défaite engendre la souffrance. 
L’homme sage ne recherche ni la victoire ni la défaite. 

 

***Matérialisme et plaisir*** 
 
Ne t’attache pas à ce que tu possèdes aujourd’hui, 
car tu peux très bien le perdre demain.
 
L’homme, qui s’attache à cueillir les plaisirs comme des fleurs, 
est saisi par la mort qui l’emportera comme un torrent débordé emporte un village endormi.
 
Évite quand c’est possible la compagnie des personnes qui vivent dans l’illusion.
Quand ce n’est pas possible, garde tes pensées pour toi.
 
Il n’est pas de détresse pour celui qui a terminé son voyage, 
qui a abandonné tout souci, qui s’est libéré de toutes parts, 
qui a rejeté tous ses biens.
 
Ni dans l’air, ni au milieu de l’océan, ni dans les profondeurs des montagnes, 
ni en aucune partie de ce vaste monde, il n’existe de lieu où l’être humain 
puisse échapper aux conséquences de ses actes.
 
***L’ARGENT***
Il peut acheter une maison, mais pas un foyer.
Il peut acheter un lit, mais pas le sommeil.
Il peut acheter une horloge, mais pas le temps.
Il peut acheter un livre, mais pas la connaissance.
Il peut acheter une position, mais pas le respect.
Il peut payer le médecin, mais pas la santé.
Il peut acheter du sang, mais pas la vie.
Il peut acheter du sexe, mais pas de l’amour.


***Paix ***
 
La paix vient de l’intérieur. Ne la cherchez pas à l’extérieur.
 
Sachant que la vie est courte, comment pouvez-vous vous quereller ?
 
Bienheureux les pacifiques qui, évitant la malveillance, 
l’orgueil et l’hypocrisie, pratiquent la compassion, 
l’humilité et l’amour.
 
La seule façon d’apporter la paix au monde est d’apprendre soi-même à vivre en paix.
 
Prends du temps chaque jour pour t’asseoir tranquillement et écouter.


***Parole*** 
 
Meilleur que mille mots privés de sens est un seul mot raisonnable, 
qui peut amener le calme chez celui qui l’écoute.
 
Quel que soit le nombre de saintes paroles que vous lisez, que vous prononcez, 
quel bien vous feront-elles si vos actes ne s’y conforment pas ?
 
Ceux qui maîtrisent la parole juste ne font offense à personne.
Pourtant ils disent la vérité. Leurs mots sont clairs mais 
jamais violents. Ils ne se laissent jamais humilier, 
et ils n’humilient jamais personne.
 
Semblable à une belle fleur brillante et sans parfum, 
la belle parole de celui qui ne la suit pas est sans fruit.
 
Ne croyez pas les individus, fiez-vous aux enseignements ; 
ne croyez pas les mots, fiez-vous au sens ultime, ne croyez pas l’intellect, 
fiez-vous à la Sagesse.


***Passé, présent et avenir***
 
Quelles qu’aient été les difficultés du passé, 
tu peux toujours recommencer à zéro aujourd’hui.
 
Lorsque vous marchez, mangez et voyagez, soyez présents. 
Sinon vous passerez à côté de la majeure partie de votre vie.
 
Chaque matin, nous renaissons à nouveau.
Ce que nous faisons aujourd’hui est ce qui importe le plus.
 
Quand tu marches, contente-toi de marcher ; 
quand tu manges, contente-toi de manger.
 
Ne regrettez pas le passé, ne spéculez pas sur l’avenir. Vivez pleinement le présent. 
 
Si vous pleurez sur le passé, regardez les choses en face et prenez du recul. 
Toutes les erreurs vous paraîtront alors comme de la gelée ou des gouttes 
de rose qui s’évaporeront rapidement au soleil de la sagesse.
 
Ne demeure pas dans le passé, ne rêve pas du futur, 
concentre ton esprit sur le moment présent.


***Pensée*** 
 
Il y a quatre pensées illimitées : l’amour, la compassion, la joie et l’égalité d’âme.
 
Quoi qu’un ennemi puisse faire à son ennemi.
Quoi qu’un méchant puisse faire à un méchant.
La pensée malhabile faire encore pis.
 
Votre pire ennemi ne peut pas vous faire du mal autant que vos 
propres pensées sans surveillance. Mais une fois maîtrisé, 
personne ne peut vous aider autant.
 
Nul ne peut autant nous aider que la compassion de nos propres pensées.
 
Il est bon de dompter la pensée. Même si elle est rétive 
et imprécise, même si elle se promène à sa guise, 
car domptée, elle mène à la félicité.
 
Ce que tu penses, tu le deviens.
Ce que tu ressens, tu l’attires.
Ce que tu imagines, tu le crées.
 
Ce que nous sommes aujourd’hui résulte de nos pensées d’hier ; 
et de nos pensées d’aujourd’hui dépendra notre vie de demain : 
notre esprit bâtit notre vie.
 
De même qu’un singe qui prend ses ébats dans la forêt saisit une branche 
puis l’abandonne aussitôt pour se raccrocher à une autre, ainsi, ce que vous nommez 
pensée, connaissance, se forme et se dissout sans cesse.


***Relations humaines*** 
 
Rien n’existe jamais tout à fait indépendamment du reste. Tout est en lien avec tout.
 
Quel que soit le lieu où tu vis, il constitue ton temple, 
pour autant que tu le considères comme tel.
 
Si les membres de la famille s’aiment tendrement, la maison sera un beau jardin fleuri.
 
Nous ne sommes pas indépendants, mais interdépendants.
 
Celui qui connaît l’unité de la vie voit son propre Soi dans tous les êtres et 
tous les êtres dans son propre Soi, et regarde tout avec un œil impartial.


***Sagesse***  


Le paysan laboure les champs, l’armurier façonne la flèche, 
le charpentier courbe le bois, mais le sage se perfectionne lui-même.
 
Tous les êtres vivants sont Bouddha et ont en eux sagesse et vertus.
 
Faire de grand discours éloquent n’est pas une preuve de sagesse.
L’homme apaisé, sans haine ni peur, mérite d’être appelé sage.
 
Le vent ne peut pas faire chanceler la montagne, 
tout comme la louange ou le blâme ne peuvent émouvoir le sage.
 
J’appelle sage celui qui, tout innocent qu’il est, 
supporte les injures et les coups avec une patience égale à sa force.
 
Attache-toi au sage qui réprouve tes fautes.
 
De la méditation naît la sagesse.
 
Dans toutes les directions, l’homme sage répand le parfum de sa vertu.
 
Il n’y a pas de lumière plus grande que celle de la sagesse.
 
Il n’y a pas de lieux sacrés ni de personnes sacrées, 
il n’y a que des instants sacrés, des instants de sagesse.
 
Celui qui se livre à des méditations claires trouve rapidement la joie dans tout ce qui est bon. 
Il voit que les richesses et la beauté sont impermanentes et 
que la sagesse est le plus précieux des joyaux.
 
La patience est la plus grande des prières. 

 

***Se connaître*** 
 
Faciles à voir sont les fautes d’autrui.
Difficiles à voir sont les nôtres. 
 
Considère celui qui te fait voir tes défauts comme s’il te
montrait un trésor. Attache-toi au sage qui réprouve 
tes fautes. En vérité, c’est un bien et non un 
mal de fréquenter un tel homme.
 
Ne te fie pas aveuglément aux paroles d’autrui, fût-il le Bouddha.
Observe ce qui t’apportent personnellement le contentement, la lucidité 
et la paix : là est ton chemin.


***Vérité***
 
Ceux qui refusent d’aspirer à la vérité n’ont 
pas compris le sens de la vie.
 
Il n’existe pas dans le monde plusieurs vérités différentes, 
car la vérité est une et identique dans 
tous les temps et dans tous les lieux.
 
Béni soit celui qui fait de la vérité sa demeure.
 
Si tu ne trouves pas la vérité là où tu es, 
où crois-tu donc pouvoir la trouver ?
 
Ne vous fiez pas à ce qui a été acquis du fait de l’avoir 
entendu de façon répétée, ni du fait de la tradition, ni du fait 
de la rumeur, ni du fait que ça se trouve dans une écriture.
 
Tout ce qui a un commencement a une fin.
Sois en paix avec cette vérité et tout ira bien.
 
Ne crois pas ce que je te dis. Ne rejette pas ce que je te dis.
Ce qui restera sera ta vérité.


***Vie***
 
La vie n’est pas un problème à résoudre, mais une vérité à expérimenter.
 
Vis pleinement chaque acte comme s’il devait être le dernier.
 
Vis comme si l’instant le plus important de ta vie était le moment que tu vis maintenant.

 

***Autres sujets*** 
 
Celui qui gravit une haute montagne doit nécessairement en descendre. 
Celui qui dédaigne les autres sera à son tour un objet de mépris. 
Celui qui méprise l’apparence des autres deviendra laid en retour. 
Celui qui ravit à autrui ses vêtements ou sa nourriture entrera sûrement 
dans l’état d’avidité… C’est la loi déterminée des causes et des effets ordinaires. 
 
Mon action est mon seul bien, mon action est mon héritage, 
mon action est la matrice qui me fait naître, mon action 
est ma race, mon action est mon refuge.
 
Notre corps est précieux, car il est le véhicule de notre éveil.
 
Ne fais que ce que tu ne regretteras pas.
 
Ne te fais pas le juge de tes semblables. 
 
Si le problème a une solution il ne sert à rien de s’inquiéter, 
mais s’il n’y a pas de solution, s’inquiéter ne changera rien.
 
De même que le serpent se défait de sa peau, 
nous devons constamment nous défaire de notre passé.
 
La douleur est inévitable, mais la souffrance est facultative.
 
Notre maison, nos enfants ne nous appartiennent pas, 
ni même notre propre corps. Ils nous sont simplement alloués pour un temps 
et nous devons les traiter avec soin et avec respect.
 
Soyez à vous-mêmes votre propre refuge. Soyez à 
vous-mêmes votre propre lumière.
 
Le monde est aveugle. Rares sont ceux qui voient correctement.
 
La force est l’arme de ceux qui ont tort...Bouddha.

 

000ghandi***Citations Mahatma Ghandi***

À chaque fois que vous êtes dans le doute, faites le test suivant...Souvenez-vous de la personne la plus pauvre et la plus faible que vous ayez rencontrée dans votre vie et demandez-vous si ce que vous vous apprêtez à faire 
lui sera d’une quelconque utilité.
 
À l’instant où l’esclave décide qu’il ne sera plus esclave, ses chaînes tombent.

 
 C’est dans l’effort que l’on trouve la satisfaction et non dans la réussite. 
Un plein effort et une pleine victoire.


 C’est une erreur de croire nécessairement faux ce qu’on ne comprend pas.


 Chacun a raison de son propre point de vue, 
mais il n’est pas impossible que tout le monde ait tort.


 Colère et intolérance sont les ennemis d’une bonne compréhension.
 
Comment peut-on apprendre à se connaître soi-même ? Par la méditation, 
jamais, mais bien par l’action.
 
Croire en quelque chose et ne pas le vivre, c’est malhonnête.
 
D’abord ils vous ignorent, puis ils vous raillent, 
ensuite ils vous combattent, enfin vous gagnez.
 
Devenons le changement que nous souhaitons voir dans le monde.
 
Donner un verre d’eau en échange d’un verre d’eau n’est rien ;
la vraie grandeur consiste à rendre le bien pour le mal.
 
En opposant la haine à la haine, 
on ne fait que la répandre, en surface comme en profondeur.
 
Évoluer et changer de point de vue fait partie de la vie. 
Une personne qui reste toujours sur ses positions finira par avoir tort.
 
Il est plus facile de croire ce que l’on nous affirme officiellement, que de s’aventurer dans 
l’indépendance intellectuelle… En fait, ce n’est pas l’opposition, mais le conformisme et l’inertie qui 
ont de tout temps été les plus sérieux obstacles à l’évolution des consciences ! 
 
Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoins de l’homme, 
mais pas assez pour assouvir son avidité.
 
Il y a beaucoup de causes pour lesquelles je suis prêt 
à mourir, mais aucune pour laquelle je suis prêt à tuer. 
 
Je m’oppose à la violence parce que lorsqu’elle semble produire le bien, 
le bien qui en résulte n’est que transitoire, tandis que le mal produit est permanent.
 
Je ne m’intéresse qu’aux qualités des gens. 
J’ai moi-même des défauts, donc je ne me permettrais pas de juger ceux des autres.
 
Je ne veux, pour rien au monde, étouffer cette petite voix qu’est ma conscience, 
ou l’expression de ce qu’il y a de plus profond en moi.
 
L’amour est la force la plus puissante que possède le monde, 
et pourtant elle est la plus humble qui se puisse imaginer.
 
La différence entre ce que nous faisons et ce que nous sommes capables de faire 
suffirait à résoudre une grande partie des problèmes de ce monde.
 
La fibre la plus coriace doit s’amollir dans le feu de l’amour. 
Si elles ne font pas, c’est que le feu n’est pas assez fort.
 
La force ne vient pas des capacités physiques ; elle vient d’une indomptable volonté.
 
La haine tue toujours, l’amour ne meurt jamais.
 
La liberté n’a pas de valeur si elle ne comprend pas la liberté de faire des erreurs. 
 
La méfiance est un signe de faiblesse.
 
La non-violence complète est absence complète de mauvais vouloir envers tout ce qui vit. 
La non-violence sous sa forme active, est bonne volonté pour tout ce qui vit. Elle est amour parfait.
 
La non-violence est mon premier article de foi. 
C’est aussi le dernier article de mon credo.
 
La règle d’or de la conduite est la tolérance mutuelle, 
car nous ne penserons jamais tous de la même façon, 
nous ne verrons qu’une partie de la vérité et sous des angles différents.
 
La conscience n’est pas la même pour tous. Elle est un bon guide pour la 
conduite individuelle, mais si l’on voulait imposer cette conduite à tous, 
ce serait un empiètement intolérable sur la liberté de conscience de chacun.
 
Celui qui veut servir, ne gaspillera pas une seule 
seconde pour son confort personnel.
 
La vie est un mystère qu’il faut vivre, et non un problème à résoudre.
 
La vraie moralité ne consiste pas à suivre les chemins battus, 
mais à trouver la voie véritable pour nous-même et à la suivre de manière intrépide.
 
Le plus grand voyageur n’est pas celui qui a fait dix fois le tour du monde, 
mais celui qui a fait une seule fois le tour de lui-même.
 
Le seul tyran que j’accepte en ce monde est la calme voix intérieure.
 
L’erreur ne devient pas vérité parce qu’elle se propage et se multiplie ;
la vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit. 
 
Les armes de la vérité et de l’amour sont invincibles.
 
Les sept fautes sociales de l’humanité sont la politique sans principes, 
la richesse sans travail, le plaisir sans conscience, la connaissance sans 
volonté, les affaires sans morale, la science sans humanisme, 
et la religion sans sacrifice.
 
Les vérités différentes en apparence sont comme d’innombrables feuilles 
qui paraissent différentes et qui sont sur le même arbre.
 
L’homme échoue dans sa quête d’un idéal de vie simple et de pensée 
supérieure dès qu’il cherche à multiplier ses désirs quotidiens.
 
Lorsque nous critiquons, 
il faut le faire avec une humilité et une courtoisie qui ne laisse subsister aucune amertume.
 
Moins on possède, moins on désire. 
 
Notre grandeur ne réside pas dans notre capacité à refaire le monde, 
mais dans notre habileté à nous recréer nous-mêmes.
 
Nous devenons ce qui est l’objet de nos aspirations les plus profondes.
 
Nul être humain n’est trop mauvais pour être sauvé. 
Nul être humain n’est assez parfait pour avoir le droit de 
tuer celui qu’il considère à tort comme entièrement mauvais.
 
Œil pour œil et le monde deviendra aveugle.
 
On ne peut battre son adversaire que par l’amour et non la haine. 
La haine est la forme la plus subtile de la violence. 
La haine blesse celui qui hait, et non le haï.
 
On ne peut parler à un homme qui a faim qu’en termes de pain.
 
On obtient justice plus rapidement en rendant justice à la partie adverse. 
 
Par sa nature même, la vérité porte l’évidence en soi. 
Dès qu’on la débarrasse des toiles d’araignée de l’ignorance, elle brille avec éclat.
 
Peu importe si ce que vous devez faire est insignifiant. 
Faites-le aussi bien que possible.
 
Puisque j’ai rejeté l’épée, il n’est plus rien d’autre que la coupe de l’amour 
que je puisse offrir à ceux qui se dressent contre moi.
 
Que nous devions obéir à toutes les lois, 
qu’elles soient bonnes ou mauvaises, est une invention récente.
 
Si tu veux changer le monde, commence par te changer toi-même.
 
Toute âme qui s’élève élève le monde. 
 
Un arbre qui s’abat fait beaucoup de bruit. 
Une forêt qui germe, on ne l’entend pas.
 
Une once de pratique vaut mieux que des tonnes de discours.
 
Vis comme si tu devais mourir demain. 
Apprends comme si tu devais vivre toujours. 
 
Vivre plus simplement, pour que d’autres puissent tout simplement vivre.
 
Vous les Occidentaux, vous avez l’heure, mais vous n’avez jamais le temps.
 
Vous ne devez pas perdre espoir en l’humanité. L’humanité est un océan :
même si quelques gouttes sont souillées, l’océan ne le devient pas.
Ce que tu gagneras par la violence, une violence plus grande te la fera perdre.
 
Dans votre vie, tout ce que vous ferez sera insignifiant, 
mais il est très important que vous le fassiez quand même.
 
Dès que quelqu’un comprend qu’il est contraire à sa dignité d’homme 
d’obéir à des lois injustes. Aucune tyrannie ne peut l’asservir.
 
Désaccord honnête est souvent un signe de progrès.
 
Il est facile de se tenir avec la foule. Il faut du courage pour rester seul.
 
Je ne laisserai personne traverser mon esprit avec leurs pieds sales. 
 
La démocratie devrait assurer au plus faible 
les mêmes opportunités qu’au plus fort.
 
La force du nombre ne réjouit que le peureux ; 
celui qui est courageux en esprit se fait gloire de combattre seul.
 
La force ne dépend pas de la capacité physique, 
elle procède d’une volonté indomptable.
 
La force réside dans l’absence de crainte, et non dans la quantité 
de chair et de muscle que nous avons dans notre corps.
 
La machine a gagné l’homme, l’homme s’est fait 
machine, fonctionne et ne vit plus.
 
La pureté de vie est l’art le plus authentique et le plus élevé qui soit.
 
La vérité est dure comme le diamant et fragile comme la fleur de pêcher.
 
L’amour est ce qu’il y a de plus fort au monde 
cependant on ne peut rien imaginer de plus humble.
 
Le droit même de vivre ne nous est donné que si nous remplissons 
notre devoir de citoyens du monde.
 
Notre contribution au progrès du monde doit 
consister à mettre notre propre maison en ordre.
 
S’abstenir de punir n’est pardon que quand il existe le pouvoir de punir.
 
Si nous nous acquittons de nos devoirs, 
nos droits nous apparaîtront clairement.
 
Un humain n’est que le produit de ses pensées. 
Ce qu’il pense, il devient.
 
Un individu conscient, éveillé et debout est plus dangereux 
pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et apeurés.
 
Vos croyances engendrent vos pensées, vos pensées engendrent vos paroles, 
vos paroles engendrent vos gestes, vos gestes engendrent vos habitudes, vos 
habitudes engendrent vos valeurs et vos valeurs engendrent votre destin.
 
Ayez de la haine pour le péché et de l’amour pour le pécheur.
 
Commencez par changer en vous ce que 
vous voulez changer autour de vous.
 
Il faut faire son devoir sans se soucier de l’opinion des autres.
 
Il faut que chacun ait au moins de quoi 
subvenir aux besoins de sa nature.
 
Il ne peut y avoir de paix intérieure sans connaissance véritable.
Une fois que nous saurons appliquer ce criterium infaillible de la vérité,
nous pourrons immédiatement discerner ce qui vaut 
la peine d’être fait, ou d’être vu, ou d’être lu.
 
Injuste est le système économique 
qui méprise les valeurs morales.
 
Je ne crois pas qu’un individu isolé puisse s’élever spirituellement 
et que ceux qui l’entourent n’en tirent aucun profit. Si donc un 
seul homme avance d’un pas dans la vie spirituelle, l’humanité 
toute entière y gagne. En sens contraire, la régression d’un 
seul fait faire un pas en arrière au monde entier.
 
Je ne veux pas que ma maison soit murée de toutes parts, 
ni mes fenêtres bouchées, mais qu’y circule librement 
la brise que m’apportent les cultures de tous les pays.
 
La différence entre le possible et l’impossible 
se trouve dans la détermination.
 
Là où il n’y a le choix qu’entre lâcheté et violence, 
je conseillerai la violence.
 
La plus grande force dont puisse disposer l’humanité est 
la non-violence. Elle est plus puissante que la plus puissante des 
armes de destruction élaborées par l’intelligence de l’homme.
 
La véritable éducation consiste à tirer le meilleur de soi-même.
Quel meilleur livre peut-il exister que le livre de l’humanité ?
 
La vie persiste au sein même de la destruction.
 
Le bonheur est quand ce que vous pensez, ce que vous dites 
et ce que vous faites sont en harmonie
 
Le ciel et la terre sont en nous.
 
Le fait d’avoir à cohabiter sur cette petite planète qu’est la terre 
nous impose d’apprendre à y vivre en paix tous ensemble, 
en harmonie avec la nature, et il ne s’agit 
pas d’un rêve mais d’une nécessité.
 
Le futur dépend de ce que nous faisons au présent.
 
Le pouvoir fondé sur l’amour est mille fois plus efficace et 
plus durable que celui qui émane de la peur du châtiment.
 
Le progrès spirituel exige de nous que nous cessions de 
tuer les autres êtres vivants pour nos besoins corporels.
 
Le rire sincère est l’éloquence vraie, 
il est plus efficace que la parole.
 
Le vrai démocrate est celui qui, grâce à des moyens purement 
non violents, défend sa liberté, par conséquent celle de son 
pays et finalement celle de l’humanité tout entière.
 
Les systèmes économiques qui négligent les facteurs moraux 
et sentimentaux sont comme des statues de cire : ils ont l’air 
d’être vivants et pourtant, il leur manque la vie 
de l’être en chair et en os.
 
L’homme est soumis à l’obligation de se laisser guider dans 
toutes ses actions par des considérations morales.
 
L’homme qui est fier de sa vertu devient 
souvent un fléau pour ses voisins.
 
Ma vie est mon seul enseignement.
 
Ma vie forme un tout indissociable : un même lien unit toutes 
mes actions. Elles ont toutes leur source dans un amour 
inextinguible pour l’humanité.
 
Mieux vaut y mettre tout son cœur et ne pas trouver les mots pour le dire, 
que trouver les mots pour le dire et ne pas y mettre tout son cœur.
 
Mon exigence pour la vérité m’a elle-même 
enseigné la beauté du compromis.
 
Nous avons mieux à faire de la vie que d’en accélérer le rythme.
 
Nul homme qui aime son pays ne peut l’aider à progresser 
s’il ose négliger le moindre de ses compatriotes.
 
Pour progresser, il ne faut pas répéter l’histoire, mais en produire une 
nouvelle. Il faut ajouter à l’héritage que nous ont laissé nos ancêtres.
 
Quand j’arriverais à ne plus commettre le moindre mal et que 
je me serai débarrassé de toute pensée hautaine, alors, mais 
alors seulement, les cœurs les plus endurcis seront 
ébranlés par ma non-violence.
 
Si chacun ne concevait que ce dont il a besoin, nul ne 
manquerait de rien, et chacun se contenterait de ce qu’il a.
 
Tout compromis repose sur des concessions mutuelles, 
mais il ne saurait y avoir de concessions mutuelles 
lorsqu’il s’agit de principes fondamentaux.
 
Tout être humain a le droit de vivre, d’avoir les moyens 
de se nourrir, de se vêtir et de se loger.
 
Une loi doit avant tout être une loi juste.
La politique moderne fait de la loi un fétiche simplement parce que c’est la loi.
 
Une vie de sacrifice est le sommet suprême de l’art.
Elle est pleine d’une véritable joie.
 
La dignité de l’homme requiert l’obéissance à 
une loi supérieure, à la puissance de l’esprit.
 
Il n’est pas nécessaire d’éteindre la lumière de 
l’autre pour que brille la nôtre
 
Même si l’on est une minorité d’un seul homme, 
la Vérité EST la Vérité.
 
Il vaut mieux mettre son cœur dans la prière sans trouver 
de paroles que trouver des mots sans y mettre son cœur.
 
Le bonheur, c’est lorsque vos actes sont en accord avec vos paroles.
 
Le fatalisme a des limites.
Nous devons nous en remettre au 
sort uniquement lorsque nous avons épuisé tous les remèdes.
 
La non-violence est la loi de notre espèce tout comme la violence est la loi de l’animal. 
 
On reconnaît le niveau d’évolution d’un peuple 
à la manière dont il traite ses animaux.
 
Tout ce que tu feras sera dérisoire, 
mais il est essentiel que tu le fasses.
 
Chaque jour, la nature produit suffisamment pour nos besoins.
Si chacun ne prenait que ce qu’il lui faut, il n’y aurait pas de 
pauvreté dans le monde, et personne n’y mourrait d’inanition.
 
Le bonheur, c’est l’harmonie des pensées, des paroles et des actions.
 
Lorsque je désespère, je me souviens que tout au long de l’histoire les 
voies de la vérité et de l’amour ont toujours gagné. Il y a eu des tyrans, 
et des assassins, et pendant un temps ils peuvent sembler invincibles, 
mais à la fin ils s’écroulent toujours. Pensez-y toujours.
 
Il n’y aura jamais d’égalité tant que l’on se sent inférieur ou supérieur à autrui.
Entre égaux, il ne saurait y avoir de condescendance.
 
Il faut prendre la nourriture comme on prend des médicaments, 
c’est-à-dire sans se demander si elle est ou non agréable au goût ; 
il ne faut en prendre que les quantités nécessaires aux besoins du corps.
 
Il existe un conflit mondial entre le capital et le travail, et les pauvres 
envient les riches. Si chacun travaillait pour gagner son pain, les distinctions 
de classes seraient abolies ; les riches seraient toujours là, mais ils se 
considéreraient seulement comme les gérants de leur fortune, 
qu’ils emploieraient surtout dans l’intérêt général.
 
Je rejette toute doctrine religieuse qui ne fait pas appel à la raison 
et qui se trouve en conflit avec la moralité. Je tolère le sentiment 
religieux déraisonnable quand il n’est pas immoral.
 
La vérité ne saurait être atteinte par celui qui 
n’a pas en soi un sens abondant d’humilité.
 
Si nous cultivons l’habitude de rendre ce service intentionnellement, 
notre désir de servir s’accroîtra sans cesse et contribuera non seulement 
à notre propre bonheur, mais aussi au bonheur du monde en général.
 
L’homme devient souvent ce qu’il croit être. Si je continue à me dire 
que je ne peux pas faire une certaine chose, il est possible que je finisse 
par devenir vraiment incapable de le faire. Au contraire, si j’ai la 
conviction que je peux le faire, je vais sûrement acquérir la capacité 
de le faire, même si je ne peux pas l’avoir dès le début.
 
Il faut apprendre à rester serein au milieu de l’activité
et à être vibrant de vie au repos.
 
La vérité nourrit l’âme, le mensonge la ronge.
 
La pauvreté est la pire forme de violence.
 
Il est imprudent d’être trop sûr de sa propre sagesse.
Il est sain de se rappeler que le plus fort pourrait affaiblir
et le plus sage pourrait se tromper.
 
Je ne vivrai cette vie qu’une seule fois. Alors laissez-moi faire le bien, 
être bon, aujourd’hui même.
 
Il n’y a pas de chemin vers la paix, la paix est le chemin.

 

Citations de Gandhi sur la religion
Chaque homme est responsable de sa religion.
 
Là où il y a la peur, il n’y a pas de religion.
 
La vie sans religion est une vie sans principe, 
et une vie sans principe est comme un bateau sans gouvernail.
 
En réalité, il existe autant de religions que d’individus.
 
Celui qui est parvenu au coeur même de sa religion 
est aussi parvenu au cœur des autres religions.
 
Je ne suis pas visionnaire. Je prétends être un idéaliste pratique. 
La religion de la non-violence n’est pas réservée aux rishis et aux saints. 
Elle est aussi destinée à l’homme moyen.
 
Les principes de la religion sont une chose, les pratiques qui les prennent pour 
base en sont une autre. Les principes sont absolument indépendants du temps 
et de l’espace. Les pratiques changent selon l’époque et selon le lieu.
 
Les religions sont comme des routes différentes convergeant 
vers un même point. Qu’importe que nous empruntions des 
voies différentes, pourvu que nous arrivions au même but...Mahatama Ghandi

0jiddu krishnamurti death 2***Citations Jiddu krisnamurti***

Il faut puiser à la source du silence pour regarder et écouter.
 
La vérité n’est pas en quelque lieu lointain, elle est dans 
l’acte de regarder ce qui est. Se voir soi-même tel que l’on 
est en cette lucidité où n’entre aucune option est le 
commencement et la fin de toute recherche.
 
Tant que le cerveau reste conditionné par le temps et la pensée, 
il n’y a pas de véritable intuition, celle qui embrasse la totalité, 
qui perçoit la plénitude.
 
Le vrai sens du mot “médiocrité”, c’est n’escalader la 
montagne qu’à mi-hauteur sans jamais en atteindre le sommet. 
Ne jamais exiger la perfection, le meilleur de vous-même.
 
Le point de départ d’une pensée vraie est dans la 
connaissance de soi. Si l’on ne se comprend pas soi-même, 
l’on n’a aucune base pour penser ; ce que l’on pense n’est pas vrai.
 
L’esprit ne peut être souple que lorsqu’il n’est pas 
enchaîné à une forme particulière de croyance.
 
Ce que vous êtes dans la vie quotidienne est de la 
plus haute importance. Car c’est de cela, de ce que 
vous êtes que vous créez le monde.
 
Dès lors que vous critiquez, vous n’êtes plus en relation, 
vous avez déjà instauré une barrière entre eux et vous ; 
mais si vous ne faites qu’observer, alors vous serez en 
relation directe avec les gens et les choses.
 
La vérité n’a pas de sentier, et c’est cela sa beauté : 
elle est vivante. Une chose morte peut avoir un 
sentier menant à elle, car elle est statique.
 
L’amour ne sait rien du passé, ni du futur, 
il est sans cesse nouveau.
 
Porter sur toute chose un regard lucide, sans faire 
intervenir les souvenirs d’hier : alors, la vie 
cesse d’être problématique.
 
Nos intuitions peuvent être l’expression de nos espoirs, 
de nos craintes, de notre amertume, de nos attentes, 
de nos souhaits.
 
Les relations sont sûrement le miroir dans lequel 
on se découvre soi-même.
 
L’éducation consiste à comprendre l’enfant tel qu’il est, 
sans lui imposer l’image de ce que nous pensons qu’il devrait être.
 
La vie quotidienne, si elle est sans compréhension, 
vous poussera à passer à côté de l’amour, de la beauté, de la mort.
 
Il est bon de naître dans une religion, mais pas d’y mourir.
 
L’important, c’est d’être à soi-même sa propre lumière, 
son propre maître et son propre disciple.
 
On ne peut se rendre compte de la façon dont on est 
conditionné que lorsque survient un conflit dans une continuité 
de plaisir ou dans une protection contre la douleur.
 
La liberté est un état d’esprit, non le fait d’être affranchi 
de “quelque chose” ; c’est un sens de liberté ; c’est la liberté 
de douter, de remettre tout en question ; c’est une liberté si 
intense, active, vigoureuse, qu’elle rejette toute forme de 
sujétion, d’esclavage, de conformisme, d’acceptation.
 
Là où il y a du conformisme, de l’obéissance et de l’imitation, 
il n’y a jamais d’apprentissage, on ne fait que suivre.
 
Les possessions nous possèdent plus que nous ne les possédons.
 
Il existe une efficience basée sur l’amour, qui va bien plus loin 
et qui est beaucoup plus grande que l’efficience de l’ambition.
 
L’habitude de nous conformer aux modèles 
qu’impose la société insensibilise nos coeurs.
 
Être bien adapté à une société profondément malade 
n’est aucunement une mesure de bonne santé.
 
L’ignorant n’est pas celui qui manque d’érudition, 
mais celui qui ne se connaît pas lui-même.
 
La peur bloque la compréhension intelligente de la vie.
 
La peur existe quand je désire vivre dans un modèle particulier. 
Vivre sans peur signifie vivre sans aucun modèle particulier. 
La peur surgit quand j’exige une façon de vivre particulière.
 
Pourquoi nous comparer toujours à d’autres ? Si nous ne nous 
comparons à personne, nous devenons ce que nous sommes.
 
Range le livre, la description, la tradition, l’autorité, 
et prends la route pour découvrir toi-même.
 
Se connaître est le début de la sagesse.
 
Si vous voulez aider quelqu’un à changer, soyez comme le soleil. 
Donnez-lui la compassion, l’amour, l’intelligence et rien d’autre.
 
Vivre dans le présent, complètement, totalement, c’est vivre ce qui est, 
avec l’actuel, sans le condamner ni le justifier. Tout problème 
vu dans cette clarté est résolu.
 
Seule l’intelligence de l’amour et de la compassion 
peut résoudre tous les problèmes de la vie.
 
Ce qui n’est pas pleinement compris se répète.
 
Un esprit surchargé de passé est toujours en peine.
 
Observer sans évaluer est la plus haute forme d’intelligence humaine.
 
La vérité est comprise en vivant, non en s’évadant de la vie.
 
La vérité est l’observation silencieuse de ce qui est, 
et c’est la vérité qui transforme ce qui est.
 
La vérité ne peut se trouver dans aucun temple, 
église ou mosquée, quelle que soit leur beauté.
 
L’ignorance n’est point le manque de savoir, mais le 
manque de connaissance de soi.
 
La tolérance est acceptation civilisée de la division entre les hommes.
 
L’amour se donne lui-même en abondance, 
comme une fleur donne son parfum.
 
La liberté est pure observation, sans orientation, 
sans crainte ni menace de punition, sans récompense.
 
À partir de la conscience extérieure, vous arrivez à la conscience intérieure.
 
Apprendre est la capacité de penser clairement, 
sainement et sans illusion, c’est se fonder sur des faits 
et non sur des croyances et des idéologies.
 
Au cours des âges, l’homme a toujours cherché un quelque chose, 
au-delà de lui-même, au-delà du bien-être.
 
Au cours du processus de compréhension de vous-même, 
non dans l’isolement, mais en situation de relation, vous constaterez 
une transformation profonde et durable qui marque la fin de l’utilisation 
de l’autre pour votre propre gratification psychologique.
 
Aucun expert, aucun spécialiste ne peuvent nous montrer 
comment comprendre le processus de notre moi.
 
Être à soi-même sa propre lumière : là est la vraie liberté 
et cette liberté n’est pas une abstraction, 
elle n’est pas le fruit de la pensée.
 
C’est une grande chose que de comprendre la souffrance, 
car lorsqu’on est libéré de la souffrance, il y a compassion.
 
Ce qui nous importe c’est que chaque être humain 
puisse se développer totalement.
 
Comprendre et par la compréhension mettre fin à la souffrance, 
exige une grande attention.
 
Dès l’instant où il n’y a pas de peur, il y a liberté. 
Alors seulement, l’on est capable de découvrir ce qui est vrai.
 
Est-ce là le but de l’éducation, de vous obliger volontairement 
ou non à vous adapter à cette structure démente qu’on appelle la société ?
 
Et vous devez aussi comprendre ceci : 
la maturité n’est pas affaire de temps.
 
Être libre de toute autorité, de la vôtre et de celle d’un autre, 
c’est mourir à toutes les choses d’hier.
 
Il est des domaines où la pensée est nécessaire, 
d’autres où elle ne l’est pas.
 
Il est essentiel de savoir si notre conditionnement (ce conditionnement 
commun à l’humanité) pourra jamais s’effacer. Voilà la vraie question.
 
Il est impossible de vivre isolé ; ainsi la vie est relation, 
et les contacts sont action.
 
Il est infiniment plus important de comprendre notre 
pouvoir de créer l’illusion que de comprendre la réalité.
 
Il n’y a de beauté que lorsque le coeur et l’esprit savent ce qu’est l’amour.
 
Il s’agit d’être libre non à l’égard de la société, mais à l’égard de l’idée ; 
alors la relation, la société, ne conditionnent plus l’esprit.
 
Il semble être dans la nature de l’homme de 
vouloir s’identifier à quelque chose.
 
Il y a une énorme différence entre un esprit 
préoccupé et un esprit actif.
 
Ils ont de l’argent, ils ont une situation, ils sont plus ou moins puissants. 
Mais enlevez l’argent, la situation sociale, la puissance, 
vous apercevez un cœur sans profondeur.
 
L’état de santé psychologique est de beaucoup 
plus important que la santé physique.
 
L’esprit doit, avant tout, se libérer du conditionnement.
 
L’homme n’est pas le produit d’une seule influence, 
il est infiniment complexe.
 
L’intelligence n’est pas l’aptitude au maniement habile d’arguments.
 
L’ordre ne consiste pas à suivre un chemin tout tracé. Il naît de 
votre compréhension du désordre, non seulement au-dehors, 
mais aussi en vous-même.
 
La colère a ceci de particulier qu’elle vous isole ; comme le chagrin, 
elle vous retranche du monde, et vous fait perdre 
le sens des relations humaines.
 
La conscience survient lorsqu’on observe.
 
La lucidité est l’observation sans condamnation.
 
La paix est un état d’esprit indissolublement lié à l’amour.
 
La pensée a recherché la sécurité dans des conclusions 
qui n’ont fait que répandre le désordre.
 
La responsabilité de chacun est d’opérer un changement radical en soi.
 
La vertu, l’éthique ne consistent pas dans la répétition du bien. 
Toute vertu cesse d’en être une dès qu’elle devient mécanique.
 
L’amour ne recherche pas une position sociale, du prestige, du pouvoir. 
Mais il a sa propre capacité, sa propre habileté et sa propre intelligence.
 
Le bien n’est pas le contraire du mal.
 
Le désir ardent de l’expérience engendre l’illusion.
 
Le désir, force motivante de l’homme, lui a fait créer 
beaucoup de choses plaisantes et utiles.
 
Lorsque l’on a pris conscience de tout le processus de l’obsession 
ou de tout autre problème, alors seulement on est libéré du problème.
 
Ne laissez pas vos préjugés obscurcir votre observation 
des choses telles qu’elles sont, ne faites qu’observer.
 
Ne pas se connaître soi-même, c’est détruire l’ordre sacré des choses.
 
Nos conflits et notre état de confusion résultent des rapports faux 
que nous entretenons avec les gens, les choses, les idées.
 
Nous aurons à découvrir la signification de la vie, 
ne lui accordant pas seulement une portée intellectuelle, 
mais en regardant ce que cela signifie que de vivre.
 
Nous ne semblons pas réaliser que la pensée est 
l’élément commun qui nous relie tous.
 
Nous sommes les choses que nous possédons, 
nous sommes ce à quoi nous tenons.
 
Penser au futur c’est avoir des racines dans le sol de l’incertitude.
 
Pour aimer, il faut être libre.
 
Pour le développement total de l’être humain, la solitude en 
tant que moyen de cultiver la sensibilité est une nécessité.
 
Pour voir clairement il faut qu’il y ait liberté et non une vision contrôlée.
 
Tant que nous continuerons à grimper à l’échelle du succès, 
il y aura toujours des malheureux et des affamés.
 
Toute nouvelle expérience dépend de la précédente, du passé.
 
Un conflit, quelque soit sa forme et à quelque profondeur 
de notre être qu’il se trouve, est une perte d’énergie.
 
Un esprit conditionné par un système ne peut jamais voir la vérité.
 
Un ordre imposé du dehors provoque presque toujours un désordre.
 
Une des choses les plus importantes qui soient est l’art de vivre.
 
Il est impossible d’être à soi-même sa propre lumière si l’on est 
pris dans les ténèbres de l’autorité, du dogme, des conclusions.
 
Ne te permets jamais de te sentir triste ou déprimé. La dépression 
est une chose nuisible, parce qu’elle affecte les autres et leur rend 
la vie plus difficile, ce que tu n’as pas le droit de faire. C’est pourquoi, 
si jamais cela t’arrive, lutte immédiatement pour t’en débarrasser.J.Krishnamurti

Confucius 11***Citations Confucius***

À 15 ans, ma volonté était tendue vers l’étude.
À 30 ans, je m’y perfectionnais. 
À 40 ans, je n’éprouvais plus d’incertitudes. 
À 50 ans, je connaissais le décret céleste. 
À 60 ans, je comprenais sans avoir besoin d’y 
réfléchir tout ce que mon oreille entendait.
À 70 ans, en suivant les désirs de mon coeur, 
je ne transgressais aucune règle...
 
À l’égard du monde, le sage n’a ni préjugé ni prédilection.
Il est pour tout ce qui est juste.
 
Agissez avec gentillesse, mais n’attendez pas de reconnaissance.
 
Agissez envers les autres comme vous aimeriez qu’ils agissent envers vous.
 
Aimer les autres et prendre soin d’eux, c’est agir avec humanité. 
Les comprendre, c’est agir avec vertu.
 
Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu.
 
Apprendre sans réfléchir est vain.
Réfléchir sans apprendre est dangereux.
 
Autrefois, on s’instruisait pour soi-même. 
Aujourd’hui, c’est pour en imposer aux autres.
 
Ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse, ne l’inflige pas aux autres…
 
Ce qu’on sait, savoir qu’on le sait ; ce qu’on ne sait pas, 
savoir qu’on ne le sait pas : c’est savoir véritablement.
 
Celui dont la pensée ne va pas loin verra les ennuis de près.
 
Celui qui aime apprendre est bien près du savoir. 
 
Celui qui ajoute de nouvelles connaissances aux anciennes 
est le véritable enseignant.
 
Celui qui comprend son devoir et ne le remplit pas est un lâche.
 
Celui qui dans ses entreprises cherche uniquement 
son intérêt propre excite beaucoup de mécontentement.
 
Celui qui est conscient de sa faiblesse dans la pratique de ses devoirs 
est bien proche de la force d’âme nécessaire à leur accomplissement.
 
Celui qui est noble met l’emphase sur les qualités et les vertus de ses semblables.
 
Celui qui est respectueux sans mesure est fatigant. 
Celui qui est franc sans mesure est insolent.
 
Celui qui est sévère envers lui-même et indulgent envers les autres 
évite les mécontentements.
 
Celui qui ne connaît pas les mots ne peut connaître les hommes.
 
Celui qui ne craint pas de promettre de grandes choses 
a de la peine à les exécuter.
 
Celui qui ne prévoit pas les choses lointaines s’expose à des malheurs prochains. 
 
Celui qui ne progresse pas chaque jour recule chaque jour. 
 
Celui qui par l’étude de la connaissance du passé obtient une 
connaissance nouvelle, est digne d’être un maître.
 
Celui qui parle trop agira difficilement.
 
Celui qui pense à être humain ne commet pas de fautes.
 
Celui qui plante la vertu ne doit pas oublier de l’arroser souvent.
 
Celui qui pose une question risque de passer pour un sot. 
Celui qui n’en pose pas est sûr de le rester.
 
Celui qui ranime le passé pour connaître ce qui est nouveau, 
celui-là est un maître.
 
Celui qui sait obéir saura ensuite commander.
 
Celui qui sait une chose ne vaut pas celui qui l’aime. 
Celui qui l’aime ne vaut pas celui qui en fait sa joie.
 
C’est un tort égal de pécher par excès ou par défaut.
 
Chercher à plaire aux hommes par des discours étudiés et un extérieur 
composé est rarement signe de plénitude humaine.
 
Choisis un travail que tu aimes, 
et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie.
 
Comme les richesses ornent et embellissent une maison, de même 
les intentions pures et sincères ornent et embellissent la personne.
 
Comment un homme dépourvu des vertus propres à l’homme 
peut-il cultiver la musique ?
 
Conduis ta vie de façon à ce qu’à ta mort tout le monde pleure 
et que tu sois le seul à sourire. 
 
Conduis-toi de manière à ne causer aucun souci à tes parents si ce n’est sur ta santé.
 
Dans la colère, le sage pense à ses suites.
 
De petites impatiences peuvent conduire à une grande imprudence.
 
Dis-moi et j’oublierai. Montre-moi et je m’en souviendrai peut-être. 
Fais-moi participer et je comprendrai. 
 
Écoutez beaucoup, afin de diminuer vos doutes ; soyez attentif à ce que vous dites, 
afin de ne rien dire de superflu ; alors, vous commettrez rarement de fautes.
 
En cherchant à hâter les choses, on manque le but.
 
Entendre les plaideurs et rendre la justice, je le puis tout comme un autre. 
L’important serait de faire qu’il n’y eût plus de plaideurs.
 
Entendre ou lire sans réfléchir est une occupation vaine ; 
réfléchir sans livre ni maître est dangereux.
 
Et la poursuite de petits avantages fait avorter les grandes entreprises.
 
Étudier sans méditer est vain.
Méditer sans étudier est périlleux.
 
Examine si ce que tu promets est juste et possible, 
car la promesse est une dette.
 
Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. 
Ainsi beaucoup d’ennuis te seront épargnés.
 
Faire le bien sans chercher de récompenses, 
fuir le mal sans avoir la crainte du châtiment : 
homme rare sous le ciel.
 
Faire quelque chose de remarquable vaut mieux qu’être remarqué.
 
Il faut que le disciple de la sagesse ait le cœur grand et courageux. 
Le fardeau est lourd et le voyage est long.
 
Il faut répondre au mal par la rectitude, au bien par le bien.
 
Il faut se garder de trois fautes : parler sans y être invité, 
ce qui est impertinence ; ne pas parler quand on y est invité, 
ce qui est de la dissimulation ; parler sans observer les 
réactions de l’autre, ce qui est de l’aveuglement.
 
Il faut trois ans pour apprendre à parler, 
et toute une vie pour apprendre à écouter.
 
Il n’est pas nécessaire d’aller vite, le tout est de ne pas s’arrêter.
 
Il reste toujours un peu de parfum à la main qui donne des roses.
 
Il y a des personnes qui pleurent en apprenant que les roses ont des épines. 
D’autres se réjouissent quand ils savent que les épines portent des roses.
 
Il y a trois sortes d’hommes auxquels il est utile 
de se lier d’amitié : les hommes droits, les hommes 
sincères et les hommes qui ont beaucoup appris.
 
Je ne cherche pas à connaître les réponses, 
je cherche à comprendre les questions.
 
Je ne m’attends pas à trouver un saint aujourd’hui. 
Si je pouvais seulement trouver un sage, je m’en contenterais.
 
Je ne maudis pas le Ciel, je ne me plains pas des hommes, 
j’étudie humblement pour atteindre la réalisation.
 
Je ne peux rien pour qui ne se pose pas de question. 
 
Je ne veux ni ne rejette rien absolument, mais je consulte toujours les circonstances.
 
Je n’enseigne pas celui qui ne s’efforce pas de comprendre ; 
je n’aide pas à parler celui qui ne s’efforce pas d’exprimer sa pensée. 
 
J’entends, j’oublie. Je vois, je me souviens. Je fais, je comprends.
 
L’homme qui poursuit deux lapins à la fois n’en attrape aucun.
 
L’honnête homme a de l’autorité, mais pas d’arrogance.
L’homme vulgaire a de l’arrogance mais, pas d’autorité.
 
L’honnête homme cultive l’harmonie, mais pas la conformité.
L’homme de peu cultive la conformité, mais pas l’harmonie.  
La chance est bien souvent un hasard qui se provoque.
 
La connaissance est la clé du pouvoir, de la sagesse.
 
La conscience est la lumière de l’intelligence pour distinguer le bien du mal.
 
La joie est en tout ; il faut savoir l’extraire.
 
La nature fait les hommes semblables. La vie les rend différents.
 
La plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, 
mais de se relever à chaque chute.
 
La qualité fondamentale d’un chef est la bienveillance. 
 
La vertu parfaite consiste à se rendre capable de pratiquer cinq choses 
sous le ciel : déférence, grandeur d’âme, honnêteté, diligence et générosité.
 
La vie de l’homme dépend de sa volonté ; sans volonté, 
elle serait abandonnée au hasard.
 
La vie est vraiment simple, 
mais nous insistons pour la rendre compliquée.
 
La voie du maître se ramène à ceci : exigence envers soi-même, 
mansuétude pour les autres.
 
La volonté de gagner, le désir de réussir, l’envie d’atteindre votre 
plein potentiel sont les clés qui ouvrent la porte à l’excellence personnelle.
 
La vraie connaissance est de connaître l’étendue de son ignorance.
 
Le but n’est pas tout. Chaque pas vers le but est un but. 
Ce sont tous les petits buts qui font le but.
 
Le contentement apporte le bonheur, même dans la pauvreté. 
Le mécontentement apporte la pauvreté, même dans la richesse.
 
Le grave défaut est d’avoir des défauts et 
de ne pas s’efforcer de s’en corriger.
 
Le maître dit : l’impétuosité sans même la droiture, l’ignorance sans la prudence, 
la souplesse sans la bonne foi, voilà qui dépasse mon entendement.
 
Le père qui n’enseigne pas ses devoirs à son fils 
est autant coupable que ce dernier s’il les néglige.
 
Le plus grand voyageur est celui qui a su faire une fois le tour de lui-même.
 
Le plus sûr soutien est celui que l’on trouve chez ses proches.
 
Le pouvoir : Si un supérieur ne peut accorder sa confiance 
aux hommes moins élevés hiérarchiquement, alors le 
peuple ne peut être bien administré.
 
Le problème des hommes, c’est qu’ils négligent leur 
propre champ pour aller ensemencer celui des autres.
 
Le sage a honte de ses défauts, mais n’a pas honte de s’en corriger.
 
Le sage est calme et serein. 
L’homme de peu est toujours accablé de soucis. 
 
Le sage n’accable pas les autres de sa supériorité. 
Il ne les humilie pas de leur impuissance.
 
Le sage s’applique à être lent dans ses paroles et diligent dans ses actes.
 
Le sage se demande à lui-même la cause de ses fautes, 
l’insensé le demande aux autres.
 
Le sage voit son devoir. Le sot voit son intérêt.
 
Le sentiment du vrai et du faux ou du juste et de l’injuste 
est le principe de la sagesse
 
Le silence est un ami qui ne trahit jamais.
 
Le tout est plus grand que la somme des parties.
 
L’efficacité du milieu juste est suprême, mais la plupart 
des gens en ont perdu la notion depuis longtemps.
 
Les fautes des hommes sont relatives à l’état de chacun.
 
L’excès ne vaut pas mieux que l’insuffisance.
 
L’expérience est une bougie qui n’éclaire que celui qui la porte.
 
L’expérience est une lanterne attachée dans notre dos, 
qui n’éclaire que le chemin parcouru.
 
L’homme de bien cherche en lui-même, 
l’homme mesquin cherche chez autrui.
 
L’homme de bien est celui qui ne prône pas ce qu’il faut 
faire tant qu’il n’a pas fait ce qu’il prône. 
 
L’homme de bien est droit et juste, mais non raide et inflexible ; 
il sait se plier, mais non se courber.
 
L’homme de bien se révèle dans les grandes occasions ; 
l’homme de peu ne s’accomplira jamais que dans les petites tâches.
 
L’homme de bien situe la justice au-dessus de tout. Un homme de bien 
qui a la bravoure mais qui ignore la justice sera un rebelle. L’homme 
médiocre qui a la bravoure mais qui ignore la justice sera un brigand.
 
L’homme de bien, dans le monde, ne se braque ni pour ni contre, 
mais s’incline vers ce qu’exige la situation.
 
L’homme de peu colore toujours de belles apparences les fautes qu’il a commises.
 
L’homme de qualité cherche l’harmonie non la conformité, 
l’homme de peu la conformité plutôt que l’harmonie.
 
L’homme honorable commence par appliquer ce qu’il veut 
enseigner ; ensuite il enseigne.
 
L’homme noble est ferme, mais non obstiné.
 
L’homme sage apprend de ses erreurs, 
l’homme plus sage apprend des erreurs des autres !
 
L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui 
n’a qu’un usage ; il est apte à tout.
 
L’homme supérieur cherche ce qui est juste,
l’homme inférieur, ce qui est profitable.
 
L’homme supérieur est amical sans être familier ;
l’homme vulgaire est familier sans être amical.
 
L’homme supérieur est celui qui a une bienveillance égale pour tous, 
et qui est sans égoïsme et sans partialité.
 
L’homme supérieur est comme l’archer, qui n’atteint pas toujours le but, 
mais qui ne s’en prend qu’à lui-même. 
 
L’homme supérieur est toujours tranquille et calme.
 
L’homme supérieur ne demande rien qu’à lui-même ;
l’homme vulgaire et sans mérite demande tout aux autres.
 
L’homme supérieur porte attention à ses devoirs et vigilance à 
ses paroles, il aime fréquenter ceux qui ont de droits principes, 
afin de régler sur eux sa conduite.
 
L’homme supérieur, c’est celui qui d’abord met ses paroles en pratique, 
et ensuite parle conformément à ses actions. 
 
L’honnête homme remonte sa pente, l’homme vulgaire la descend.
 
Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté.
 
L’ouvrier qui veut bien faire son travail doit commencer 
par aiguiser ses instruments.
 
Mieux vaut un diamant avec une faille qu’un caillou sans.
 
Ne cherchez pas à vous immiscer dans les 
affaires dont vous n’avez pas la charge.
 
Ne choisis tes amis que parmi tes égaux.
 
Ne crains pas d’avancer lentement, crains seulement de t’arrêter.
 
Ne crains point de rester méconnu des hommes, 
mais bien plutôt de les méconnaître toi-même.
 
Ne dites rien de mal, n’entendez rien de mal, 
ne voyez rien de mal.
 
Ne parlez de vous ni en bien car on ne vous croirait pas, 
ni en mal car on ne vous croirait que trop !
 
Ne recherchez pas l’amitié de ceux qui ne partagent pas vos exigences.
 
Ne te crois point si important que les autres te paraissent insignifiants. 
 
Ne vous affligez pas de ce que les hommes ne vous connaissent pas. 
Affligez-vous plutôt de ne pas connaître les hommes.
 
Ne vous affligez pas d’être connu de personne, 
mais travaillez à vous rendre digne d’être connu.
 
Ne vous souciez pas d’être sans emploi ; 
souciez-vous plutôt d’être digne d’un emploi.
 
Négligez et vous perdrez.
Cherchez et vous trouverez. Mais 
chercher ne conduit à trouver que si nous cherchons ce qui est en nous.
 
Nos yeux voient trop le monde et pas assez le cœur et l’âme.
 
Nulle pierre ne peut être polie sans friction, 
nul homme ne peut parfaire son expérience sans épreuve.
 
On a deux vies, et la deuxième commence quand on se rend compte 
qu’on en a qu’une.
 
On doit aimer son prochain comme soi-même ; 
ne pas lui faire ce que nous ne voudrions pas qu’il nous fît.
 
On ne doit jamais penser à la distance, quelle qu’elle soit, 
qui nous sépare de la vertu.
 
On ne peut bien gouverner sa famille 
qu’en donnant l’exemple.
 
On peut tuer le général d’une armée, mais non l’ambition dans le cœur de l’homme.
 
On s’égare rarement en s’imposant soi-même des règles sévères. 
 
Oublie les injures, n’oublie jamais les bienfaits.
 
Par trois méthodes, nous pouvons apprendre la sagesse : 
tout d’abord, grâce à la réflexion, qui est la plus noble. 
En second lieu, par imitation, qui est le plus facile ; et 
la troisième par l’expérience, qui est la plus amère.
 
Pas trop d’isolement, pas trop de relations ; 
le juste milieu, voilà la sagesse.
 
Plus on apprend, plus on voit que l’on ignore beaucoup de choses.
 
Plutôt que de maudire les ténèbres, allumons une chandelle, si petite soit-elle.
 
Pour mettre de l’ordre dans le monde, 
nous devons d’abord mettre de l’ordre dans la nation.
Pour mettre de l’ordre dans la nation, 
nous devons mettre de l’ordre dans la famille.
Pour mettre de l’ordre dans la famille, 
nous devons cultiver notre vie personnelle. 
Et pour cultiver notre vie personnelle, 
nous devons d’abord réparer nos coeurs et notre esprit.
 
Pour un mot, un homme est réputé sage ; 
pour un mot, un homme est jugé sot.
 
Prenez trois hommes au hasard des rues ; ils auront 
nécessairement quelque chose à m’enseigner. Les qualités de l’un 
me serviront de modèle, les défauts de l’autre d’avertissement.
 
Quand le naturel l’emporte sur la culture, cela donne un sauvage : 
quand la culture l’emporte sur le naturel, cela donne un pédant.
L’exact équilibre du naturel et 
de la culture produit l’honnête homme.
 
Quand le sage s’arrête-t-il d’étudier ? 
Quand on ferme son cercueil.
 
Quand on désire savoir, on interroge. Quand on veut être capable, 
on étudie. Revoyez sans arrêt ce que vous savez déjà. Étudiez sans cesse 
du nouveau. Alors vous deviendrez un maître.
 
Quand on parle beaucoup, 
on dit presque toujours ce qu’il ne faudrait pas dire.
 
Quand on peut accomplir sa promesse sans manquer à la justice, 
il faut tenir sa parole.
 
Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson.
 
Quand vous plantez une graine une fois, vous obtenez une seule 
et unique récolte. Quand vous instruisez les gens, vous en obtenez cent.
 
Quand vous voyez un homme dépourvu de sagesse, examinez-vous 
vous-même.
Quand vous voyez un homme sage, pensez à l’égaler en vertu.
 
Que le juste milieu ne soit pas tenu, je sais pourquoi : 
l’homme intelligent va au-delà, l’imbécile reste en deçà.
 
Que l’on s’efforce d’être pleinement humain 
et il n’y aura plus de place pour le mal.
 
Que sert d’être habile à parler ? Ceux qui reçoivent 
tout le monde avec de belles paroles, qui viennent seulement 
des lèvres, et non du coeur, se rendent souvent odieux.
 
Qui comprend le nouveau en réchauffant l’ancien 
peut devenir un maître.
 
Quiconque a entendu les cris d’un animal qu’on tue 
ne peut plus jamais manger de sa chair.
 
Rappelle-toi que ton fils n’est pas ton fils, 
mais le fils de son temps.
 
Rendez le bien pour le bien et la justice pour le mal.
 
Résolvez un problème et vous en éloignez cent autres.
 
Rien ne sert de parler des choses qui sont déjà accomplies, 
ni de faire des remontrances sur celles qui sont déjà très avancées, 
ni de blâmer ce qui est passé.
 
Rien n’est jamais sans conséquence.
En conséquence, rien n’est jamais gratuit. 
 
Sans principes communs, ce n’est pas la peine de discuter.
 
Se nourrir d’un peu de riz, boire de l’eau, n’avoir que son bras courbé 
pour appuyer sa tête, permet également d’atteindre la satisfaction. 
 
Se préparer au pire. Espérer le meilleur. Prendre ce qui vient.
 
Se regarder scrupuleusement soi-même, 
ne regarder que discrètement les autres.
 
Si le prince conduit le peuple au moyen des lois et le 
retient dans l’unité au moyen des châtiments, le peuple 
s’abstient de faire mal, mais il ne connaît aucune honte.
Si le prince dirige le peuple par la vertu et fait régner l’union 
grâce aux rites, le peuple a honte de faire mal et devient vertueux.
 
Si tu empruntes le chemin de la vengeance, 
prépare deux cercueils.
 
Si tu me commandes pour me grandir, je te suis. 
Si tu me commandes pour me dominer, je te hais. 
 
Si tu rencontres un individu de valeur, cherche à lui ressembler.
Si tu rencontres une personne médiocre, cherche ses défauts en toi-même.
 
Si tu veux juger des moeurs d’un peuple, écoute sa musique.
 
Si un homme parvient dans la matinée à la compréhension du Tao, 
tout est bien pour lui, même s’il meurt dans la soirée.
 
Si vous deviez un jour vous transformer vous-même, 
faites-le un peu chaque jour.
 
S’il y a de la lumière dans votre âme, il y aura de la beauté en vous. 
S’il y a de la beauté en vous, il y aura de l’harmonie dans votre maison. 
S’il y a de l’harmonie dans votre maison, il y aura de l’ordre dans votre pays. 
S’il y a de l’ordre dans votre pays, il y aura de la paix dans le monde.
 
Tous les hommes ne peuvent être grands, tous peuvent être bons.
 
Tous les hommes pensent que le bonheur se trouve au sommet de la 
montagne alors qu’il réside dans la façon de la gravir.
 
Tout le monde peut être important, car tout le monde peut servir à quelque chose.
 
Tuer un homme pour sauver le monde, ce n’est pas agir pour le bien du 
monde. S’immoler soi-même pour le bien du monde, voilà qui est bien agir.
 
Un être noble se couvre de honte 
lorsque ses paroles dépassent ses actions.
 
Un homme de cœur, un homme pleinement homme ne 
cherche pas à survivre aux dépens de son humanité.
Au besoin il donne sa vie pour préserver son humanité.
 
Un mot placé mal à propos ne peut se reprendre.
 
Une petite impatience ruine un grand projet.
 
Vous ne trouverez jamais ce que vous ne cherchez pas.
 
Voyez pourquoi un homme agit, observez comment il agit, examinez 
ce qui fait son bonheur. Que pourrait-il encore vous cacher ?
 
Y a-t-il un précepte qui puisse guider l’action de toute une vie ? Aimer...Confucius.

Hqdefault 1 1***Citations de Sénèque***

À force de remettre à plus tard, la vie nous dépasse.
 
Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas,
c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles.
 
Celui qui a rendu un service doit se taire ; c’est à celui qui l’a reçu de parler.
 
Celui qui cherche la sagesse est un sage, 
celui qui croit l’avoir trouvée est un fou.
 
Celui qui ne sait pas se taire, il ne sait pas non plus parler.
 
C’est quand on n’a plus d’espoir qu’il ne faut désespérer de rien.
 
C’est une grande servitude qu’une grande carrière.
 
Commence déjà à être l’ami de toi-même. Tu ne seras jamais seul.
 
Dans la lutte, on descend au niveau de l’adversaire.
 
De n’importe où on peut s’élancer vers le ciel.
 
En suivant le chemin qui s’appelle plus tard, 
nous arrivons sur la place qui s’appelle jamais.
 
En tout, l’excès est un vice.
 
Épargnons à la vertu le malheur de voir jamais la raison avoir recours aux vices.
 
Être asservi à soi-même est le plus pénible des esclavages.
 
Être invulnérable ne veut pas dire n’être jamais attaqué.
Cela veut dire ne pas pouvoir être blessé. 
C’est ce qui caractérise le sage tel que j’entends le définir.
 
Étudie, non pour savoir plus, mais pour savoir mieux.
 
Fréquente ceux qui peuvent te rendre meilleur.
Accueille ceux que tu peux rendre meilleurs.
C’est une démarche réciproque : 
les hommes apprennent en enseignant.
 
Hâte-toi de bien vivre et songe que chaque jour est à lui seul une vie.
 
Heureux est l’homme qui possède la rectitude du jugement.
 
Il est parfois bon d’avoir un grain de folie.
 
Il n’est pas de vents favorables pour celui qui ne sait pas où il va.
 
Il n’est pas de vice qui ne trouve de défenseur.
 
Il n’y a dans la vertu, nul sujet de craindre aucun excès, 
parce qu’elle porte en elle-même la juste mesure.
 
Je gouvernerai ma vie et mes pensées comme si le monde 
entier devait être le témoin de l’une et pouvait lire dans les autres.
 
La chance n’est que la conjonction de la volonté et de circonstances favorables.
 
La conscience d’avoir bien agi est une récompense en soi.
 
La déception est bien moins pénible quand on ne s’est point d’avance promis le succès.
 
La dispute alimente la dispute et engloutit ceux qui s’y plongent.
 
La méchanceté boit elle-même la plus grande partie de son venin.
 
La raison veut décider ce qui est juste ; 
la colère veut qu’on trouve juste ce qu’elle a décidé.
 
La vertu est difficile à découvrir ; 
elle demande quelqu’un qui la dirige et la guide, 
les vices s’apprennent même sans maître.
 
La vie heureuse est celle qui est en accord avec sa propre nature.
 
La vie ressemble à un conte, ce qui importe ce n’est pas sa longueur, mais sa valeur.
 
L’amitié est toujours profitable, l’amour est parfois nuisible.
 
Le bon juge condamne le crime sans haïr le criminel.
 
Le discours est le visage de l’âme.
 
Le langage de la vérité est simple.
 
Le pire châtiment d’une mauvaise action, c’est de l’avoir commise.
 
Le plus grand obstacle à la vie est l’attente; 
celui qui espère trop demain, néglige aujourd’hui.
 
Le style est le vêtement de la pensée.
 
Le tort commun des malheureux est 
de ne jamais vouloir croire ce qui leur est favorable.
 
Le travail est l’aliment des âmes nobles. 
 
Le véritable bien se trouve dans le repos de la conscience.
 
Le vice a mille formes, un seul résultat : 
l’homme se déplaît à lui-même.
 
Les plus belles découvertes cesseraient de me plaire si je devais les garder pour moi.
 
L’homme pauvre, ce n’est pas celui qui n’a rien, c’est celui qui envie.
 
L’important n’est pas ce qu’on supporte, mais la façon de le supporter.
 
Même les natures difficiles et indomptées supporteront celui qui les flatte ; 
la caresse n’éveille ni la rudesse ni l’effroi.
 
Ne dis pas toi-même ce que tu ne veux pas entendre d’un autre.
 
Ne rends pas tes souffrances plus fortes encore, ne te charge pas de plaintes, 
légère est la douleur si l’imagination ne la grossit.
 
Ne vaut-il donc pas mieux guérir une blessure que de la venger ?
 
Nous réglons notre vie sur les exemples : ce n’est pas la raison qui nous façonne ;
c’est la coutume qui nous entraîne.
 
On a des mots pour dire une peine légère, mais les grandes douleurs ne savent que se taire.
 
On ne se moque pas de qui rit de lui-même.
 
On ne trouve guère un grand esprit qui n’ait un grain de folie.
 
Plutôt que de savoir ce qui a été fait, combien il vaut mieux chercher ce qu’il faut faire.
 
Quand le vainqueur a quitté les armes, le vaincu a le devoir de quitter sa haine.
 
Quand survient l’épreuve, il est trop tard pour préparer notre âme à l’assumer.
 
Quelques-uns sont tenus en servitude, un plus grand nombre y tiennent.
 
Rien n’entraîne à de plus grands malheurs que de se conformer à la rumeur publique,
en estimant que les meilleurs choix sont ceux du plus grand nombre, de se laisser conduire 
par la multiplicité des exemples cela parce que nous vivons non d’après la raison 
mais dans un esprit d’imitation.
 
Seul l’arbre qui a subi les assauts du vent est vraiment vigoureux, 
car c’est dans cette lutte que ses racines, mises à l’épreuve, se fortifient.
 
Si tu veux connaître ta valeur exacte, mets de côté argent, maison, honneurs. 
Regarde au-dedans de toi-même.
 
Tout art est une imitation de la nature.
 
Toute méchanceté a sa source dans la faiblesse. 
 
Tu as tes occupations et la vie se hâte ; sur ces entrefaits la mort sera là, 
à laquelle, bon gré mal gré, il faut bien finir par se livrer. 
 
Tu trouveras, dans n’importe quelle situation, des divertissements, 
des délassements et des plaisirs, si tu t’appliques à juger tes maux légers 
plutôt que de te les rendre intolérables.
 
Un bien n’est agréable que si on le partage...Sénèque

 

00 1***Citations Lao Tseu ou Laozi ou Lao Zi***

Accomplis ta tâche puis fais un pas en arrière. 
C’est le seul chemin qui conduise à la sérénité. 
 
Aimez le monde comme vous-même… 
Alors seulement vous pourrez vous occuper de tout le reste.
 
Apprends à écrire tes blessures dans le sable
et à graver tes joies dans la pierre.
 
Arrêtez le mal avant qu’il n’existe ; calmez le désordre avant qu’il n’éclate.
 
Au centre de votre être, vous avez la réponse ; 
vous savez qui vous êtes et vous savez ce que vous voulez.
 
Aucun de nous ne sait ce que nous savons tous, ensemble.
 
Avoir un but trace la voie.
 
Celui qui a inventé le bateau a aussi inventé le naufrage.
 
Celui qui a vaincu l’autre est fort.
Seul celui qui s’est vaincu lui-même est puissant.
 
Celui qui connaît l’autre est sage, celui qui se connaît lui-même est éclairé.
 
Celui qui dirige les autres est peut-être puissant, 
mais celui qui s’est maîtrisé lui-même a encore plus de pouvoir. 
 
Celui qui excelle à employer les hommes se met au-dessous d’eux.
 
Celui qui en sait beaucoup sur les autres est peut-être instruit, 
mais celui qui se comprend lui-même est plus intelligent. 
 
Celui qui marche à grands pas ne tient pas la distance.
 
Celui qui ne perd pas sa racine peut durer.
 
Celui qui parle trop et raffine sur tout ne connaîtra jamais la paix. 
 
Celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas.
 
Celui qui sait qu’assez c’est assez en aura toujours suffisamment.
 
Celui qui sait se satisfaire aura toujours le nécessaire.
 
Celui qui se grandit et se met sur les pointes ne tient pas l’équilibre.
 
Celui qui se met devant n’impressionne pas.
 
Celui qui se vante de ses gloires, en perd tout le mérite.
 
Celui qui veut briller n’éclaire pas longtemps.
 
Celui qui veut dispenser la lumière 
doit connaître les ténèbres qu’il est amené à éclairer.
 
Ceux qui savent ne parlent pas, ceux qui parlent ne savent pas. 
Le sage enseigne par ses actes, non par ses paroles.
 
Content de peu n’a rien à craindre
 
Créer, non posséder. Oeuvrer, non retenir. Accroître, non dominer.
 
Dans les combats, il n’est pas de vainqueur, 
et la victoire devrait être célébrée en des rites funèbres.
 
De l’argile, nous faisons un pot, 
mais c’est le vide à l’intérieur qui retient ce que nous voulons.
 
Dureté et rigidité sont compagnons de la mort. 
Fragilité et souplesse sont compagnons de la vie.
 
Élève les êtres, nourris-les sans chercher à les asservir.
 
Entre oui et non, la frontière est bien mince. Le bien et le mal sont entremêlés.
 
Être aimé profondément par quelqu’un vous donne de la force tandis 
qu’aimer profondément quelqu’un vous donne du courage.
 
Être conscient de la difficulté permet de l’éviter.
 
Être courageux sans compassion mène à la mort.
 
Être humain, c’est aimer les hommes. Être sage, c’est les connaître.
 
Grâce à un effet du hasard, un homme peut régner sur le monde 
pendant quelque temps. Mais, en vertu de l’amour et de la bonté, 
il peut régner sur le monde à jamais.
 
Il est plus intelligent d’allumer une toute petite lampe, 
que de te plaindre de l’obscurité.
 
Il n’y a point de chemin vers le bonheur. Le bonheur, c’est le chemin. 
 
Imposer sa volonté aux autres, c’est force. 
Se l’imposer à soi-même, c’est force supérieure.
 
Je traite avec bonté ceux qui ont la bonté ; 
je traite avec bonté ceux qui sont sans bonté. Et ainsi gagne la bonté.
 
L’échec est le fondement de la réussite.
 
La bonté en parole amène la confiance. La bonté en pensée amène 
la profondeur. La bonté en donnant amène l’amour.
 
La bonté n’est point éloquence. L’éloquence n’est point bonté.
 
La douceur l’emporte sur la dureté, et la faiblesse sur la force.
 
La meilleure façon de combattre le mal est un progrès résolu dans le bien.
 
La tranquillité est la plus grande des révélations. 
 
La vertu suprême ignore la vertu. C´est pourquoi elle est vertu. 
 
L’amour est de toutes les passions le plus fort, car il s’attaque 
en même temps à la tête, au cœur et à nos sens.
 
Le but n’est pas seulement le but, mais le chemin qui y conduit.
 
Le chemin du sage consiste à agir. Mais pas dans l’esprit de rivaliser.
 
Le ciel dure, la terre persiste. Qu’est-ce donc qui les fait 
persister et durer ? Ils ne vivent point pour eux-mêmes. 
Voilà ce qui les fait durer et persister.
 
Le grand homme est celui qui n’a jamais 
perdu la vision de ses petitesses.
 
Le plus grand arbre est né d’une graine menue.
 
Le plus grand conquérant est celui qui sait vaincre sans bataille.
 
Le sage ne rencontre pas de difficultés. Car il vit dans la 
conscience des difficultés. Et donc n’en souffre pas.
 
Le sage sait que plus il donne aux autres, plus il a pour lui-même.
 
Le sage sans jamais faire de grandes actions, 
accomplit de grandes choses.
 
Le silence permet de trouver son destin.
 
Les armes sont des instruments néfastes et répugnent à tous. 
Celui qui comprend le Tao ne les adopte pas. 
 
Les mots de vérité manquent souvent d’élégance. 
Les paroles élégantes sont rarement vérités.
 
Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; 
les paroles élégantes ne sont pas sincères.
 
L’expérience n’est une lumière qui n’éclaire que soi-même.
 
L’homme content de son sort ne connaît pas la ruine.
 
L’homme maître de soi n’aura point d’autre maître.
 
L’homme n’est pas fait pour construire des murs 
mais pour construire des ponts.
 
L’homme qui ne tente rien ne se trompe qu’une fois. 
 
L’homme supérieur pratique la vertu sans y songer, 
l’homme vulgaire la pratique avec intention.
 
L’humilité sert à agir avec puissance.
 
L’intelligence consiste dans la connaissance des autres, 
alors que la vraie sagesse consiste dans la connaissance de soi. 
 
Lorsque vous prenez conscience de votre source, 
vous devenez naturellement tolérant, aimable et enjoué.
 
Mieux vaut allumer une bougie que maudire les ténèbres.
 
Ne pas connaître l’éveil conduit à la confusion.
 
Ne te venge pas. Assieds-toi au bord de la rivière 
et tu verras le cadavre de ton ennemi passer.
 
Observez l’ordre naturel des choses. 
Travaillez avec lui plutôt que contre lui, car essayer de 
changer ce qui est ne pourra que faire surgir une résistance.
 
Paie-le mal avec la justice, et la bonté avec la bonté.
 
Parole parée n’est pas sincère.
 
Plus le sage donne aux autres, plus il possède.
 
Pour connaître l’issue d’une chose, voyez-en la racine.
 
Prendre conscience, 
c’est transformer le voile qui recouvre la lumière en miroir
 
Produire et faire croître, produire sans s’approprier, 
agir sans rien attendre, guider sans contraindre, 
c’est la Vertu Suprême.
 
Quand le ciel veut sauver un homme, il lui envoie l’amour.
 
Quand le débutant est conscient de ses besoins, 
il finit par être plus intelligent que le sage distrait.
 
Quand l’oeuvre des meilleurs chefs est achevée, le peuple dit : 
c’est nous qui avons fait ça.
 
Quand on a réglé un grand différend, il reste toujours quelques griefs, 
et la paix ne peut être rétablie que par la bonté.
 
Quand vous êtes content d’être vous-même, 
vous ne comparez pas ou ne recherchez pas la compétition.
 
Quelle belle conception les anciens avaient de la mort : repos des bons, 
terreur des méchants ! La mort, c’est l’épreuve de la vertu.
 
Qui connaît les hommes est averti ; 
qui se connaît soi-même est éclairé. 
 
Qui domine les autres est fort. Qui se domine est puissant.
 
Qui se plie restera entier, qui s’incline sera redressé. 
Qui se tient creux sera rempli, qui subit l’usure se renouvellera.
 
Qui triomphe de lui-même possède la force.
 
Qui va vers le Tao, le Tao l’accueille. Qui va vers la Vertu, 
la Vertu l’accueille. Qui va vers la perte, la perte l’accueille. 
 
Qui veut tailler le bois à la place du charpentier, 
il est rare qu’il ne se blesse pas les mains.
 
Rendre le bien pour le bien et le bien pour le mal, c’est la bonté efficace.
 
Retourne à la source, trouve la sérénité, c’est la voie de la nature.
 
Savoir et se dire que l’on ne sait pas est bien.
 
Savoir se contenter de ce que l’on a : c’est être riche.
 
Se voir soi-même c’est être clairvoyant. 
 
Si un homme saisit ce qui est fondamental, tous les livres deviennent inutiles.
 
Si vous croyez savoir, vous ne savez pas.
 
Tu connais l’utilité, mais connais-tu l’utilité de l’inutile ?
 
Tu es le maître des paroles que tu n’as pas prononcées ; 
tu es l’esclave de celles que tu laisses échapper.
 
Un mot prononcé avec bienveillance engendre la confiance. 
Une pensée exprimée avec bienveillance engendre la profondeur. 
Un bienfait accordé avec bienveillance engendre l’amour. 
 
Vivre n’est jamais jouer un rôle. Vivre c’est laisser parler son être.
 
Votre ennemi est votre meilleur professeur.
 
Le lourd est la racine du léger : le repos est le maître du mouvement.
 
Ce qui est dur et fort va vers la mort, 
ce qui est doux et faible va vers la vie...Lao Tseu

000 4

***Citations Socrate Père de la Philosophie*** 

Connais-toi toi-même !
 
Beaucoup pensent à vivre longtemps, peu à bien vivre.
 
Bien des gens vivent pour boire et manger ; je bois et mange pour vivre.
 
Ce n’est pas la vie mais une bonne vie qu’il faut apprécier en premier.
 
Ce que tu veux me dire, est-ce vrai ? Est-ce bien ? Est-ce utile ? 
Sinon, je ne veux pas l’entendre.
 
Ce qui fait l’homme, c’est sa grande faculté d’adaptation.
 
Ceux qui désirent le moins de choses sont les plus près des dieux.
 
Disposer de temps est la plus précieuse de toutes les richesses du monde.
 
Existe-t-il pour l’homme un bien plus précieux que la santé ?
 
Il n’y a point de travail honteux.
 
Il vaut mieux subir l’injustice que de la commettre.
 
J’admire que les sculpteurs mettent tout leur art à faire ressembler 
des pierres à des hommes, et que tant d’hommes ne fassent 
aucun effort pour ne pas ressembler à des pierres.
 
Je ne suis ni Athénien ni Grec, mais un citoyen du monde.
 
La sagesse commence dans l’émerveillement.
 
L’âme déréglée est comme un tonneau percé à cause de sa nature insatiable.
 
L’amour seul connaît le secret de s’enrichir en donnant.
 
Le fanatisme est un monstre mille fois plus dangereux que l’athéisme philosophique.
 
Le mal vient de ce que l’homme se trompe au sujet du bien.
 
Le pédagogue n’est pas celui qui donne les bonnes réponses, 
mais celui qui fait naître les bonnes questions.
 
Le premier savoir est le savoir de mon ignorance : c’est le début de l’intelligence.
 
Le savoir est la seule matière qui s’accroît quand on la partage.
 
Le temps malgré tout a trouvé la solution malgré toi.
 
L’écriture ne peut saisir le savoir, car le savoir, contrairement 
à l’information, n’existe pas en dehors de l’homme.
 
N’oublie jamais que tout est éphémère, 
alors tu ne seras jamais trop joyeux dans le bonheur, 
ni trop triste dans le chagrin.
 
Nul n’est méchant volontairement.
 
On ne peut mieux vivre qu’en cherchant à devenir meilleur,
ni plus agréablement qu’en ayant la pleine conscience de son amélioration.
 
On obtiendra l’amitié d’un homme en cultivant 
en soi les qualités qu’il estime en lui.
 
Que voulez-vous que je lui apprenne ? Il ne m’aime pas.
 
Quel est le moyen d’acquérir une bonne réputation ? 
C’est de se rendre tel que l’on veut paraître.
 
Si un âne te donne un coup de pied, ne lui rend pas.
 
Soyez heureux, agissez dans le bonheur,
sentez-vous heureux, sans aucune raison.
 
Tous les événements sont enchaînés 
dans le meilleur des mondes possibles. 
 
Un grand homme montre sa grandeur dans la manière 
dont il traite les petites gens.
 
Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien, 
tandis que les autres croient savoir ce qu’ils ne savent pas.
 
Un trésor de belles maximes est préférable à un amas de richesses.
 
Une vie sans introspection ne vaut pas la peine d’être vécue.
 
Vous avez peut-être des habitudes qui vous affaiblissent.
Le secret du changement, c’est de concentrer toute votre énergie 
non pas à lutter contre le passé, mais à construire l’avenir.
 
Vous pouvez cacher aux autres une action répréhensible,
mais jamais à vous-même.
 
Je ne peux apporter de connaissance à un homme, 
mais je peux le faire réfléchir.
 
Celui qui ne se contente pas de ce qu’il a, 
ne se contenterait pas non plus de ce qu’il veut avoir.
 
L’éducation est l’allumage d’une flamme, 
et non pas le remplissage d’un navire.
 
Que celui qui veut faire bouger le monde
se déplace d’abord lui-même.
 
Comprendre une question est une demi-réponse.
 
La vraie sagesse vient à chacun de nous quand nous nous 
rendons compte combien peu nous comprenons la vie, 
nous-mêmes, et le monde qui nous entoure.
 
La plus grande manière de vivre avec honneur dans ce monde 
consiste à être ce que nous prétendons être. 
 
Pour vous retrouver, assumez le risque de penser par soi-même.
 
Nos expressions doivent toujours être le miroir de nos pensées.
 
La chute n’est pas un échec.
L’échec, c’est de rester là où on est tombé.
 
Les bienfaits que nous avons reçus de nos parents 
sont les plus grands de tous.
 
Le plus court chemin de l’honneur est d’être ce que l’on désire de paraître.
 
En toutes choses, on doit agir dans la vue du bien. 
 
Un des préceptes les plus importants de la sagesse 
est de se connaître soi-même.
 
Il n’est pas de bien plus précieux qu’un excellent ami ; 
il n’en est aucun dont on tire plus de profit, 
ni qui donne plus de plaisir.
 
Le véritable imposteur est moins celui qui emprunte une somme 
d’argent qu’il ne peut rendre, que celui qui, sans connaissances et 
sans talent, se donne pour capable de conduire un État.
 
Être homme de bien et ne pas chercher à le paraître, 
c’est le vrai chemin de la gloire.
 
L’homme doit apprendre avant tout les moyens 
de faire le bien et d’éviter le mal.
 
La plus honteuse et la plus dure des servitudes est celle du 
malheureux qui est de corps et d’âme esclave des plaisirs.
 
Mieux vaut encore subir l’injure que la commettre.
 
Le secret du bonheur ne se trouve pas dans la recherche 
du plus, mais en développant la capacité de jouir de moins.
 
Plus riche est celui qui se contente de peu,
car la richesse est dans la nature.
 
L’esprit est la source de tout pouvoir ; vous devenez ce que vous pensez.
 
La première clé de la grandeur est d’être en réalité
ce que nous semblons être.
 
Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, 
se moquent de l’autorité et n’ont aucun respect pour l’âge.
À notre époque, les enfants sont des tyrans.
 
Il vaut mieux obéir aux lois qu’aux hommes.
 
La liberté consiste à travailler quand on veut, 
et à ne pas travailler quand on ne veut pas.
 
La superstition suit l’orgueil, et lui obéit comme à son père.
 
Rien n’est trop difficile pour la jeunesse.
 
Si la mort était la fin de tout, 
ce serait un grand avantage pour les méchants.
 
Être sage dans la prospérité, c’est savoir marcher sur la glace.
 
Un homme qui a faim n’examine pas la sauce.
 
Les plus hauts royaumes de la pensée sont impossibles à 
atteindre sans d’abord arriver à un certain niveau de compassion.
 
Les gens qu’on interroge, pourvu qu’on les interroge bien, 
trouvent d’eux-mêmes les bonnes réponses.
 
Le bonheur, c’est le plaisir sans remords...Socrate

Moi seule ne peux pas chang00m

er le monde, mais je peux jeter 
une pierre dans l’eau pour créer de nombreuses vagues***Citations de Mère Térésa*** 
 

Ce qui compte n’est pas la valeur monétaire de ce que l’on donne, 
mais plutôt l’amour qui imprègne le geste.
 
Il y a beaucoup de souffrance dans le Monde, énormément !
Car la souffrance matérielle, c’est souffrir de faim, souffrir 
d’être sans abri, et souffrir de toutes sortes de maladies.
Mais je persiste à croire que la plus grande souffrance, 
c’est d’être seul(le), de se sentir mal-aimé, et de n’avoir 
simplement personne. J’en suis venue de plus en plus à me 
rendre compte, que la pire souffrance que puisse vivre 
un être humain, c’est de n’être 
pas aimé et désiré !
 
À la fin de nos jours, nous ne serons pas jugés par le nombre 
de diplômes reçus, combien d’argent nous avons accumulé 
ou combien de réalisations nous avons à notre actif.
Nous serons jugés par j’avais faim et vous m’avez 
nourri, j’étais nu et vous m’avez vêtu, j’étais sans 
abri et vous m’avez accueilli !
 
Si véritablement nous désirons aimer, 
nous savons bien que nous devons apprendre à pardonner.
 
Tu peux t’épuiser au travail, tu peux même t’y tuer, 
mais tant qu’il n’est pas mêlé d’amour, il est inutile. 
Travailler sans amour est un esclavage. 
 
Hier n’est plus. Demain n’est pas encore. Nous n’avons qu’aujourd’hui. 
Mettons-nous à l’oeuvre.
 
Ce qui compte ce n’est pas ce que l’on donne, 
mais l’amour avec lequel on donne.
 
Si vous ne pouvez pas nourrir cent personnes,
nourrissez-en au moins une.
 
Que pouvez-vous faire pour promouvoir la paix dans le monde ?
Rentrer chez vous et aimer votre famille !
 
Ce dont nous avons besoin est d’aimer sans nous épuiser.
 
La vie est un défi à relever,
un bonheur à mériter,
une aventure à tenter.
 
C’est ce qu’il y a dans nos coeurs qui donne à nos vies leur qualité. 
 
Bien des gens acceptent de faire de grandes choses,
Peu se contentent de faire de petites choses au quotidien.
 
Notre mission est une mission d’amour et de bonté.
 
Ne donnez pas seulement vos soins,
mais aussi votre coeur. 
 
Notre devoir consiste à mettre pauvres et riches en présence les uns les autres,
à être leur point de rencontre en quelque sorte. 
 
Ceux qui ont le don de la joie atteignent les sommets de la perfection.
 
Nous ne saurons jamais tout le bien qu’un simple sourire peut être capable de faire.
 
Si vous jugez les gens, vous n’avez pas le temps de les aimer.
 
Ce qui me scandalise, ce n’est pas qu’il y ait des riches et des pauvres :
c’est le gaspillage.
 
De bonnes paroles peuvent être brèves et faciles à dire, 
mais leur écho est véritablement éternel.
 
Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux.
 
Ne vous imaginez pas que l’amour,
pour être vrai, doit être extraordinaire.
 
Nous savons bien que notre action n’est qu’une 
goutte d’eau dans l’océan, mais sans notre action,
cette goutte manquerait.
 
Donne tes mains pour servir et ton cœur pour aimer.
 
Ce qui est important, c’est l’intensité d’amour que vous mettez dans le plus petit geste.
 
Répandez l’amour partout où vous allez,
mais d’abord et avant tout dans votre propre maison.
Aimez vos enfants, votre épouse ou votre mari, votre voisin… 
 
Soyez l’expression vivante de la bonté, que ce soit la bonté de votre visage, 
la bonté de votre regard, la bonté de votre sourire ou la bonté de votre accueil chaleureux.
 
Il y a des maladies qui ne se guérissent pas avec de l’argent, mais avec de l’amour.
 
La joie profonde du cœur est une boussole qui nous indique le chemin de la vie.
 
La soif de l’amour est beaucoup plus difficile à arrêter que la faim de pain.
 
On ne souhaite pas la paix, on la fait et on la donne aux autres.
 
Pour répandre la joie, il est nécessaire d’avoir 
de la joie dans sa propre famille.
 
La révolution de l’amour commence avec un sourire ! 
Souriez cinq fois par jour à quelqu’un à qui vous n’avez 
pas du tout envie de sourire. Vous devez le faire pour la paix.
 
Les critiques ne sont pas autre chose que l’orgueil caché. 
Une âme sincère avec elle-même ne s’abaissera jamais à la critique. 
La critique est le cancer du coeur.
 
Au cours de mon travail dans les taudis, j’ai appris que 
c’est précisément les plus pauvres qui comprennent le mieux 
la dignité humaine. Leur problème majeur n’est pas le manque d’argent, 
mais qu’on leur dénie le droit à l’humanité et à l’amour.
 
Les pauvres ont besoin de nous, mais le besoin 
que nous avons des pauvres n’est pas moins grand. 
 
Engagez-vous de tout votre coeur à être une lumière resplendissante. 
L’amour pour les pauvres est comme une flamme vive. 
 
Le travail pour le salut et pour la guérison des plus pauvres, 
c’est notre mission particulière, non seulement dans les 
bidonvilles mais où qu’ils soient, partout dans le monde. 
 
Tout acte d’amour est une œuvre de paix, si petit soit-il.
 
L’amour, pour être authentique, doit être exigeant…
il doit annihiler le moi.
 
Les petites choses, lorsqu’elles sont faites avec amour, 
apportent joie et amour.
 
Aimer doit être aussi naturel que vivre et respirer. 
 
Les personnes qui s’aiment réciproquement et réellement, 
vraiment et pleinement, sont les plus heureuses du monde. 
Elles aiment leurs enfants et leur maison. Elles peuvent même 
posséder très peu de choses, peut-être même qu’elles n’ont rien. 
 
La gaieté devrait être un des atouts de notre vie. 
Une personne gaie est comme le sel d’une communauté. 
C’est souvent un manteau qui cache une vie de sacrifice. 
 
Si nous ne voulons pas mourir d’anémie spirituelle, 
il faut alimenter notre esprit. Nous devons en permanence 
avoir le plein de notre esprit de même que, pour une voiture 
puisse rouler, on n’attend pas que s’épuise l’essence. 
 
Tu as été envoyée pour servir, non pour te servir. 
Sers donc d’un coeur humble ! N’évite pas les travaux durs, 
au contraire sois toujours la première à vouloir les faire. 
 
Fidélité, ponctualité, petites paroles de bonté, quelques pensées 
pour les autres, certains petits actes faits de silences, de regards, 
de pensées, de paroles, d’oeuvres, ce sont précisément ces choses qui sont 
les gouttes d’amour qui font que notre vie coule avec tant de splendeur.
 
Conquérons le monde avec notre amour. Entrelaçons nos vies, tissons-les des 
liens du sacrifice et de l’amour, il nous sera possible de conquérir le monde. 
 
N’ayez pas peur d’aimer jusqu’à la souffrance. 
 
Ne soyons pas négligentes, mais cherchons en nous-mêmes afin 
de pouvoir mieux comprendre nos frères, car pour avoir une plus complète 
compréhension de ceux parmi lesquels nous vivons, 
nous devons d’abord nous comprendre. 
 
Souvent, il suffit d’une parole, d’un regard, d’un geste pour 
que le bonheur comble le coeur de celui que nous aimons. 
 
Les jeunes d’aujourd’hui, comme ceux de n’importe quelle époque, 
sont bons et généreux. Mais nous ne devons pas les tromper en les 
poussant à consommer des distractions. La seule manière de les 
rendre heureux, c’est de leur fournir l’occasion de faire le bien. 
 
Nous devons trouver le temps de nous regarder en face, pour échanger 
un bonjour, pour partager ensemble un moment de joie, 
pour être ce que nos enfants attendent de nous. 
 
Que personne ne vienne à vous sans repartir meilleur et plus joyeux. 
 
Nos oeuvres d’amour ne sont rien d’autre que les oeuvres de paix. 
Accomplissons-les avec un amour et une efficacité toujours plus grands, 
chacune et chacun d’entre nous dans son travail quotidien, 
chez lui, auprès de son prochain. 
 
Sois pour ta communauté une raison de se réjouir.
 
Va auprès des pauvres avec zèle et amour.
 
Pour pouvoir aimer, il faut que nous ayons la foi, 
la foi active, c’est l’amour, l’amour actif, c’est le service.
 
Ce n’est pas de sympathie ou de pitié qu’ont besoin 
les pauvres, mais d’amour, et de compassion.
 
Ayez un sourire pour votre prochain, donnez-lui du temps.
 
Comment pouvons-nous aimer les pauvres si nous n’aimons pas 
d’abord nos propres enfants ? L’amour commence chez soi.
 
Quoi que tu fasses, quand j’avais faim tu m’as donné à manger, 
quand j’avais soif tu m’as donné à boire.
 
Nous n’avons besoin ni de bombes ni d’armes, 
car notre seule arme, c’est l’amour.
 
Insistons sur le développement de l’amour, la gentillesse, 
la compréhension, la paix. Le reste nous sera offert.
 
Un cœur joyeux est le résultat normal d’un cœur brûlant d’amour.
 
Chez nous, il y a toujours un lit prêt pour un enfant de plus.
 
Quelle que soit notre croyance, nous devons apprendre 
à pardonner, si nous voulons aimer véritablement !
 
Ce n’est pas la grandeur des choses que vous faites qui 
importe, mais la qualité d’amour que vous mettez.
 
Le silence est quelque chose de merveilleux.
Il est la défense de notre vie intérieure.
 
L’amour commence par le foyer. Si la famille vit dans l’amour, 
ses membres répandent l’amour autour d’eux.
 
Un cœur joyeux sait très bien se protéger de la 
malpropreté que le diable tente de semer en nos cœurs.
 
Le témoignage de notre vie est, pour les pécheurs, 
l’invitation la plus convaincante à se convertir.
 
L’amour ne se mesure pas, il se donne.
 
Dans cette vie, on ne fait pas de grandes choses, 
on ne peut que faire de petites choses avec beaucoup d’amour.
 
Le plus grand péché est le manque d’amour, et le manque de charité.
 
Ne vous laissez jamais décourager par l’échec, 
si vous avez fait de votre mieux.
 
Si je regardais la masse, je ne ferais rien.
Je regarde l’individu et j’agis.
 
Les gens sont souvent déraisonnables, irrationnels et égocentriques.
Pardonnez-leur de toute façon.
 
Si tu crois que ce qui rassemble les hommes est plus important que ce qui divise,
alors la paix viendra.
Si tu crois qu’être différents est une richesse et non un danger,
alors la paix viendra.
Si pour toi l’étranger est un frère qui t’est proposé,
alors la paix viendra.
Si tu peux te réjouir de la joie de ton voisin,
alors la paix viendra.
Si l’injustice qui frappe les autres te révolte autant que celle que tu subis,
alors la paix viendra.
Si tu estimes que c’est à toi de faire le premier pas,
alors la paix viendra.
Si tu partages son pain et que tu sais joindre un morceau de ton cœur,
alors la paix viendra.
Si tu sais accepter qu’un autre te rende service,
alors la paix viendra.
Si la colère est pour toi une faiblesse et non une preuve de force,
alors la paix viendra.
Si tu crois qu’un pardon va plus loin qu’une vengeance,
alors la paix viendra.
Si tu préfères être lésé que de faire du tort à quelqu’un,
alors la paix viendra.
Si tu te ranges du côté du pauvre et de l’opprimé sans te prendre pour un héros,
alors la paix viendra.
Si tu crois que l’amour est la seule force de dissuasion,
alors la paix viendra.
Si tu crois que la paix est possible,
alors la paix viendra.
 
La vie est une chance, saisis-la.
La vie est beauté, admire-la.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un rêve, fais-en une réalité.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est un devoir, accomplis-le.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est une richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, perce-le.
La vie est tristesse, surmonte-la.
La vie est un hymne, chante-la.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est une promesse, remplis-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.
 
Si vous êtes gentil, les gens pourront vous accuser d’hypocrisie ou d’arrière-pensées égoïstes. 
Soyez gentil de toute façon.
Si vous réussissez, vous gagnerez des amis infidèles et de véritables ennemis.
Réussissez de toute façon.
Si vous êtes honnête et sincère, les gens peuvent vous tromper.
Soyez honnête et sincère de toute façon.
Ce que vous passez des années à créer, certains pourront le détruire en un instant.
Créez de toute façon.
Si vous trouvez la sérénité et le bonheur, certains pourront être jaloux.
Soyez heureux de toute façon.
Le bien que vous faites aujourd’hui sera souvent oublié.
Faites-le bien de toute façon.
Donnez le meilleur que vous ayez et ce ne sera jamais assez.
Donnez le meilleur de toute façon.
En dernière analyse, c’est entre vous et Dieu.
Cela n’a jamais été entre vous et eux de toute façon…
 
CONSEILS DE MÈRE TERESA
Ne pas s’arrêter aux défauts des autres.
Accepter de se voir mis dans l’ombre ou oublié
Ne pas chercher à être admiré ou aimé.
Rester poli et délicat même si quelqu’un nous provoque.
Ne pas essayer d’avoir le dernier mot dans une discussion, même si on a raison.
Choisir toujours le plus difficile...Mère Térésa

00dalai***Citations du Dalaï Lama*** 

Sème un acte, tu récolteras une habitude. Sème une habitude, tu récolteras un caractère. 
Sème un caractère, tu récolteras une destinée. 
 
Il n’importe pas qu’un être soit croyant ou non : il est plus important qu’il soit bon.
 
Jugez vos succès d’après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir
 
Le malheur s’empare de chacun de nous parce que nous nous prenons pour le centre du monde, 
car nous avons la misérable conviction d’être seuls à souffrir l’insoutenable.
 
Le malheur provient toujours de ce que l’on se sent prisonnier à l’intérieur de sa propre peau, 
de sa propre cervelle.
 
L’apaisement réside en chacun de nous
 
C’est dans son coeur qu’il faut construire la paix
 
Le désarmement extérieur passe par le désarmement intérieur. 
Le seul vrai garant de la paix est en soi.
 
Lorsque nos intentions sont égoïstes, le fait que nos actes puissent paraître 
bons ne garantit pas qu’ils soient positifs ou éthiques.
 
Si nous devenions violents, nous n’aurions plus rien à défendre.
 
La faculté de se mettre dans la peau des autres et de réfléchir à la manière 
dont on agirait à leur place est très utile si on veut apprendre à aimer quelqu’un.
 
Ma religion est très simple. Ma religion est la bonté.
 
Il est vital de laisser une large place au changement dans les relations avec l’autre. 
Ces transitions tiennent lieu de périodes charnières, où l’amour véritable mûrit et s’épanouit.
 
Là où règnent force intérieure et confiance en soi disparaissent méfiance, peur et doute
 
La sensation d’être heureux ou malheureux dépend rarement de notre état dans l’absolu, 
mais de notre perception de la situation, de notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons. 
 
Mettez-vous toujours à la place de l’autre. Renoncer un temps à vos opinions, 
à vos jugements afin de le comprendre. Bien des conflits peuvent ainsi être évités.
 
On peut conquérir des milliers d’hommes dans une bataille, mais celui qui se conquiert lui-même, 
lui seul est le plus noble des conquérants.
 
Notre seul pouvoir véritable consiste à aider autrui. 
 
Je crois que la compassion est l’une des rares choses que nous pouvons pratiquer 
qui apporteront bonheur immédiat et à long terme à nos vies.
 
J’appelle l’amour et la compassion une religion universelle. Telle est ma religion.
 
Je crois que le but de toutes les grandes traditions religieuses n’est pas 
de construire de grands temples à l’extérieur, mais de créer des temples 
de bonté et de compassion à l’intérieur, dans nos coeurs.
 
Ayez une vie bonne et honorable, alors quand vous serez plus vieux et 
que vous regarderez en arrière, vous serez capable de goûter les joies 
de vos moments passés une seconde fois.
 
Nul besoin de temples, nul besoin de philosophies compliquées. 
Notre cerveau et notre cœur sont nos temples. 
 
Nous avons besoin les uns des autres. 
Nous sommes responsables les uns des autres. 
 
Conserver sa tradition spirituelle n’empêche en rien de s’intéresser 
aux enseignements des autres religions.
 
Tous nos actes ont des conséquences positives ou négatives selon leur nature.
 
On ne peut pas vivre sans argent, mais ce n’est pas une raison pour lui donner la première place.
 
Être dépressif est un état extrême : nous devons tout faire pour y remédier.
 
Chacun est le maître de son destin, c’est à nous de créer les causes du bonheur.
 
Le silence est parfois la meilleure des réponses.
 
L’important c’est de faire de son mieux.
 
Si vous avez l’impression d’être trop petit pour pouvoir changer quelque chose, 
essayez donc de dormir avec un moustique et vous verrez lequel des deux empêche l’autre de dormir.
 
Notre ennemi est au-dedans de nous.
Les émotions conflictuelles l’orgueil, la colère, la jalousie… 
sont nos vrais ennemis.
 
Être conscient d’un seul de ses défauts est plus utile 
qu’être informé de mille travers chez quelqu’un d’autre.
 
Plutôt que de dire du mal des gens, en des termes qui produiront des frictions et des troubles dans leurs vies, 
nous devrions nous attacher à une perception plus pure à leur encontre, 
et quand nous parlons d’eux, évoquer leurs qualités.
 
Dans notre vie quotidienne, tolérance et patience ont de grands avantages : 
nous permettre de soutenir et de maintenir notre présence d’esprit.
 
Le respect mutuel est le fondement de la véritable harmonie.
 
En dépassant vos propres problèmes et en prenant soin des autres, 
vous acquérez la force intérieure, la confiance en vous, le courage, 
et un plus grand sentiment de calme.
 
Le but de notre vie doit être positif.
Nous ne sommes pas nés avec l’objectif de causer des ennuis, de nuire à autrui.
 
Ma conviction profonde est que la compassion constitue un aspect fondamental 
de notre nature tout en étant le fondement de notre bonheur.
 
Nous ne pouvons pas surmonter la colère et la haine simplement en les supprimant.
Nous avons besoin d’en cultiver activement les antidotes : la patience et la tolérance.
 
Le bonheur ne vient pas que de circonstances extérieures,
il provient essentiellement d’attitudes intérieures.
 
Détermination et espoir sont les facteurs clés d’un meilleur avenir.
 
Le désir est le principal moteur dans l’accomplissement du bonheur présent ou à venir.
 
On s’intéresse à ses membres comme parties de son corps, 
pourquoi pas aux hommes comme parties de l’humanité ?
 
Il n’y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, 
il n’y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.
 
Le bonheur et la satisfaction humaine doivent en dernier ressort 
provenir de l’intérieur de soi. C’est une erreur que d’attendre 
une satisfaction ultime à partir de l’argent ou de la technologie.
 
Tenter de changer le monde en se transformant individuellement 
peut sembler difficile, mais c’est la seule façon.
 
Aimer autrui ne signifie pas que nous devons nous oublier.
 
Le vrai bonheur ne dépend d’aucun être, d’aucun objet extérieur.
Il ne dépend que de nous.
 
L’être humain pense au futur, au point d’oublier le présent, 
de sorte qu’il ne vit ni dans le présent, ni dans le futur. 
Finalement, il vit comme s’il n’allait jamais mourir et 
il meurt comme s’il n’avait jamais vécu.
 
Le silence conduit à la contemplation détendue au cours de laquelle les émotions 
ont moins d’influence et où logique peut prendre le relais.
 
Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s’envoler vos valeurs.
 
Si vous n’êtes pas ouvert au changement, alors vous serez malheureux.
 
Ce n’est qu’en trouvant la paix en soi, que l’on peut vivre en paix avec les autres.
 
Le bonheur n’est pas une chose toute faite ; il découle de tes propres actions.
 
Vous allez devoir vivre avec vos actions pour le reste de votre vie, 
alors pour vous épargner le regret et l’angoisse, vivez votre vie avec 
honneur à partir de maintenant.
 
Les erreurs sont neutres ; nous pouvons en faire ce que nous voulons. 
Selon notre manière de les percevoir, elles nous accableront ou 
nous guideront vers le succès.
 
Tout est utile dans la mesure où vous savez saisir les occasions 
d’apprentissage qui se présentent à vous.
 
Les seules vraies erreurs sont celles que nous commettons à répétition.
Les autres sont des occasions d’apprentissage
 
C’est en parvenant à nos fins par l’effort en étant prêt à faire le 
sacrifice de profits immédiats en faveur du bien-être d’autrui à long terme, 
que nous parviendrons au bonheur caractérisé par la paix et 
le consentement authentique.
 
Tout le monde a le droit au bonheur, mais personne n’a le droit de détruire celui des autres.
 
Avec la réalisation de son potentiel et la confiance en ses capacités, 
on peut bâtir un monde meilleur.
 
Pratiquer la patience est la manière la plus efficace de préserver la paix de l’esprit.
 
Passez un peu de temps seul chaque jour. 
 
Une fois par an, allez quelque part où vous n’êtes jamais allé auparavant. 
 
Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié.
 
Le bonheur intérieur n’est pas assujetti aux circonstances matérielles 
ou à la satisfaction des sens. Il prend sa source dans notre propre esprit. 
Reconnaître l’importance de ce bonheur-là est capital.
 
Notre tendance naturelle nous porte souvent à renvoyer aux autres,
ou à des facteurs extérieurs, la responsabilité de nos problèmes. Nous cherchons en outre 
fréquemment une cause unique et essayons de nous exonérer de toute responsabilité.
 
Lorsque vous encouragez la compassion dans votre esprit et 
que cette pensée devient active, votre attitude envers 
les autres change automatiquement.
 
Peu importe la violence et les mauvaises choses que nous devons traverser.
La solution ultime à nos conflits internes comme externes réside dans le retour 
à notre nature humaine initiale et sous-jacente, qui est douce et compatissante.
 
Être honnête envers soi et les autres au sujet de ce que l’on est,
ou non, capable de faire, réduit à néant les sentiments liés à son manque de confiance.
 
La vraie spiritualité est une attitude mentale 
que l’on peut pratiquer n’importe quand !
 
La façon la plus efficace de changer l’esprit de l’autre passe par l’affection,
et non pas par la colère.
 
Constatons à quel point l’affection spontanée joue un rôle crucial dans notre vie,
dès la naissance. Sans elle, nous ne serions plus en vie depuis longtemps.
Observons comment nous nous sentons bien quand nous sommes entourés 
par l’amour des autres, quand nous éprouvons nous-mêmes de l’amour, 
et comment, au contraire, nous sommes mal dans notre peau quand la colère 
ou la haine nous envahissent.
 
De nos jours, on se nourrit uniquement d’informations venues de l’extérieur,
par l’intermédiaire des médias, en particulier la télévision. Elles deviennent nos seules 
références, nos seules sources d’information. Cette dépendance excessive nous rend 
incapables de nous tenir debout tout seuls, de nous reposer sur nos qualités propres, 
et nous n’avons pas confiance en notre vraie nature.
 
Une grande partie de nos souffrances viennent de ce que nous avons 
trop de pensées. En même temps, nous ne pensons pas de manière saine. 
Nous ne prêtons intérêt qu’à notre satisfaction immédiate, sans mesurer 
à long terme les avantages et les inconvénients pour nous-mêmes ou 
pour les autres. Or cette attitude finit toujours par se retourner 
contre nous. Il est sûr et certain qu’en changeant simplement notre 
façon de voir les choses, nous pourrions réduire nos difficultés 
actuelles et éviter d’en créer de nouvelles.
 
Il faut avoir une conviction totale dans son propre chemin spirituel, 
alliée à un respect parfait envers les autres vérités.
 
Être bon, avoir des pensées positives, pardonner à ceux qui nous ont fait du tort,
traiter chacun comme un ami, secourir ceux qui souffrent et ne jamais se prendre 
pour supérieur aux autres : même si ces conseils paraissent trop simples, 
prenez la peine de voir si leur application vous rend plus heureux.
 
Cultivons l’amour et la compassion,
ces deux choses qui donnent véritablement un sens à la vie.
Le reste est accessoire.
 
Notre esprit est habité par la colère, la jalousie et d’autres sentiments négatifs,
sans que nous nous rendions compte que ces sentiments sont incompatibles 
avec la joie et la paix intérieure.
 
D’ordinaire, nous ne distinguons pas entre l’essentiel et l’accessoire.
Nous passons notre vie à courir de-ci de-là après des plaisirs qui 
se dérobent sans cesse et nous laissent insatisfaits.
 
On peut se passer de religion, mais pas d’amour ni de compassion.
 
On peut se servir d’une technique de méditation bouddhiste 
sans devenir bouddhiste pour autant : l’important c’est 
qu’elle soit efficace pour vous.
 
Pour jouir d’une vie heureuse et accomplie, la clé est l’état d’esprit.
 
Pour vaincre la paresse, il existe quatre antidotes : 
la foi, l’intention, l’effort et la souplesse.
 
Remerciez vos ennemis, ils sont vos plus grands maîtres.
Ils vous apprennent à faire face à la souffrance et à développer 
la patience, la tolérance, la compassion, sans rien attendre en retour.
 
Toutes les activités au bénéfice des autres sont des actes 
qui renforcent l’esprit.
 
Une bonne motivation entraîne une bonne action.
 
Vous êtes maître de votre vie et qu’importe votre prison, 
vous en avez les clefs.
 
Vous pouvez développer une attitude juste envers les autres 
à partir de la gentillesse, de l’amour, du respect et sur la base de la 
pleine compréhension de l’unité de tous les êtres humains.
 
Nous appartenons tous à la grande famille humaine.
 
Mourir c’est comme changer un vêtement usé pour un neuf.
 
Le comportement de chacun dans la vie de tous les jours est, 
en définitive, la véritable mise à l’épreuve de notre compassion.
 
La seule chose qui importe c’est de mettre en pratique 
ce que l’on croit avec sincérité et sérieux.
 
Le développement matériel contribue certainement au 
bonheur dans une certaine mesure et d’avoir une vie confortable.
Mais ce n’est pas suffisant. Pour atteindre un niveau plus profond 
du bonheur, nous ne pouvons négliger notre développement intérieur.
 
Il est important de garder une chose à l’esprit :
le développement spirituel prend du temps.
 
En tant qu’êtres humains libres, nous pouvons utiliser notre 
unique intelligence pour essayer de nous comprendre nous-mêmes 
et notre monde. Mais si nous sommes empêchés d’utiliser notre 
potentiel créatif, nous sommes privés de l’une des caractéristiques 
fondamentales de l’être humain.
 
Au moment de mourir, le plus beau cadeau d’adieu est la paix de l’esprit.
 
C’est dans la plus grande adversité que réside la plus grande 
capacité de faire le bien, à la fois pour soi-même et pour les autres.
 
Dès lors que vous avez une motivation pure et sincère, tout le reste suit.
 
Le feu de la haine ne s’éteint que par l’AMOUR ; et si le feu 
de la haine ne s’éteint pas, c’est que l’Amour n’est pas encore assez fort.
 
C’est l’état d’esprit, plus que les événements extérieurs, qui déterminent 
le bonheur. Atteindre le bonheur authentique exige de transformer à la 
fois le regard que l’on porte sur le monde et sa manière de penser.
 
Plus nous aurons donné de sens à notre vie, moins nous 
éprouverons de regrets à l’instant de la mort.
 
Je garde la ferme conviction que la nature humaine est 
essentiellement bonne et compatissante. 
C’est là le trait dominant de l’humain. 
 
Ne vous considérez jamais comme supérieur à ceux que vous aidez. 
Personnellement, quand je rencontre un mendiant, je m’efforce 
toujours de ne pas le voir comme un inférieur, mais comme 
un être humain qui ne diffère en rien de moi.
 
Prendre soin des autres, partager leurs problèmes, faire preuve de compassion, tel est le 
fondement d’une vie heureuse pour soi-même, pour sa famille et pour l’humanité toute entière.
 
Malgré notre besoin vital de confiance en nous, il est important 
de savoir distinguer l’arrogance de la fierté légitime.
 
La colère émane d’un esprit grossier qui doit être adouci par l’amour.
 
La compassion n’est utile que si elle est mise en pratique. 
Elle doit devenir la clé de notre relation aux autres, le fondement 
de nos pensées et de nos actions.
 
Si la compassion, la gentillesse et l’affection vous animent, 
du même coup cela vous donne la clé de votre serrure intérieure et 
vous communiquez bien plus facilement avec les autres.
 
Notre principale raison de vivre est d’aider les autres. 
Et si nous ne pouvons les aider, au moins ne les blessons pas. 
 
Tout acte est une cause suivie immanquablement d’un effet de même nature.
 
Les relations humaines s’appuyant sur la compassion mutuelle et 
l’amour sont fondamentalement importantes et 
nécessaires au bonheur humain.
 
Vous devriez mettre un terme à toutes les activités négatives 
et concentrer les efforts sur le fait d’accumuler les actions saines.
 
Lorsque vous doutez de vous, que vous n’avez pas confiance en vous, songez 
au fantastique potentiel d’être humain qui est le vôtre et qui ne demande qu’à 
croître. Alors vous serez heureux de découvrir 
ce trésor qui réside en vous. 
 
Nourrir des sentiments d’affection renforce non seulement 
notre organisme, mais aussi notre équilibre affectif.
 
Les problèmes et les rivalités d’aujourd’hui doivent se résoudre 
par le dialogue, il n’y a pas d’autre solution. La victoire écrasante d’un 
seul camp n’est plus acceptable. Nous devons travailler à résoudre 
les conflits dans un esprit de conciliation, en tenant compte des 
intérêts de chacun. Je pense sincèrement que la violence a fait son temps.
Seule la non-violence apportera de véritables solutions.
 
Il est important de percevoir combien votre 
propre bonheur est lié à celui des autres.
 
Plus nous sommes concernés par le bonheur des autres,
plus nous construisons en même temps le nôtre.
 
La vie en elle-même est un éternel recommencement.
 
Si tu veux connaître quelqu’un, n’écoute pas ce qu’il dit, 
mais regarde ce qu’il fait.
 
Malheureusement, l’amour et la compassion ont été exclus 
de trop nombreux domaines de l’échange social, pendant trop longtemps.
Confinés à la sphère privée et familiale, leur expression en public est 
jugée embarrassante, voire naïve. C’est tragique car à mon sens l’expression 
de la compassion, loin d’être une marque d’idéalisme coupé de la réalité 
est la manière la plus efficace de servir tant l’intérêt d’autrui que le nôtre.
 
Attachons-nous à reconnaître le caractère
si précieux de chaque journée.
 
Gentillesse et compassion sont essentielles pour donner sens à la vie.
Elles sont le fondement d’un bon cœur, le cœur de celui qui est animé 
du désir d’aider les autres. Au travers de la gentillesse, au travers aussi 
de l’affection, de l’honnêteté, de la vérité et de la justice,
c’est à nous que nous faisons du bien.
 
Il est indispensable d’éprouver de la considération envers les autres 
parce que notre propre bonheur est inextricablement lié au leur.
 
La bataille contre l’ignorance se gagne tous les jours, 
et elle finit par ouvrir sur des perspectives insoupçonnées.
 
Le chemin vers le bonheur, c’est l’altruisme.
Le désir d’être au service du bien-être des autres.
 
Ressentir de la compassion c’est éprouver comme insoutenable, 
comme insupportable et intolérable les souffrances de l’autre.
 
Toutes les religions ont leur propre beauté et 
nous devons nous montrer respectueux avec elles.
La censure, avec l’intention de contrôler et 
de supprimer, est immorale.
 
Il est plus facile de s’en prendre à autrui que de tenter de 
comprendre les raisons de notre trouble lorsque 
quelque chose nous dérange et nous déstabilise.
 
On peut vivre sans religion et sans méditation, 
mais on ne peut survivre sans affection humaine.
 
Si aider les autres vous paraît trop difficile, 
essayez au moins de ne pas leur nuire.
 
Si vous voulez que les autres soient heureux, pratiquez la 
compassion. Si vous voulez être heureux, 
pratiquez la compassion.
 
Résoudre un conflit par la raison plutôt que par la 
force donne le sentiment d’agir de façon juste et 
procure une profonde satisfaction.
 
Toute personne, même hostile, est comme moi : un être 
vivant qui redoute la souffrance et aspire au bonheur ; elle a 
tous les droits d’être épargnée par la souffrance et d’obtenir le 
bonheur. Cette réflexion nous amène à nous sentir profondément 
concernés par le bonheur d’autrui, notre ami comme notre ennemi.
C’est la base d’une compassion authentique.
 
L’histoire de l’humanité a démontré que l’usage de la 
violence a toujours débouché sur de nouvelles violences.
 
Je crois en l’éducation. Il faut inculquer un sens d’unité de l’humanité.
La réalité est que l’avenir de chaque continent dépend des autres.
Ma nation, ma nation, voilà un concept erroné.
Le sentiment nationaliste est dépassé.
 
Il faut apprendre à distinguer l’important du superflu, 
et au bout de la voie, trouver le bonheur et la sérénité.
 
La politesse est d’abord un cadeau qu’on se fait à soi-même.
 
La véritable essence de l’être humain est la bonté. 
Il existe d’autres qualités provenant de l’éducation, du savoir, 
mais il est essentiel, si l’on veut devenir un véritable être 
humain et donner un sens à son existence, d’avoir un coeur bon.
 
La joie est un pouvoir, cultivez-la...Dalaï Lama...

 

Merci à Denis St-Pierre pour son merveilleux site qu'il nous partages pour cheminer vers un mieux être...

Allez le visiter vous y trouverez pleins de ressources...Une véritable source à laquelle l’on peut s’abreuver...Source...http://www.evolution-101.com/liste-des-pensees/

Publié par Cristalyne 27 Novembre 2017 Colonne de feu 1

 

 

 

 


 

 

 

 

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